Monétarisme

d’autres termes, la politique monétaire peut jouer provisoirement un rôle de relance, mais les gens finissent par s’adapter et l’outil monétaire par s’émousser, si bien qu’il ne reste que l’impact sur les prix. Cette analyse est connue sous le nom de monétarisme. Mais Friedman a également apporté des contributions importantes sur trois autres points : – le revenu permanent : le niveau de vie est déterminé non pas par ce que je gagne, mais par ce que j’ai l’habitude de gagner, et ce revenu « permanent »

critique : si l'agent vois que le taux critique est inférieur dans cette formule, il va entierement placer sous forme de titre. Au contraire, si le taux critique est supérieur à cette formule, a ce moment il va tout placer en liquide. B. Le monétarisme de M. Friedman ou le renforcement de la TQM. a. Une vision élargie de la demande de monnaie. Friedman va rester et aboutir a des conclusions qui sont classiques voire néoclassiques. Il renforce la TQM à un pts elever. M.Friedman, importance

Modigliani, Paul Samuelson, Robert Mundell, Robert Solow ou encore Edmond Malinvaud en France. Il convient de ne pas confondre ce courant avec celui des nouveaux keynésiens et les post-keynésiens. Les monétaristes [modifier] Article détaillé : monétarisme. Au début des années 1960, plusieurs économistes menés par Milton Friedman (chef de file de l'école de Chicago) tentent de relancer la théorie quantitative de la monnaie mise à mal par les analyses keynésiennes. Étudiant le cas américain (M. Friedman

naturellement, « la stabilité des prix », et poursuit aussitôt en écartant une objection fréquente : «Pourquoi pas la croissance et la création d’emplois, en sus de la stabilité des prix ? » La réponse fournie est le produit des enseignements du monétarisme et de la nouvelle macroéconomie monétariste classique : « En matière monétaire, c’est par la stabilité des prix que l’on peut atteindre les objectifs de croissance, de création d’emplois et de lutte contre le chômage ». J.-C. Trichet voit deux avantages

obsession d'avoir le peau de Keynes, il souhaite réfuter ses thèses. Friedman est le fondateur de l'école de Chicago qui est une école économiste qui vise à remettre en cause les thèses de Keynes. Les membres de l'école de Chicago vont intégrer le monétarisme, méthode monétaire uniquement basé sur l'inflation. Ces monétaristes sont des économistes qui vont influencer les présidents des états-unis et le premier ministre au début des années 80. La consommation courante dépend du revenu courant mais surtout

compétitive, on s’aligne sur la PE américaine, qui avait changé radicalement à partir de 1979, on augmente les r nominaux de manière a ce qu’il dépasse le taux d’inflation et que le taux r réel soit positif et croissant car on adhère au diagnostic du monétarisme. Ce qui fait baisser la demander de crédit. Parallèlement on réduit les subventions budgétaires, on essaie de contrôler les demandes budgétaires, le taux de croissances publiques a commencé à ralentir, mais ces dernières ne baissent pas car on

change fixe par rapport au dollar, et assurent la convertibilité de la monnaie en or comme référence. Puis, à partir des années 80, cette politique s’est surtout basée sur la volonté d’une stabilité des prix. A la suite du développement du monétarisme dans les années 1970, une politique de croissance des agrégats monétaires a été menée. On voulait alors augmenter la masse monétaire au même rythme que le produit national. L’objectif fixé était alors de stabiliser l’inflation. Puis une nouvelle

projets mercantilistes en Espagne et au Portugal. Au milieu du XVIème siècle, les auteurs espagnols et portugais ont encore en tête les pensées scolastiques. Ils vont soulever, grâce de multiples réflexions de nouvelles polémiques en matière de monétarisme. Dans les années 1560, on voit naître le courant des arbitristes, principalement composé d’auteurs issus de la société marchande qui envoient des mémoires, a pour but d’orienter la politique du roi. Ces auteurs vont anticiper les problèmes que

marché, il insiste sur l’intervention de l’Etat qui joue selon lui un rôle de régulateur), la place de la monnaie qui est loin d’être neutre et l’analyse du sous-emploi (la notion du chômage involontaire). VII. Le courant néolibéral : 1) Le monétarisme : Chef de file : Milton Friedman. Un courant qui s’oppose ouvertement à l’analyse keynésienne. La théorie monétariste de la monnaie : Il considère que la monnaie est neutre (faible), elle ne peut pas être utilisée comme un moyen pour relancer

en œuvre des actions de politique économique pour atteindre la croissance ou le plein emploi Politique budgétaire de relance (ou de rigueur) V) La pensée économique contemporaine A) Le renouveau des idées classiques et néoclassiques Le monétarisme (M Friedman) : une création excessive de monnaie génère de l’inflation (théorie quantitative de la monnaie) L’école des choix publics (Buchaman/Tullock) : les hommes politiques sont des hommes rationnels qui recherchent leurs intérêts personnels