Mondialisation Et Crise Du Fordisme

d'économie de Paris. Daniel Cohen publie également des ouvrages proposant diverses approches de l'économie dans la société contemporaine, comme 'Monnaie, richesse et dette des nations' (1987), 'Les Infortunes de la prospérité' (1994), 'La Mondialisation et ses ennemis' (2004) ou 'Trois leçons sur la société postindustrielle' (2006), pour la plupart traduits dans plusieurs langues. En 1997, il est désigné 'économiste de l'année' par le Nouvel Economiste pour 'Richesse du monde, pauvreté des nations'

la médecine, révolution des transports, révolution de l'informartique, révolution des médias, et l'accélérations des innonvations) ainsi que l'évolution des systèmes de production (fordisme et travail a la chaine, automatisation du travail industriel, developpement du secteur secondaire puis tertiaire, mondialisation et délocalisation et dévoleppement des sociétés anonymes puis des multinationales) ont eu des grands impacts sur la société des pays dévellopés. En effet, il a été constaté que depuis

valeur. Dans les pays développés, réglementations, syndicalisme. Les prolétaires de tous les pays n’ont pas intérêt à s’unir. Leur intérêt est contraire : ceux du N ont obtenu des avantages qui contribuent à cet échange inégal. B] Impérialisme et mondialisation transforment les échanges en guerre : 1°)Le CI selon Lénine ou la contrainte des approvisionnements : 1916 : « Impérialisme, stade suprême du capitalisme ». Il formule la baisse tendancielle des taux de profit : pour résister à la concurrence

territoriales  13 a)Mutations de l’espace productif  13 b)Entre crise et reconversions  14 c)Reconversion de la Lorraine : l’exemple du PED de Longwy 14 d)Le Nord  15 e)Les espaces de la bordure orientale du Massif Central  15 Conclusion  16 La France est la quatrième puissance industrielle mondiale, loin derrière Etats-Unis, Japon, Allemagne, talonnée par Italie et Royaume-Uni. Modernisation rapide de l’appareil productif, mondialisation et tertiarisation de l’industrie, contribuent à modifier

CARACTERISTIQUES DES CRISES A. La crise dans le cycle Juglar B. Les cycles longs « Kondratief » C. Perspectives historiques des crises II. L’INTERPRETATION THEORIQUE DES CRISES A. L’école libérale et la crise de l’offre B. L’école keynésienne et la crise de la demande C. L’école de la régulation et la crise du modèle fordiste D. Schumpeter et la création - destruction III. LES CRISES CONTEMPORAINES A. La crise de 1929 B. La crise de 1975 C. La crise de 1992 D. La crise de 2007 2 INTRODUCTION C’est

Aussi, de 1850 à 1938, l’industrie demeure puissante en Europe, mais sa croissance est alors plus rapide aux Etats- Unis, premier pays à mobiliser les ressources du pétrole et à pratiquer de nouvelles méthodes de production, avec le taylorisme et le fordisme. On cherche donc à produire plus, comme par exemple Henry Ford a partir de 1914 : il verse aux ouvriers de hauts salaires afin qu’ils consomment davantage. On est donc en recherche du profit et c’est donc l’application du capitalisme : système économique

faut être capable d’écrire un cours paragraphe : (biographies en fin de manuel) - J. M. Keynes Les mots de vocabulaire qu’il faut savoir définir : - croissance économique - fordisme - Etat-Providence - Mondialisation - Société de consommation / société de communication - Pop-art / contre-culture - Crise économique / dépression - Société post-industrielle - néolibéralisme La problématique du chapitre : Comment est-on passé d’un monde constitué de sociétés ravagées par la guerre

chose. - Immatérielle ou une activité de service. Les 4 objectifs que vise à combiner la G.P. et qui a priori ne peuvent fonctionner ensemble sont : - Produire au moindre coût : en effet nous sommes dans une situation de Globalisation (Mondialisation) de l’économie, il faut donc tenir compte de la concurrence au niveau mondial et non plus au niveau local (= national) (après l’éclatement de l’URSS on voit apparaître un main d’œuvre de moindre coût en Europe de l’est ). produire à moindre

Depuis la crise du Fordisme, la flexibilité du travail, que l’on pourrait traduire comme la facilité d’utilisation de la force du travail, s’est développée dans notre pays à la demande des entreprises, soucieuses d’améliorer leur compétitivité dans l’espoir de résorber le chômage. En effet, entre 1998 et 2001, le chômage a reculé de plus d’un million de personnes en France. Durant cette période, la flexibilité du travail (CDD, Intérim, temps partiel, annualisation du temps de travail, etc…) à

répercussions spatiales des facteurs narrés dans les deux premières parties et l'avènement d'une économie-monde multipolaire. D'emblée, il nous apparaît pertinent d'évoquer la mise en place de nouvelles méthodes de travail et de production. Le Fordisme et le Taylorisme avaient constitué des « révolutions » au début du XX e siècle. Ces deux conceptions vont être perfectionnées au cours des années 1960'. En effet, les FTN , ou firmes trans-nationales, toujours plus nombreuses, ont petit à petit