Mon Père Je M Accuse

enfants  congolais de Kinshasa accusés de sorcellerie qui sont abandonnés par leurs parents en 2003. 2.2 Le document 2 est un extrait du programme télévisé de type informatif. Il annonce un reportage qui se déroule dans l’ex-Zaïre en 2006 sur le thème des enfants sorciers abandonnés par leurs parents. 2.3 Le document 3 est un article de presse électronique de 2009 de type informatif et descriptif. Il nous raconte l’histoire de Jeremiah, un jeune Nigérien brûlé par son père qui l’accuse d’être sorcier

Elle se rend chez son père au Sénégal, à la demande de ce dernier, afin d’aider son frère Sony à sortir de prison. Le livre commence avec Norah qui arrive chez son père. On comprend vite que celui-ci, jadis un homme d’affaire «sans beauté particulière mais brillant, astucieux, impitoyable et rapide et qui […] avait toujours vécu entouré de toute une petite société reconnaissante et soumise» (p.18) est maintenant un vieillard seul, misérable et sans élégance. On apprend que le père de Norah a quitté la

Albert Camus est né en 1913 à Alger dans un quartier très pauvre. Son père est mort à la guerre, sa mère est sourde-muette, il est donc élever pas sa grand-mère qui lui laisse peu de liberté. Il travaille dur pour apprendre la langue française et devient un des plus grands auteurs français. Il voulait devenir professeur de lettre mais il n’a pas pu passer le concours à cause de sa maladie. Il représente le mouvement réaliste et sort La Peste en 1947. L’histoire se passe à Alger en 194. et relate

fille de Titus, Lavinia. Titus accepte, bien que Lavinia soit déjà fiancée à Bassianus, qui refuse de la laisser partir. Les fils de Titus lui disent que Bassianus est dans son droit, selon la loi romaine, mais Titus refuse de les écouter, et les accuse tous d'être des traîtres. Une dispute éclate, au cours de laquelle Titus tue son propre fils, Mutius. Saturninus dénonce alors la famille Andronicus pour leur effronterie. Titus, épouse Tamora. Tamora met alors en route son plan de vengeance ; elle

narrateur, Jean Rezeau, dit Brasse-Bouillon. Ce dernier décrit ses rapports avec sa famille, et notamment sa mère Paule Pluvignec, dite Folcoche, une véritable marâtre. Ce roman est un huis clos entre la mère indigne, les trois enfants martyrisés, le père démissionnaire et un précepteur changeant. Sommaire [masquer] 1 1 Résumé du roman 2 Un roman autobiographique ? 1 2.1 Le contexte géographique 2 2.2 Le contexte familial 2 3 Adaptations à l'écran 3 4 Suite 4 5 Éditions 5 6 Notes et références

découvrit son fils aîné Marc Antoine, âgé de vingt-neuf ans, pendu dans la maison familiale. Pour éviter de subir l'opprobre qui frappait les proches en cas de suicide, la famille décida de maquiller l'affaire en accident. Dénoncé, Jean Calas fut accusé d'avoir tué son fils pour empêcher celui-ci de se convertir au catholicisme, comme il en aurait manifesté l'intention. Aucune enquête ne fut entreprise pour connaître la réalité des faits. Jean Calas, sa femme et son fils Pierre furent soumis à la

Il est étudiant à l'université de Wittenberg. Le spectre de son père le charge de venger son meurtre. Il y parvient enfin, mais seulement après que la famille royale a été évincée et que lui-même a été mortellement blessé par Laërte d'un coup d'épée empoisonnée. Claudius, oncle du prince Hamlet, est l'actuel roi auto-proclamé du Danemark. Il s'est marié avec la veuve de son frère, auquel il a succédé. Le spectre de ce dernier accuse Claudius de l'avoir assassiné pendant son sommeil, en lui versant

qui ne sera rappelé qu’aux actes IV et V et uniquement par le roi et l’Infante. Chimène, fille de Don Gomès et maîtresse de don Sanche et de don Rodrigue dont elle est aussi l’amante. Don Gomès (le comte), comte de Gormas et père de Chimène. Don Diègue [de Bivar], père de don Rodrigue. Doña Urraque (l’Infante), Infante de Castille [secrètement amoureuse de Rodrigue]. Don Fernand, premier Roi de Castille. Don Sanche, amoureux de Chimène. Elvire, gouvernante de Chimène Léonor, gouvernante de

scientifique, puis des affaires religieuses. Traité sur la Tolérance-1763 Le Traité sur la tolérance été écrit suite à l'injustice faite à Jean Calas, père de famille huguenot accusé du meurtre de son fils, converti au catholicisme. Le suicide du fils, Marc-Antoine plonge la famille Calas dans la tourmente. Son père est faussement accusé d'homicide volontaire. Sa famille cache les circonstances de sa mort pour qu'il ait de véritables obsèques, à l'époque conformément aux lois de l'église catholique

recours à la torture. Après quoi intervient le jugement de condamnation. Ensuite, les accusés sont confrontés aux témoins. Mais les Calas réfutent nient avoir voulu empêcher que Marc-Antoine se convertisse, d’autant plus que celui-ci ne semblait pas user des pratiques liées aux cultes catholiques. Ils affirment également que les cris « On m’étrangle » entendus par les témoins ont été mal compris par ceux-ci. Les accusés sont une nouvelle fois entendus, après que la thèse du suicide soit écartée pour