Monétarisme

imperfections existent. Elles résultent d’une information insuffisante dont bénéficient les acteurs des marchés ou d’une information mal partagée (asymétrie d’information). 2. Le renouveau des idées classiques et néoclassiques 21 Le monétarisme Le chef de file, Milton Friedman, de l’école de Chicago et prix Nobel d’économie en 1976, indique que l’origine de l’inflation est partout et toujours un phénomène monétaire. Il faut donc procéder à un contrôle strict de la masse monétaire en circulation

que les américains n'ont pas su limiter le déficit budgétaire, étant lancés dans une course à l'armement avec l'URSS. Peu à peu, l'ensemble des gouvernements d'Europe, y compris les gouvernements socialistes en France, se plient aux exigences du monétarisme et instaurent des politiques d'austérité et de défense de la monnaie. 3. La remise en cause du rôle de l'État * C'est d'abords une remise en cause de l'État Providence dictée par la lutte contre les déficits publics. Dans des pays où règne l'idéologie

economy and the strong state'.[19] Simon Jenkins accused the Thatcher government of carrying out a 'nationalisation' of Britain.[20] [edit] Thatcherite economics Thatcherism is associated with the economic theory of monetarism. In contrast to previous government policy, monetarism placed a priority on controlling inflation over controlling unemployment. According to monetarist theory, inflation is the result of there being too much money in the economy. Thus the government should control the money

que les américains n'ont pas su limiter le déficit budgétaire, étant lancés dans une course à l'armement avec l'URSS. Peu à peu, l'ensemble des gouvernements d'Europe, y compris les gouvernements socialistes en France, se plient aux exigences du monétarisme et instaurent des politiques d'austérité et de défense de la monnaie. 3. La remise en cause du rôle de l'État * C'est d'abords une remise en cause de l'État Providence dictée par la lutte contre les déficits publics. Dans des pays où règne l'idéologie

[modifier] * Marginalisme * Homo oeconomicus * Utilité * Théorie du choix rationnel * Rationalité limitée * Histoire de la pensée économique * École classique * École autrichienne * Keynésianisme * Monétarisme * Institutionnalisme * Libéralisme économique * Capitalisme * Néolibéralisme ------------------------------------------------- Bibliographie [modifier] Articles * (en)Paul Samuelson, 1951, "Principles and rules in modern

années 1930, il est établi que les politiques publiques sont nécessaires pour relancer une économie en dépression ou freiner une économie en surchauffe. Loi n°10 : LA MONNAIE N’EST PAS NEUTRE. Contrairement au postulat classique actualisé par le monétarisme, la monnaie n’est pas neutre : elle a des effets réels sur l’investissement, la croissance et l’emploi et pas seulement sur les prix. La politique monétaire est donc un outil irremplaçable de régulation de l’activité. Et la rationalité des anticipations

à la définition des politiques économiques menées après-guerre (cf. partie 2). Effet « stop and go » 2) La pensée post-keynésienne 3) La nouvelle école keynésienne (NEK) B) Le renouveau des idées classiques et néo-classiques Le monétarisme (Milton Friedman, de l’Ecole de Chicago) ; L’école des choix publics (James Buchanan et Gordon Tollock, 1962). La nouvelle économie classique (NEC) : John Mut (1961) - Robert Lucas (1971) et Robert Barro (1974)

les possibilités économique active est limitées au court terme. Pour le court terme, seul des politiques structurelles peuvent avoir des effets sur l'activité économique, et peuvent toucher le taux de chômage naturel. c) Synthèse sur le monétarisme la variation de stock de monnaie sont les facteurs dominant, qui explique la variation du revenu nationaux. L'économie est fondamentalement stable, sauf si elle est perturbée par des changements dans la croissance monétaire. Il n'y a pas d'arbitrage

identifier, au moins, quatre théories distinctes sur l’inflation. Il s’agit de la théorie des anticipations adaptives, celle des anticipations rationnelles, la théorie de l’inflation par les coûts et la théorie de l’inflation non monétaire ou le non monétarisme. Dans le cadre de la théorie des anticipations adaptives, l’inflation est définie par la demande globale et par l’anticipation sur les prix ; ces anticipations, à leur tour, sont générées par les prix historiques et donc par la demande excessive

La plus anciènne est la théorie quantitative de la monnaie, elle se prolonge aujourd’hui par le monétarisme que l’on doit à Milton Friedman. L’inflation s’explique par un excès de création de monnaie. Le monnaitarisme consiste à dire à partir du moment ou l’on mettait plus de monaie en circulation les gens allaient la dépenser. Mais trop de monaie chassant après trop peu de bien. La forme monétarisme considère qu’il y a une offre de monnaie et une demande de monnaie. L’offre émane des banques centrales