Molière Le Misanthrope Alceste Et Philinte

simulation' de la réciprocité absente. Ce n'est plus de la dissimulation, c'est de la simulation fonctionnelle'' (p.5). On est soudainement ramené à penser à l'oeuvre de Molière '' La Misanthrope'' dans laquelle la sincérité est fortement convoitée par l'un '(Alceste) et la fonctionalité simulative est défendue par l'autre (Philinte) et en fin de compte, c'est celui qui plaide l'attitude maniérée qui fnit bien : ''Il est bien des endroits, où la pleine franchise / Deviendrait ridicule, et serait peu

ré? exion à considérer des opinions différentes : parfois dif? cile à admettre, cette confrontation peut être fructueuse et ouvrir à la compréhension des thèses que l’on ignore ou que l’on ne partage pas : les dialogues du Misanthrope de Molière entre Alceste et Philinte, permettent cette ré? exion. ah merci! De la problématique au plan 2 1. L’apologue est par nature un récit à vocation didactique et morale. La présence explicite d’une moralité en est la preuve première, mais le récit lui-même

2006 Inhalt Molière ...................................................................................................7 Molière und die Polemik gegen das Theater........................................................ 7 Geschichte der Molière-Kritik............................................................................... 8 Molières Biographie ........................................................................................... 13 Die frühen Stücke Molières und die Tradition der

Français Dissertation : Qui ne se souvient pas des coups de bâtons donnés par Scapin à Géronte dans Les Fourberies de Scapin de Molière ? Le rire et l’amusement étaient alors à leur comble. Il est de la nature humaine d’aimer le conflit or « Le théâtre est un art du conflit, du polémique », affirmait André Steiger. Si bien que sans conflit, le théâtre n’existerait pas et ne ferait pas un tel effet sur nos personnes. Mais on peut se demander par quels moyens arrive-t-il ainsi à mettre particulièrement

deux voir plusieurs personnages et dans certains cas ces oppositions vont se régler par un débat, un dialogue qui sera de préférence mouvementé afin d’empêcher aux lecteurs ou spectateurs de s’ennuyer durant la pièce ex: Le Misanthrope de Molière (I-1) où Alceste et Philinte débâtent de la nature humaine et où chacun des deux personnages essaient de se convaincre l’un l’autre de leurs différents points de vue. On peut donc en conclure assez facilement que les affrontements, conflits, querelles

l’intimité d’une chambre, ou d’un bureau, il peut s’offrir le luxe d’une lecture à haute voix, devenant alors son propre interprète. C’est donc à travers son imagination que le lecteur offrira plus ou moins de vie au texte. En rejoignant les propos de Molière, ne pourrait-on pas penser que la compréhension d’une pièce est soutenue par sa représentation, qui peut même l’enrichir. Le jeu sur scène concrétise les éléments de la pièce, et facilite ainsi l’accès à a compréhension de l’œuvre. Le comédiens donne

préfèrent prendre des libertés par rapport au texte initial. Ils veulent imposer leur propre vision, leur propre interprétation du texte. Par exemple, un metteur en scène joue du Molière en jean : l’esprit de la pièce est transformé ! Cette réinterprétation du texte n’est pas toujours appréciée par l’auteur concerné. Molière n’est plus là pour donner son avis sur les mises en scène actuelles de ses pièces. Mais des auteurs ont entretenu de leur vivant des relations houleuses avec des metteurs en scène

Document sans titreDissertation sur la citation: “le théâtre n’est fait que pour être vu”: Trop souvent, l’étude d’une œuvre dramatique occulte un de ses aspects essentiels : la représentation ; et cependant Molière prévient déjà : « Le théâtre n’est fait que pour être vu » ; la tournure restrictive insiste sur l’importance fondamentale du spectacle dans le théâtre. Si à l’origine celui-ci doit en effet donner à voir, l’on peut se demander si la seule approche visuelle permet une appréhension suffisante

texte à la scène I/ Scènes d’exposition : Le Misanthrope, de Molière (1666), acte I, scène 1 PHILINTE, ALCESTE. PHILINTE Qu'est-ce donc? Qu'avez-vous? ALCESTE Laissez-moi, je vous prie. PHILINTE Mais, encor, dites-moi, quelle bizarrerie... ALCESTE Laissez-moi là, vous dis-je, et courez vous cacher. PHILINTE Mais on entend les gens, au moins, sans se fâcher. ALCESTE Moi, je veux me fâcher, et ne veux point entendre. PHILINTE Dans vos brusques chagrins, je ne puis vous

religion, le renouveau de la création, une plus grande liberté sociale et politique laissent libre cours à un théâtre relativement varié, avec en tout cas très peu de règles, et une place importante donné au théâtre de foire, itinérant  dans lequel Molière s’illustrera. Deux genres sont alors privilégiés : la pastorale (ou la tragi-comédie) et la farce, au détriment de la tragédie et la comédie telles que la proposaient les humanistes et qui, nous le verrons, ont largement influencé la comédie classique