Modeste Proposition

les répétitions. Ils n’ont possessifs pas de sens propre mais portent le sens du nom qu’ils représentent. démonstratifs indéfinis interrogatifs relatifs numéraux Les verbes Ils expriment une action ou un état. Ils sont la base de toute proposition et se conjuguent en variant selon le mode, le temps, la personne..., variation marquée par leur terminaison. verbes d’action verbes d’état verbes pronominaux verbes auxiliaires verbes impersonnels verbes transitifs (suivis d’un complément direct

actuelle. (l’action de partir est située dans le présent) - Je doute qu’il soit parti hier. (l’action de partir est située dans le passé)   Les emplois du subjonctif sont nombreux. Dans la majorité de ses emplois, le subjonctif apparaît dans une proposition subordonnée, d’où son nom sub-jonctif, du latin subjungere, qui signifie « subordonner, mettre sous la dépendance de ». On le trouve notamment dans des subordonnées introduites par un verbe qui exprime le doute, l’incertitude, la crainte, la supposition

dans le trouble où je suis ». Le mot « trouble » a un sens beaucoup plus fort au XVIIe siècle, Antiochus est pris dans une véritable tourbillon d'émotions. Il ajoute ensuite « Qu’un gouffre de malheurs, qu’un abîme d’ennuis ». L'insertion de la proposition circonstancielle « dans le trouble où je suis » entre le verbe voir et ses cod, font qu'Antiochus semble d'abord dire « je ne vois rien », il est aveugle à la lumière de la vérité. Mais le « ne » est en fait associé à une négation restrictive (ne

conjonctions transformer la proposition subordonnée en proposition juxtaposée à l'aide de deux points (on exprime alors un rapport de cause à effet) "Il ne peut vous rendre visite à cette date parce qu'il sera en vacances." "Il ne peut vous rendre visite à cette date : il sera en vacances." remplacer la proposition subordonnée par un nom "Nous ne pouvons admettre qu'il ait échoué à cet examen." "Nous ne pouvons admettre son échec à cet examen." remplacer la proposition subordonnée par une verbe

ANTÉRIEUR L’indicatif passé antérieur s’emploie dans une proposition subordonnée commençant par une conjonction de temps (après que, aussitôt que, dès que, lorsque, quand) pour marquer qu’une action a eu lieu immédiatement avant une autre action passée. Ce temps, qui appartient à la langue écrite soutenue, est remplacé par le passé surcomposé dans la langue courante. Dès qu’elles eurent mangé, elles se couchèrent. s’utilise dans une proposition indépendante ou principale pour montrer le résultat d’une

obligatoire : 1) Entre des termes coordonnés sans conjonctions qui peuvent être : - des mots : Les papillons, les abeilles, les mouches volaient. - des propositions avec des verbes se rapportant à un même sujet dont ils expriment les actions : Il monta dans sa voiture, tourna la clé, fit vromber le moteur puis partit. - des propositions plutôt courtes ayant des sujets différents : Dehors, le vent soufflait, la pluie tombait, le brouillard avançait. 2) Devant une conjonction autre que ET,

sans ornement, avec Néron comme personnage central 1) Un récit sans fioritures Le récit fait par Suétone semble délibérément bref et sans ornement. Lorsqu’il raconte l’échec du naufrage, Suétone se contente de mentionner cet échec avec deux propositions infinitives: « ut diversa omnia nandoque evassisse eam comperit » . l.21, 22 2 ) Le point de vue de Néron Suétone choisit ici de nous rapporter les faits vus, non du point de vue de Néron puisque nous ne voyons pas les choses par ses yeux (ce

subordination (« s’or ») qui introduit une proposition de condition dans laquelle se trouve un verbe au conditionnel présent « gagnerait » ainsi qu’à un adverbe de temps sous-entendu (maintenant) : « Et s’or venoit la demoiselle, ja desraineroit la querelle dont elle l’a tant plaidee ». On remarque clairement par cela que Laudine semble changer d’avis selon l’humeur dans laquelle elle est sur le moment. De plus, cette phrase à la voix active s’achève par une proposition subordonnée relative qui début par

toujours invariable. Ex. : Il est tombé des grêlons pendant près d'une heure. Quand le complément d'objet qui précède le verbe est le pronom neutre le qui représente une proposition entière, le participe passé reste invariable. Ex. : Elle est moins résistante que je ne l'avais cru (l' représente ici toute la proposition principale). • Quand le complément d'objet qui précède le verbe est le pronom adverbial en, le participe passé reste invariable. Ex. : Des fraises, j'en ai mangé jusqu'à

EXERCICES SUR LES PROPOSITIONS SUBORDONNEES CIRCONSTANCIELLES A. EXERCICES SUR L'EXPRESSION DU TEMPS I- RELIEZ LES PROPOSITIONS PAR UNE CONJONCTION DE SUBORDINATION EN REMPLAÇANT LES MOTS EN ITALIQUES 1- J’ouvris la porte de l’enclos ; aussitôt les moutons se dispersèrent. 2- On les invitera ; alors ils viendront. 3- La mère préparait le petit déjeuner ; pendant ce temps les enfants dormaient. 4- On a rétabli l’éclairage public ; auparavant l’insécurité était grandissante. 5- la pluie ne