Monétarisme

l'objectif immédiat privilégié: le FOMC, dans ses directives au manager de la Banque fédérale de New York indique une zone cible de taux des federal funds et ajuste cette zone en fonction de l'évolution des agrégats monétaires. Sous l'influence du monétarisme, l'objectif intermédiaire évolue ensuite peu à peu, jusqu'au début des années quatre vingt vers des indicateurs de masse monétaire. L'ajustement brutal des taux en 1979 ne parvient à casser l'inflation qu'au prix d'une récession. Par la suite, le

d’abord la crise : consommation des ménages reste élevée, * jusqu’au moment où il faut rembourser la dette publique : les GVT augmentent les prélèvements obligatoires, dévaluent les monnaies. - Pour combattre cette crise, d’autres états défendent le monétarisme : l’Etat doit respecter l’équilibre budgétaire = Margaret Thatcher au RU, Reagan aux EU, Kohl en D, Nakasone au J, Mauroy en F (1982) = rigueur et austérité, limite des hausses de salaires, privatisations = recul de l’inflation = amélioration de

diversifier pour ne pas tout perdre. Détenir des encaisses diminue le rendement du portefeuille mais en détenir diminue le risque du portefeuille. * Il est donc à la base de la diversification des risques en économie * * B. Le monétarisme  * Courant de pensée qui s’est développé dans l’école de Chicago dans les années 50 mais deviendra populaire que dans les années 70 et devient très influent dans les années 80 * Présentation : * Milton Friedman est le chef de file

macro. On le dit monétariste: il ne l’est qu’a posteriori, nommé ainsi par Karl Brunner (1968). De plus, courant non homogène le monétarisme: Friedman n’est pas le plus radical, certains disent que la monnaie n’a aucun effet. Monétarisme= pas nécessairement austérité (tous ne sont pas pour des politiques monétaires restrictives). Ne pas assimiler la BCE au monétarisme, qui n’a jamais était partisane d’une politique monétaire restrictive. Certes au début, pol monétaire restrictive afin de faire une

Independent de l’influe réel de la monnaie ou la monnaie est supposé neutre ,et que n’a aucune influence sur l’activité économique , ainsi que l’illusion monétaire est écarté considérée comme un facteur dangereux pour la stabilité de l’économie Le monétarisme repose alors sur trois piliers essentiels et qui inspirent les précepte de la politique économique : la première proposition consiste que la création monétaire est le fait de la banque centrale alors c’est un phénomène qui est exogène à l’activité

économistes libéraux . On va parler du renouveau des idées libérales s’appuyant sur une critique de l’Etat Providence qui est dépassé par la crise et qui ne peut plus prétendre à une légitimité (coût élevé, pas efficace..) On peut citer : -le monétarisme : chef de file Milton Friedman (1912-2006) école de Chicago berceau du néo-libéralisme jusque dans les années 1990. Hostilité aux politiques keynésiennes qui sont trop laxistes par rapport à l’inflation qui est l’ennemie à combattre. -l’économie

http://fr.wikipedia.org/wiki/Politique_conjoncturelle o http://fr.wikipedia.org/wiki/Politique_monetaire o http://fr.wikipedia.org/wiki/Reserves_obligatoires o http://phylog.perso.neuf.fr/polchge.html o http://fr.wikipedia.org/wiki/Monetarisme o http://fr.wikipedia.org/wiki/Economie_de_l’Afrique o http://fr.wikipedia.org/wiki/Agregats [pic] ----------------------- [1] Jean-Baptiste SAY. «Traite d’économie politique »,1841. [2] « Explication de l’ensemble d’une économie

et les représentants des pouvoirs publics prennent les décisions économiques.  Le privé conserve sa liberté d’entreprendre mais doit accepter la concertation.   Le suffrage universel, y compris pour les femmes, est acquis en 1947.   4.2   Le monétarisme   Le modèle monétariste est le modèle dominant qui s’impose de 1980 à nos jours, il est aussi appelé néo-libéralisme, libéralisme capitalistique ou encore ultralibéralisme. Pour résumer, Friedman cherche à réhabiliter la théorie quantitative

de l'État et à fixer des règles budgétaires et monétaires stables et prévisibles. Au plan théorique, le rejet du keynésianisme a engendré, sous de nouvelles appellations, le retour d'anciens courants d'inspiration libérale, à commencer par le monétarisme. L'économie de l'offre est également née de cette contestation des thèses keynésiennes. Elle privilégie l'approche par la fiscalité tout en offrant un support théorique aux politiques économiques issues de la mouvance néoconservatrice au pouvoir

pourcentage annuel d’inflation. Deuxièmement, on assiste à l’adoption d’une nouvelle politique économique globale qui caractérise le néo-libéralisme. Le keynésianisme qui était appliqué depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale est remplacé par le monétarisme, doctrine inspirée par Milton Friedman et l’Ecole de Chicago, dont l’idée générale est que la quantité de monnaie en circulation est l’élément déterminant de l’économie et que pour éviter tout dérapage il faut une égalité entre cette quantité de