Mohenjo-daro

Article détaillé : Histoire du yoga. Antiquité Bhairava, Shiva sous sa forme terrifiante. Dans les années 1920, une équipe d'archéologues dirigée par John Marshall découvre des ruines sur les bords de l'Indus (Pakistan actuel) de la cité de Mohenjo-Daro qui aurait été fondée trois mille ans avant notre ère. Parmi les objets mis à jour lors de ces fouilles, des sceaux illustrés de personnages dans des postures (asanas) qui ressemblent à celles du hatha-yoga ont provoqué un débat, sans qu'il y ait

période caractérisée par le site de Nagada, vers -4000 à -3200: haches plates, herminettes, ciseaux, couteaux à manche en os et épingles en témoignent; dans la vallée de l'Indus, l'usage du métal est attesté vers -2500: les sites d'Harappa et de Mohenjo-Darô y ont fourni du mobilier en plomb, argent, cuivre à forte teneur en arsenic (à l'état quasi-naturel) et même en bronze comme en témoignent scies, perles, fermoirs de colliers, ou encore anneaux de chevilles; à Chypre, c'est sans doute sous

Pakistan7. Ceux-ci se développent pour former la Civilisation de la vallée de l'Indus, la première culture urbaine de l'Asie du Sud6 qui existe entre 2500 et 1900 av. J.C. au Pakistan est dans l'ouest de l'Inde7. Centrée autour de villes comme Mohenjo-daro, Harappa, Dholavira, et Kalibangan, et reposant sur différentes moyens de subsistances, la civilisation s'engage dans la production artisanale et le commerce à grande échelle6. Peintures dans les Grottes d'Ajanta à Aurangabad, Maharashtra

autochtones. En effet, en raison de modifications climatiques et donc géographiques de la vallée de l'Indus ( inondations répétées des villes fluviales , avancée du désert) ces migrants avaient fui leur terroitoire au sein duquel deux grandes cités "Mohenjo-Daro" et "Harappa" (cités parmi les plus vieilles de l'humanité) jouissaient d'une organisation humaine et urbaine très évoluée. La migration se fit vers le Nord-Ouest et l'Ouest de l'Inde. Cette société non guerrière était dotée d'agriculteurs possédant

péninsule indienne. *Vers 2500 av. J.-C. , les populations des montagnes du Baloutchistan émigrent progressivement vers la vallée de l’Indus (au Pakistan actuel),il se constitue une culture originale, dont Harappa (dans le Pendjab pakistanais), Mohenjo-Daro (dans le Sind pakistanais) et Rakhigarhi (dans l’Haryana indien) sont les principaux sites. Elle se distingue par un urbanisme planifié, des techniques artisanales élaborées… *À partir du vie siècle av. J.-C., le Gandhara, la Bactriane et le

nouveaux engagements le respect du milieu naturel la protection des zones sensibles L’ASSAINISSEMENT DANS L’HISTOIRE L’antiquité Les premières traces d’assainissement en Mésopotamie un des éléments de la civilisation de l’Indus la ville de Mohenjo-Daro Une technique développée par les Grecs des principes rassemblés dans l’édit de Pergame (IVème siècle avant JC) Pergame Les Romains Les Romains perfectionnent les techniques et construisent des égouts dans toute l’Europe le Cloaca maxima

shaped the destiny of mankind. Its people are thought to be Dravidians, whose descendants still inhabit the far south of India. In the conventional narrative, Indian history begins with the birth of the Indus Valley Civilization in such sites as Mohenjo-Daro, Harappa, and Lothal, followed by the coming of the Aryans. These two phases are usually described as the pre-Vedic and Vedic periods. It is in the Vedic period that Hinduism first arose, though some elements of Hinduism are clearly drawn from

du vieux sanskrit « karpasi ». Pendant longtemps, les plus vieilles traces de coton travaillé par l’homme ont été situées en Inde. Des restes de tissus en coton, remontant à 3200 ans avant J.-C., ont été exhumés dans la vallée de l’Indus, à Mohenjo-daro. Mais depuis, on pense que les restes de tissus datant de 5800 ans avant J.-C. et trouvés dans une grotte près de Tehuacan, au Mexique, sont aussi en coton. L’existence du coton sur le continent américain avant l’arrivée des Conquistadores

partition[modifier] La région de l’Indus était l’emplacement de plusieurs cultures antiques comprenant Mehrgarh, une des plus anciennes villes connues du monde, et de la civilisation de la vallée de l’Indus (de 2500 av. J.-C. à 1500 av. J.-C.) à Harappa et Mohenjo-Daro. Les vagues de conquérants et de migrants, comprenant les Harappiens, Indo-aryens, Perses, Grecs, Sakas, Parthes, Kouchanes, Huns blancs, Afghans, Arabes, Turcs, et Mongols, se sont établis au Pakistan tout au long des siècles, influençant les

succès – fait prendre conscience de l’importance du rôle du patrimoine dans le renforcement des liens unissant les États de la planète. Dès lors, l’UNESCO va mettre sur pied d’autres actions – à Venise (Italie, 1966), Borobudur (Indonésie, 1973) et Mohenjo Daro (Pakistan, 1980). Ces campagnes, qui mettent en évidence la nécessité d’associer préservation des patrimoines culturels et naturels, débouchent en 1972 sur une convention internationale : la Convention concernant la protection du patrimoine mondial