Mondialisation Gagnants Perdants

LIBRE ECHANGE ET /OU PROTECTIONNISME : L’HISTOIRE A-T-ELLE TRANCHE ? Introduction (La mondialisation de l’economie, rupture ou continuite ?) • Avancées et reculs du LE jusqu’à la seconde guerre mondiale : Dans le monde pré-industriel, les échanges internationaux répondent essentiellement au souci mercantiliste d’accumuler des métaux précieux et de favoriser les exportations. Ces éco pré-industrielles sont donc protectionnistes. Avec la RIndustrielle, on constate un abandon progressif

capital et du travail) et le 20ème (complémentarité entre capital et travail qualifiée). - Un événement technologique majeur : l’avènement des TIC. Mais selon la thèse régulationniste : le progrès technique n’est pas le déclencheur unique. La mondialisation et l’évolution des normes de consommation jouent aussi un rôle important. Les changements dans les années 80 résultent de divers changements : technologiques, organisationnels, institutionnels. *

le corps est devenu un objet de narcissisme et de prestige. Comme l’obsession de la minceur, la manie d’etre Barbie pour les filles, d’etre belle a tout prix. Le moi et la beauté La perception de la beauté relève de la culture. Avec la mondialisation, elle est aujourd’hui reliée à la commercialisation et même à l’industrialisation d’ un modèle unique de jeunesse : la minceur. Cette beauté idéalisée est disponible si on y met l’argent nécessaire. Le fait de correspondre à ce standart de beauté

| |“Les autoroutes de l’information et | |la mondialisation.” | | | |

conditions de l’égalisation des prix des facteurs ....................................................... 11 Prix et quantités................................................................................................................ 13 Gagnants et perdants de l’échange ................................................................................... 17 Echange et avantage comparatif....................................................................................... 19 L’économie intégrée

.63 2 INRODUCTION GENERALE Les phénomènes actuels de mondialisation marquent une rupture par rapport au mouvement d’internationalisation antérieur aux trente dernières années, car ils mettent en jeu la disparition de l’économie internationale comme principe d’organisation unique de l’économie-monde. "L’« économie mondialisée », qui serait le point d’aboutissement hypothétique de cette « tendance » qu’est la mondialisation, pourrait être définie comme une sorte d’antithèse de l’économie

MONDIALISATION ET PAUVRETE Mémoire de géopolitique 1 MONDIALISATION ET PAUVRETE Sommaire PARTIE I : LA MONDIALISATION, FACTEUR D’INEGALITES ET SOURCE D’APPAUVRISSEMENT Une polarisation du monde de plus en plus marquée Les sources de déséquilibres La fin du mythe d‟une mondialisation vertueuse La mondialisation, terreau des inégalités PARTIE II : LA MONDIALISATION AU SERVICE D'UN MONDE MEILLEUR La mondialisation, un bouc émissaire commode Une chance pour les pays du Sud ? La

mouvement de mondialisation : phénomène marquant : l’irruption de l’Inde et de la Chine qui est devenu le premier exportateur mondial en 2010. * Boom technique : progrès énormes réalisés dans la communication et les transports, ce qui a favorisé les échanges de biens et de personnes ou les échanges d’informations. Le boom de la microinformatique puis de l’internet a ouvert ka voie à des organisations internationales et impensables auparavant (ex : célèbre poupée Barbie). * Mondialisation du travail

société, des institutions internationales aux gouvernements, des entreprises privées aux associations à but environnemental ou social. Qu’en est-il exactement du développement durable, concept fourre-tout ou alternative réelle ? Allié de la mondialisation et du marché ou résistance aux abus de ce marché ? 2. Origine de la notion de développement durable La notion de développement durable a vu le jour en 1987 avec le rapport Brundland " Notre avenir à tous ", du nom du Premier Ministre norvégien

stocks options payés, au prix de millions de chômeurs et de délocalisations, de l’exploitation sans vergogne des travailleurs pauvres des pays émergents. Comme on le dirait dans le langage du golden boy branché « c’est gagnant –gagnant » pour les multinationales. Et « perdant perdant » pour l’ensemble de nos concitoyens, qu’ils soient employés du secteur privé ou public, cadres ou professions libérales, artisans, commerçants, agriculteurs ou pêcheurs ! Et, cerise sur le gâteau, c’est assurer le