Moksha

temple est de créer un contact entre l'homme et le dieu à travers le progrès du fidèle vers le sanctum central. Au fur et à mesure que celui-ci passe du monde « de l'illusion » vers « la connaissance et la vérité », il cherche symboliquement le « moksha », symbole de la libération du cycle de renaissance. Le temple est vu comme un tirtha (un gué, ou lieu de transit) de ce monde, irréel, vers l'autre monde, l'idéal. En ce faisant, le fidèle passe de l'extérieur ensoleillé, à travers des portes

Terre jusqu’à ce qu’elles soient jugées dignes d’accéder à l’immortalité aux côtés des dieux. Il se met ainsi en place une hiérarchie des êtres pour aspirer au bien ou endurer le mal jusqu’à la délivrance (moksha) de la spirale des existences. Dès lors, seuls les brahmanes peuvent faire moksha, les personnes des autres castes doivent faire samsara (transmigration) et revivront donc plus au moins heureuses en fonction du bien ou du mal. 3. Hindouisme La religion hindoue est une évolution de

création, de conservation et de destruction, périodes, ou yuga, se succédant sans fin ; l’acceptation de la croyance dans la renaissance et la préexistence des êtres ; la reconnaissance du fait que les moyens ou les manières d’accéder au salut (moksha) sont multiples ; le fait que, malgré le nombre des divinités à adorer, on peut être hindou et ne pas croire qu’il faille adorer des idoles ; à la différence d’autres religions ou croyances, la religion hindoue n’est pas liée à un ensemble défini

dit que cet univers est sans réalité véritable et que sa connaissance n’est pas La Connaissance. La Réalité est permanente et intemporelle, pour l’expérimenter il faut se libérer des conditionnements qui nous façonnent. Cette libération est appelée Moksha, c’est le but ultime de toute recherche spirituelle, c’est un processus extrêmement long et difficile qui requiert des vies d’apprentissage (DES car les hindous croient en la réincarnation). Dans notre vie de tous les jours, nous nous identifions

(samsara). Les conditions de la renaissance sont déterminées par le karma, c'est-à-dire la façon dont la vie précédente s'est déroulée. Le samsara n'a, en principe, pas de début et pas de fin. Le seul moyen d'en sortir est d'atteindre la délivrance (moksha) par divers moyens (les margas) dont la méditation et la dévotion. La vie d'un hindou est régi par son dharma. Il constitue une sorte de code de conduite sur lequel l'hindou bâti sa vie. Les textes relatifs au dharma ont permis l'élaboration d'une

devoir garde l'hindou sur le droit chemin, il doit suivre les droits et codes moraux inscrit dans les textes tels que: les Dharma-Sûtra ou la Manu-Samhita. -Moksha:la délivrance. Durant les deux dernières périodes de la vie de l'hindou, il recherche moksha: la clef pour se libérer du cycle des réincarnations. L'hindou peut parvenir à ce but de plusieurs façons différentes: par la méditation (Bhakti-Yoga). L'hindou qui a manqué sa libération doit compléter un cycle de 8 400 000 renaissances, autres qu'humaines

il en a fait une expérience personnelle, il y a eu des informations publiées à ce sujet, et d'autre part, les effets secondaires décrient par l'auteur ne sont en aucuns cas un problème, comme pour la société dans le roman Ile d'Huxley, qui prend du Moksha, une "drogue" comme le surnomme notre société, qui les transforme mentalement en leur révélant leur propre nature, ce qui est bénéfique pour eux car elle les rend heureux. En effet, selon l'auteur les psychédéliques inoffensifs apportent à aux hommes

de conservation et de destruction, périodes, ou yuga, se succédant sans fin, 4. l’acceptation de la croyance dans la renaissance et la pré-existence des êtres, 5. la reconnaissance du fait que les moyens ou les manières d’accéder au salut (moksha) sont multiples, 6. le fait que, malgré le nombre des divinités à adorer, on peut être hindou et ne pas croire qu’il faille adorer des idoles, 7. à la différence d’autres religions, ou croyances, la religion hindoue n’est pas liée à un ensemble

m’attache au choses au être, a ma vie  je souffre car je dois accepter de perdre les choses. Un indou pense qu’il doit se dématérialiser pour avoir la conscience pure des choses, pour y arriver les indous on plusieurs vie. Le stade suprême est la Moksha : c’est devenir la matière elle même, l’essence même. Chez les indous toute l’existence est classée selon l’échelle suivante de l’impur au pur. Jainisme : 5 millions, au sud de Bombay, sorte d’indou extrémisme, qui s’interdise de tuer qui que se

pollution du Gange. Pour les Hindous Le Gange est considéré comme sacré: l'immersion dans le Gange lave le croyant de ses péchés et la dispersion des cendres dans le fleuve peut apporter une meilleure vie future et même permettre d'atteindre plus tôt la moksha ou délivrance, c'est-à-dire la sortie du monde phénoménal. Pour les hindous, l'eau du Gange possède la vertu de purifier le corps des humains et de libérer l'âme des défunts Et pourtant les Hindous ne font rien pour garder le Gange propre : ils