Monastères Xii

Cluny : un lieu d'exception - L'ordre de Cluny voit le jour durant le début du X e siècle - Ordre bénédictin = Règle de Saint Benoît - La vie des moines se règle selon la liturgie des heures, et ainsi ils priés tout le long de la journée Le monastère fut fondé par Guillaume duc d'Aquitaine et comte de Macon par un acte datant du 11 septembre 909. Guillaume fait don de l'abbaye à l'abbé Bernon et en fait un lieu de prière et d’accueil des pauvres et des pèlerins. Mais ce qui va rendre cette

siècle, l'art monastique l'emporte sur l'art des cathédrales. La mainmise des seigneurs sur les évêchés a détourné les dons des fidèles vers les monastères, qui bénéficient pour l'instant d'une meilleure réputation. En effet, si les monastères sont également utilisés par les puissants, ils le sont d'une manière toute différente. La création d'un monastère par un puissant peut correspondre à une volonté de rachat (c'est le cas de Guillaume de Normandie, avec le fondation de l'Abbaye aux Hommes de Caen)

FICHE – Les extensions sur entités (Merise 2) 1 . Généralisation/spécialisation d’entités La spécialisation permet de lier à une entité générique une ou plusieurs entités spécialisées. Propriétaire Entité générique Numpro Ruepro Cppro Villepro PP Entité spécialisée NomPP SCI NomSCI Refbanque Fraisges Règle : Les entités spécialisées n’ont pas d’identifiant. Elles héritent de l’identifiant de l’entité générique. Passage au modèle logique: Propriétaire (Numpro, Ruepro,…) PP (Numpro

Clunisienne 1. L'autonomie de Cluny. C'est à l’origine, un monastère qui va s'accroître grâce aux donations et qui va se trouver à la tête de différents monastères. Cluny était autonome, indépendante de toute autorité civile ou religieuse. Elle va devenir un chef d’ordre de ce qui sera le plus puissant ordre durant le moyen-âge. 2. Berzé la ville: un site clunisien. L'influence de Cluny a été déterminante et de nombreux monastères vont décider de suivre le modèle clunisien. Ils n’obéissaient

l’excommunication, ou encore le fait qu’elle impose la paix et la trêve de dieu (pas de combat durant les fêtes), démontrent son autorité politique. Outre son rôle politique, le clergé a la responsabilité d’assurer l’enseignement dans les écoles des monastères et évêchés. Au Moyen Âge, les ecclésiastiques détiennent le savoir. Les premières universités apparaissent à la fin du XIIe siècle sous le contrôle du pape et enseignent à une élite intellectuelle. Lieu de consécration, de vie, de culte

pour que l'offenseur soit damné, malgré tout les moines dans le document 2 veulent faire peur en parlant d’excommunication et d’anathème ligne 2 « nous frappons de l’excommunication et de l’anathème ». Le rite de la malédiction pratiqué dans les monastères cherche également à mettre en relief les offenses de l'adversaire et à revendiquer le droit de maudire leurs opposants c’est ce que l’on voit dans le document 2 dans la formule de malédiction ligne 9 «  que la mort vienne sur eux et qu’ils descendent

l’Eglise et d’oublier la loi Bénédictine. Ce que veut Saint Bernard de Clairvaux c’est revenir  d’une application plus stricte de la règle de Saint Benoit en insistant sur la pauvreté. C’est alors que Saint Bernard de Clairvaux  décide de fonder les monastères cisterciens où est appliqué la loi cistercienne qui consiste à une extrême pauvreté qui se vit au quotidien, au travail manuel et intellectuel intense, avec l’obligation de s’isoler du monde et la pratique de la charité.                   St

Jean n’en veut à aucun prix : « Car comment pourrais-je, dit-il, gouverner autrui, qui moi-même gouverner ne saurais ? ». C’est dans cette remarque, frappée au coin du plus authentique bon sens, que réside le secret de Thélème. Jusqu’ici dans les monastères, les religieux étaient soumis à une règle sévère, qui leur dictait leurs faits et gestes, ne laissant au libre arbitre, à l’initiative individuelle, aucune chance de s ‘exercer. Tout en irait autrement si, dans une abbaye créée selon des principes

qui vivent avec les laïcs forment le clergé séculier (« dans le siècle »). • À l'écart du monde vivent des religieux qui sont en général groupés dans des monastères. Ils suivent une règle, sous l'autorité d'un abbé ; c'est pourquoi les moines constituent le clergé régulier.La règle de saint Benoît sert de modèle à presque tous les monastères ; les bénédictins vivent en communauté, se consacrent à la prière, à la méditation et au travail manuel. II. Son influence dans la vie quotidienne • L'Église

Bénédictins ( Religieux de l'ordre de Saint Benoît ) où il fera ses voeux en 1721. Il vit par la suite dans différents monastères ( Où vivent les moines ) qui sont pour la plupart de tendance janséniste. Prévost se consacre alors à l’étude de la théologie ( Etude de la religion, des textes sacrés, des dogmes ), est ordonné prêtre et prononce des sermons. En 1727, il est envoyé au monastère parisien de Saint-Germain-des-Prés où il contribuera à la Gallia christiana, ouvrage historiographique collectif en