Mon Mal Vient De Plus Loin

"Se donner du mal pour les petites choses, c'est parvenir aux grandes avec le temps" Samuel Beckett La citation : " Se donner du mal pour les petites choses, c'est parvenir aux grandes, avec le temps" de Samuel Beckett signifie que, dans la vie, nous devons toujours poursuivre notre effort, chaque jour, sans nous laisser distraire ou détourner. Nous devons tolérer, et même plus, nous devons souffrir pour atteindre notre but. Nous devons croire en nos projets, même si parfois

(tout le monde à ses défauts), n’hésitez pas ! Ce ne serait pas mal de débattre un peu si le sujet vous inspire. (Failli lui rendre une feuille blanche tellement le thème me saoulait, pour vous dire ! Peut-être que j’aurais mieux fait, après tout ?) Sinon, ben, tant pis. PS : C’est pas mal du tout, ça, après tout, comme sujet d’exo ? Une sorte de disserte foireuse et totalement délirante d’une page A4 plus ou moins avec des arguments plus loufoques les uns des autres ? Mais, ne comptez pas sur moi

c’est qu’en réalité la norme morale ne vient pas de la société. Il n’y a pas de consensus social évident en faveur de ce qui serait « la » morale. La société rejette l’individu sur ses responsabilités, mais le laisse aussi dans la confusion. Une morale, ce n’est pas les mœurs, tels qu’ils ont court, c’est un idéal ce qui devrait être, si les hommes étaient moralement intègres. Les mœurs ne reflètent que l’état de fait, pas du tout à un idéal. Le bien et le mal ne peuvent pas se ramener à ce qui est

la philosophie ? “ Cette question n’a jamais cessé de travailler la philosophie, nuance Gérard Bailhache*, professeur de philosophie à l’ISTR de Marseille. Elle a semblé absente parce qu’elle n’était plus traitée sous l’angle métaphysique depuis Kant. Mais elle s’est enracinée dans une approche plus centrée sur l’histoire et la culture. Dans cette perspective, la notion de Dieu est prise comme une donnée culturelle qui, parce qu’elle a produit du sens et façonné des manières de penser durant vingt-cinq

s'envole-t-il, Agathe, Loin du noir océan de l'immonde cité Vers un autre océan où la splendeur éclate, Bleu, clair, profond, ainsi que la virginité ? Dis-moi, ton coeur parfois s'envole-t-il, Agathe ? La mer la vaste mer, console nos labeurs ! Quel démon a doté la mer, rauque chanteuse Qu'accompagne l'immense orgue des vents grondeurs, De cette fonction sublime de berceuse ? La mer, la vaste mer, console nos labeurs ! Emporte-moi wagon! Enlève-moi, frégate ! Loin! Loin! Ici la boue est faite

l’heure est venue de se dire au revoir… On aura passé de très bons moments ensembles, toi et moi, je ne pourrai jamais les oublier… Moi non plus je ne les oublierai jamais, en peu de temps tu as éblouis ma vie, tu l’as remplie de bonheur. Je n’arrive pas à imaginer que dans quelques heures, je serai loin de toi, très loin de toi… Ça me fait mal au cœur de savoir que nous nous reverrons seulement l’année prochaine. Ton absence sera très difficile à gérer, tous ces moments sur la plage

P A T R E I C LE S PASSAGER N K É C A L ALIRE Extrait de la publication Extrait de la publication À PROPOS DE PATRICK SENÉCAL… « […] UN AUTEUR QUÉBÉCOIS QUI POSSÈDE L’ART DE NOUS ÉBRANLER LES ÉMOTIONS ET QUI NOUS ENTRAÎNE LOIN, TRÈS LOIN, DANS LE GOUFFRE DE LA DÉMENCE. » Le Soleil « À L’AVANT-PLAN DE SES HISTOIRES, IL Y AURA TOUJOURS… DES HISTOIRES, JUSTEMENT. ET IL [PATRICK SENÉCAL] EXCELLE À CELA. PRENANT PLAISIR À BÂTIR CETTE MÉCANIQUE TRÈS PRÉCISE QU’EST CELLE DU THRILLER, HUILANT

Baudelaire Introduction : -Baudelaire : poète et critique d’art du 19e siècle, entre Romantisme, Parnasse et Symbolisme, considéré comme le père de la poésie moderne, meurt très malade -poème qui vient du recueil de poèmes Les Fleurs du Mal publié en 1857 -sonnet qui appartient a la 2e section des Fleurs du Mal, la section Tableau parisien  -intimement lié a l’univers urbain et au spectacle qu’il offre - présente une scène de la vie quotidienne prise dans le vif -rencontre fugitive

enfance à fabriquer nos rêves, les remodeler, ajouter des éléments, éliminer d'autres. Puis, un jour, tout s'effondre, le monde des rêves vient salir la réalité, en nous montrant brusquement ce qu'est vraiment la vie, et ce qu'est vraiment un rêve: deux mondes qui ne se rencontreront jamais. "L'optimisme est la rage de soutenir que tout est bien quand on va mal", c'est l'attitude délibérément mais difficilement choisie, face a une brusque déception de la vie, et la peur agaçante de la voir s'écrouler

mois, les rues de Santiago s'étaient remplies de militaires. Pedro avait remarqué que tous les soirs son papa s'asseyait dans son fauteuil favori, sortait l'antenne de son appareil vert et écoutait attentivement des nouvelles qui arrivaient de très loin. Parfois venaient des amis de son père qui fumaient comme des cheminées et qui, après, s'étendaient sur le sol et approchaient leur oreille du récepteur comme si on allait leur distribuer des friandises par les trous.Pedro demanda à sa mère : « Pourquoi