Mon Oncle Jules

au conseil municipal d'Amiens, mais je dois malheureusement m'absenter pour sans aucun doute quelques mois vers l'Atlantide. Je rejoins mon ami Christophe au port de Marseille, ce qui me fait un trajet d'environ 20h, si l'on ne s'arrête pas. Son oncle habite en Inde, et il détient la fameuse invention, qu'il m'est pressé de voir. 16 Avril 1888 : Dès que je suis arrivé à Marseille, Christophe fut enchanté de me voir. Nous avons passé une nuit chez lui, histoire de me reposer, car le trajet

passant sur un pont où s’amoncelaient des cadavres. Elle fut enterrée au cimetière catholique polonais de Gross Glogau. L’enfance et la première adolescence de Gérard se déroulèrent chez son oncle, Antoine Boucher ; là, raconte-t-il, il lisait, caché dans le grenier, les livres d’hermétisme et de magie que son oncle y avait entassés, pensant qu’ils y seraient en lieu sûr. Cette période de paix, de repos spirituel, de vie extérieure aimable, d’ambiance paysanne, brillera toujours comme une douce étoile

rose. - Pierre-Jules Hetzel : Va penser à la qualité des œuvres pour enfants. Il va lancer une revue « le nouveau magasin des enfants » en 1843. Il veut que des grandes plumes écrivent pour des enfants : il va demander des contributions de grands auteurs. Quelques années plus tard, il republie les contes de Charles Perrault, par Gustave Doré. Il réédite de nouveau une revue « le magasin d’éducation et de récréations ». Editeur exclusive de Jules Verne. Jean Macé :

internés en Belgique, 10 000 repliés à Paris, 400| |canons, 1 200 chevaux pris ; Allemands : 10 000 † ou blessés sur 250 000 h. (Napoléon III, qui accompagne Mac-Mahon, est fait | |prisonnier : interné à Wilhelmshoehe ancienne résidence de son oncle Jérôme (Bonaparte), roi de Westphalie près de Cassel jusqu'au | |19-3-1871, il rejoint ensuite sa femme et son fils à Chislehurst ; | |-27-9 Strasbourg capitule (après 2 mois et

maison Question : « Dans les textes 1 et 2, les personnages nous sont ils présentés de la même manière et avec les mêmes qualités ? » Notre corpus est composé de quatre textes, tous extraits de roman. Il y a un texte écrit en 1876 par l' Amiénois Jules Verne, Michel Strogoff, un autre, Voyage au bout de la nuit, principal œuvre de l'auteur Céline, puis un extrait du roman Aurélien d'Aragon, et enfin, un extrait de l'Extension du domaine de la lutte, écrit par l'auteur controversé, Michel Houellebecq

dédaigne les attaques "ad personam" – du moins théoriquement : protégé par l'Empereur, Horace ne se gênait pas toujours pour désigner nommément ses victimes. Du Bellay fait de même : il "pardonne aux personnes" tout en condamnant des types... même si Jules III, Paul IV, Carlo Caraffa et bien d'autres apparaissent sous des portraits transparents, et mieux encore aux yeux des contemporains qu'aux nôtres. I) Nous pouvons aussi nous demander pourquoi Du Bellay fait cette satire de Rome : Il ne reste pas

peut-il parler aussi clairement en public, lui qui a d'ordinaire la langue si empâtée ?» Par la suite Auguste, encore empereur, lui a conféré le sacerdoce des augures, titre peu honorifique. Il demanda également l’obtention d’un titre à son oncle Tibère qui lui accorda les ornements consulaires (insignes extérieurs d’une magistrature, d'une dignité ou d’une fonction donnée comme récompense honorifique) mais pas plus. Claude lâche l’affaire, et finit par se

Louise Michel s'installe à Paris pour enseigner dans l'institution de madame Voillier. Pour satisfaire sa soif de connaissance, elle suit les cours du soir dans les domaines les plus modernes du savoir. A Paris, Louise Michel fait la connaissance de Jules Vallès, Eugène Varlin, Rigault, Eudes, et surtout Théophile Ferré, qu'elle aime avec passion. Elle écrit pour des journaux d'opposition et rédige des poèmes qu'elle adresse à Victor Hugo. Elle entretient avec l’auteur des Misérables une longue correspondance

mais qui peuvent paraitre comme réels face au lecteur. Cela peut permettre une certaine liberté dans l’écriture du roman. On peut citer Zazie dans le métro de Raymond Queneau où l’auteur imagine la vie d’une jeune fille, Zazie, débarquant chez son oncle à Paris. Ce roman se caractérise, comme presque tous romans de Queneau, par sa forme structurelle et rigoureuse. On constate la légèreté et la facilité d’un rêve dans ce roman appartenant au domaine de la confusion et du déguisement dans lequel l’irréalisme

n'est pas connu. Durant tout le roman, elle s'efforce de garder sa famille unie. • Pa (Tom) Joad : patriarche de la famille Joad, mari de Ma Joad. • Al Joad : frère cadet de Tom. Il est passionné par les voitures et par les filles. • Oncle John Joad : frère de Pa Joad. Personnage lunatique, il est hanté par la mort de sa femme alors que celle-ci portait un enfant, mort dont il se sent responsable. • Jim Casy : ancien pasteur, il se joint à Tom Joad au début du roman et accompagne