Mondialisation Souterraine

D'autres logiques d'organisation de l'espace mondial La mondialisation est un courant profond et irréversible de l'évolution de la planète. Cependant, elle n'est pas complète et se combine à d'autres logiques préexistantes de l'organisation de l'espace mondial, reposant par exemple sur les héritages des grandes civilisations, le rôle dévolu aux États. Par ailleurs la mondialisation n'est pas sans revers. Elle s'accompagne d'un accroissement des inégalités entre les pays riches et les pays pauvres

Constitution à l’origine de notre V° République. BAC STG: DECOUVRIR L’ALTERMONDIALISME AVEC TOUPIE.ORG Pour ceux qui révisent la question obligatoire Cultures et religions du programme de géographie de TSTG et “les formes de contestation de la mondialisation par la culture et la consommation” voici un site original qui permet de découvrir les idées du mouvement altermondialiste au travers de biographies, de citations et surtout d’un riche dictionnaire thématique et d’une bibliographie extrêmement

exigences, telle la privatisation. Ce qui, inévitablement, entraine la vente des actifs d’un pays à des entreprises occidentales. Habermas indique que le politique et les états-nations qui voient se dégénérer la politique à cause de la mondialisation utilisent deux stratégies opposées pour en contrer les effets : La rhétorique défensive et la rhétorique offensive. La rhétorique défensive est un mouvement de droite qui implique, premièrement, le Protectionnisme. C’est-à-dire que les gouvernements

est qu’il est apparu dans un contexte de mondialisation acceptée. Dans l’histoire du développement des pays en voie de développement, la spécificité du modèle de croissance chinois, qui profite du phénomène de mondialisation, est son pacifisme. En effet, ce modèle ne débouche pas sur des conflits, n’entraîne pas une fermeture et un repli destinés à favoriser la croissance intérieure mais au contraire a su prendre en compte la mondialisation, les . interdépendances et les contraintes

soient pas fondés sur une peur de l'inconnu. C'est pourquoi, Mme Ghislaine Glasson-Deschamps, ramène le lecteur à la réalité. En effet, il ne faut pas oublier, lorsque l'on parle de dialogue interculturel, la notion de diversité culturelle. La mondialisation des marchés économiques et le flux croissant de populations qu’elle engendre amènent de plus en plus les individus à communiquer à l’échelle planétaire, à rencontrer, échanger, vivre et travailler avec des interlocuteurs issus de contextes linguistiques

migratoire respectif procédure constitutionnelle, modalités d’entrée et lien avec le marché du travail, acquisition de la nationalité - il existe une préoccupation commune pour ce qui est de la maîtrise des flux. Mais, à défaut de pouvoir affirmer la mondialisation du phénomène - faute de données -, l'accentuation de la dimension régionale est manifeste. Les pays récepteurs sont, en effet, soumis à deux types de contraintes : d'un coté les déséquilibres entre les pays riches et les pays pauvres incitent

: LES ATTENTES DES CLIENTS Vue Années 90 Les années 90 voient un rejet violent de l’hyper-individualisme agressif des années 80. Une sourde inquiétude sociale s’est développée : montée du chômage, ravages du SIDA, incertitudes face à la mondialisation, accroissement des écarts. Le temps n’est plus à l’affirmation de la toute puissance de l’individu souverain. Au contraire un besoin de réassurance émerge. Le terroir, la famille, la santé, la sécurité s’imposent comme des valeurs refuges. Aux

territoires et nouvelles frontières dans la mondialisation Le bornage du monde paraît fortement bousculé par la mondialisation et son accélération depuis 1970 .Certains économistes comme R O’Bryan parlent de la « fin de la géographie » dès lors que la mondialisation relève de l’ordre de l’instantanéité, de l’abolition des distances, de la mobilité accrue .Privé de sens le monde serait privé de frontières… Est-ce à dire que la mondialisation dans l’interdépendance ne consacrent pas de

compétitivité…………………………... Chapitre 3 : Cas pratique…………………………………………………………………. Conclusion ……………………………………………………………………………………. Bibliographique ………………………………………………………………………………. ****** Le changement de millénaire a marqué l'avènement de la mondialisation des marchés et de la globalisation financière. Les entreprises sont, de plus en plus, ouvertes à une concurrence mondiale où les facteurs contribuant à la compétitivité tels que la qualité, les prix concurrentiels et la livraison dans les délais

fiance directe qui passe par les marchés - En 2008 : Krach financier d’un système qui est devenu de + en + risqué. Ce n’est pas une nouveauté, c’est inhérent au Capitalisme, surtout dans un contexte de mondialisation. Cette crise est classique mais brutale car dans le contexte de la mondialisation(globalisation) - NB : Une crise économique commence toujours par une crise financière 2 – le pire qui pourrait arriver serait de subir la « dépression » de la crise de 29 En 1929 : croissance négative