Molière Le Malade Imaginaire Satire Sociale

« Le Renard et l’Écureuil »(appendice aux fables)* : Fouquet avait pour symbole sur son blason de haute noblesse un écureuil qu’on voit partout représenté au château de Vaux) puis celle de Louis XIV lui-même. Peu après, il se lie intimement avec Molière, Boileau et Racine et écrit «les amours de Psyché et Cupidon», charmant roman en prose entremêlé de vers(1669). Après Fouquet, il fut le protégé de la Duchesse de Bouillon et de la Duchesse d'Orléans. En 1673, c'est Madame de la Sablière qui le recueille

texte se fait dans le fait que Montaigne prend la défense des sauvages. I. Une vision nouvelle des deux mondes. * Le monde nouveau * métaphore de l'enfant * qualités morales et physiques * Le veux monde * Image d'un monde vieux malade et contagieux. * Comparaison de ces deux cultures. II. Dénonciation de l'ethno-centrisme. (on privilégie le groupe auquel on appartient). * La défense des indiens. * Un réquisitoire violent Conclusion : Montaigne en mettant en place

inclassable. La nomenclature est récente. Cette question de distinguer des espèces et sous-espèces n'est pas une question rhétorique. Nicolas Boileau (1636-1711) L'art poétique a été publié pour la première fois en 1674 (1671, Le malade imaginaire, 1673 : mort de Molière, 1677 : Phèdre...). On est au sommet du classicisme. En plein milieu de cette période, Nicolas Boileau publie cette œuvre. Elle n'a pas d'ambition législatrice. Il emprunte le titre à Horace et veut donc donner sa version à lui de

la poésie engagée. En effet, cette forme totalement nouvelle pour l’époque invite le lecteur à réfléchir et à prendre parti dans la cause défendue par celle-ci. Elle soutient en général une cause politique, culturelle, morale, sociale ou même religieuse. La poésie en tant qu’arme a besoin de l’engagement de l'auteur pour être considérée comme une poésie engagée, l’auteur donne son avis à travers son texte sur un sujet qu’il juge important. Elle peut être de nature religieuse,

l’auteur : il se fonde sur la logique du discours. Il s’impose car il s’appuie sur des références connues de tous, qui apparaissent comme des vérités d’évidence. Argument de valeur Il se réfère à un système de valeurs (morales, religieuses, sociales…) bien installées. Argument d’expérience Il se fonde sur le recours à des faits, à des témoignages : il est directement issu d’exemples, il est concret. Argument ad hominem Il est choisi en fonction de la personnalité du destinataire :

fonde sur la logique du discours. Argument d’autorité Il s’impose car il s’appuie sur des références connues de tous, qui apparaissent comme des vérités d’évidence. Argument de valeur Il se réfère à un système de valeurs (morales, religieuses, sociales…) bien installées. Argument d’expérience Il se fonde sur le recours à des faits, à des témoignages : il est directement issu d’exemples, il est concret. Argument ad hominem Il est choisi en fonction de la personnalité du destinataire : il est

d’avance. Partant, c’est autour de cette fixité apparente et de cette mouvance permanente qu’il s’agira de s’interroger. En effet, l’horizon d’attente est fixé chez le lecteur par un certain nombre de données personnelles (lectures, passé, condition sociale), ainsi que par des éléments visibles de l’œuvre (genre, titre, auteur…). Pourtant, l’horizon d’attente se déplace, autant au cours de la lecture que de l’histoire. Notion développée par Jauss dans Pour une esthétique de la réception.

Corneille……………………………………………………………………….32 III. Comédies du XVIIe siècle……………………………………………………………………………34 A. L’auteur……………………………………………………………………………………………………….35 B. Exemples………………………………………………………………………………………………………36 1. « Dom Juan » de Molière……………………………………………………………………………..37 2. « Les Fourberies de Scapin » de Molière……………………………………………………..39 IV. Comédies du XVIIIe siècle…………………………………………………………………………….42 A. Les auteurs…………………………………………………………………………………………………….43 B. Exemples………………………………………………………………………………………………………..44 1. « Le Mariage

de la littérature avec une diffusion plus large des œuvres et un développement de la lecture. Le XVIIe siècle est un siècle majeur pour la langue et la littérature française en particulier pour les œuvres du théâtre classique avec les comédies de Molière et les tragédies de Corneille et Racine, ou pour la poésie avec Malherbe. Mais si le classicisme s’impose dans la seconde moitié du siècle sous le règne de Louis XIV, les chefsd’œuvre qu’il a produits ne doivent pas éclipser d’autres genres comme

société se met en place, la notion de courtoise est de plus en plus fréquente au sein des textes. Quelqu'un qui est courtois = quelqu'un qui vit à la cour et qui a la qualité d'y vivre. On décèle dès lors : De nouveaux types de comportements sociales tel maîtriser les exigences du raffinement et du luxe. Maîtriser des valeurs et des vertus. On retrouve également la notion de « bravoure » On distingue le « courtois » du « vilain ». Au départ, il n'y avait aucune connotation morale