Monarque Républicain

étaient dépassées conduiraient à un gouvernement de la société arbitraire, et tyrannique. On distingue plusieurs freins au pouvoir royal, ce qui montre bien que le peuple, les conseillés, les juristes, ne souhaitent pas que le pouvoir exercé par le monarque, seul à la tête de l’Etat, ne dévie. Tout d’abord on trouve les barrières morales. En effet, puisque le Roi détient son pourvoir de Dieu, il doit l’exercer avec la sagesse édictée par la foi chrétienne. Il doit se conduire en bon Roi chrétien, protéger

familles aristocratiques. Toutefois, on ne peut mentionner le terme d’absolutisme qu’à partir du règne d’Henri IV, cet absolutisme connait une progression sous Louis XIII avant d'atteindre son apogée sous le règne de Louis XIV, symbole suprême du monarque absolu. Le rayonnement de l'absolutisme va pourtant connaître un déclin lors des règnes des successeurs de Louis XIV. Louis XV subit rapidement une dégradation de sa popularité vers 1750 et le règne de Louis XVI se caractérise par une montée des

des conservateurs et des ecclésiastiques et a des louanges émises par les encyclopédistes comme d’Alembert. Pour certain « l’esprit des lois est la promotion d’un système aristocratique très libéral, pour d’autre c’est une mise en garde envers les monarques et les nobles quant au risque de despotisme s’il ne partage pas les pouvoirs. Quant à d’autres, ils estiment que l’ouvrage a inspiré la constitution de 1791. Dans son ouvrage « l’esprit des lois », Montesquieu donne, de son point de vu, la définition

partir du 17ème siècle, le pouvoir se partageait entre le conseil du roi, de 130 personnes environ, et un petit groupe de ministres et secrétaires d'État. Les sections de gouvernement, les plus importantes, étaient présidées par le roi en personne. Le monarque écoutait beaucoup, s'alignait souvent sur l'avis de la majorité, contrairement aux opinions répandues. Selon Saint-Simon, Louis XIV n'est allé que six fois contre l'avis de son conseil. Les réunions du conseil étaient préparées d’abord par des

régime, le Roi s’est toujours entouré de personnes pour le conseiller et l’aider à trancher les affaires administratives. Cet organe qui conseillait le monarque ne donnait qu’un avis consultatif, c’est le Roi qui tranchait l’affaire.  Le parlement s’est souvent rebellé contre le monarque et a souvent été à l’origine de fronts et du coup les monarques ne voulait pas confier les affaires administratives à des parlements qui représentaient l’ordre judiciaire, parce qu’il s’en méfiait.  Edit de

ne met pas en avant la société de son temps, la pièce reflette tout de même cette société. Par exemple, la pièce Cinna, de Corneille, se déroule sous le règne de Louis XIV et dénonce ainsi la monarchie absolue. Racine, dans Bérénice, dénonce les monarques puissants que Molière admirait. 3) Certains dramaturges décident justement de peindre la société de leur temps par volonté sociale et politique pour changer le monde dans lequel ils vivent. Molière disait vouloir corriger les vices de son temps

afin de comprendre le parcours de l’être humain ainsi que l’instauration des coutumes à travers la politique. Mon regard s’est posé sur le régime monarchique défini par le pouvoir possédé par une seule personne. Ce pouvoir détenu par un seul, le monarque, qui peut à son tour se traduire en deux titres distincts du roi ou de la reine. Ce roi ou cette reine représente légitiment le pouvoir en agissant comme intermédiaire entre la puissance de Dieu et le peuple. Mon questionnement portera sur un œuvre

dans ses droits.  | |-Après la révolution de 1688, le pouvoir du Parlement s’accroît encore. C’est le Parlement lui-même qui donne la couronne au nouveau roi Guillaume II et | |qui, ainsi, prend la responsabilité du changement de dynastie. Le monarque est roi non par l’hérédité, mais par la volonté du Parlement. | |- En 1714, avec l’accession à la couronne de la famille de Hanovre, le pouvoir royal s’affaiblit face, d’une part, à un Parlement toujours plus puissant | |et, d’autre

est des manières et de la façon de vivre comme des modes: les Français changent de moeurs selon l'âge de leur roi. Le monarque pourrait même parvenir à rendre la nation grave, s'il l'avait entrepris. Le prince imprime le caractère de son esprit à la cour, la cour à la ville, la ville aux provinces. L'âme du souverain est un moule qui donne la forme à toutes les autres. » Le monarque, le prince souverain, cour, ville, Province. Présent de vérité générale. Critique du roi : • Il compare les

propre à susciter l’engouement et l’adhésion du peuple autour de lui, augmentant considérablement sa force de persuasion et son pouvoir sur la collectivité. Celui-ci est vu comme une personne hors du commun, dotée de capacités extraordinaires. Le monarque absolu avait par exemple le pouvoir de guérir les sujets du royaume des maladies les plus infâmes lors de la cérémonie des Ecrouelles. Car on accordait au Roi un pouvoir venu de Dieu. Le tyran va d’ailleurs souvent avoir recours à une mystique particulière :