Monica Lewinsky

parti démocrate. La procédure n'aboutira pas, en raison de la démission de Richard Nixon. La troisième procédure concerne le président Bill Clinton et date de 1998. Suite à une aventure extra-conjugale avec une secrétaire de la Maison Blanche, Monica Lewinsky, le Président Américain est poursuivi par un procureur fédéral. L'aventure en question n'est pas un délit pénal, mais dans un premier temps, Bill Clinton a refusé de reconnaitre les faits, il a donc été poursuivi pour parjure, et obstruction à

ou hauts crimes et délits» entraine la destitution du Président. L’affaire du Watergate, concernant le Président Nixon le conduisit à cette procédure. Il préféra démissionner sans attendre le vote du Sénat. Il en est de même pour le scandal de Monica Lewinsky, jeune stagiaire à la Maison Blanche qui aboutit également à la mise en accusation du Président Bill Clinton qui sera acquitté par le Sénat en 1999. B) La Cour Suprême, un pouvoir puissant Au-delà de la séparation des pouvoirs, pensée par Montesquieu

que fut mis en accusation le président Clinton par la Chambre des représentants ayant retenue 2 chefs d’accusation, le faux témoignage et l’entrave à la justice suite à des relations faussement ignorées avec une stagiaire de la Maison Blanche, Monica Lewinsky. Une fois la mise en accusation approuvée par la Chambre des représentant, le Sénat se posait en tant que véritable juge politique. C’est le soutien des démocrates, parti de Clinton, qui lui permit d’éviter la destitution de ses fonctions. On

politiques sont révélés tels le Whitewater, le travelgate, le filegate, le scandale sur le financement de sa campagne présidentielle et d'autres liés à des affaires privées (le bimbogate : affaires Paula Jones, Kathleen Willey, Monica Lewinsky, etc). Suite à l'affaire Lewinsky, il est l'objet devant le Congrès d'une procédure d'impeachment qui n'aboutit pas (vote du Sénat). Son deuxième mandat est également marqué par les attentats contre les ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie en 1998, l'opération

révélés tels le Whitewater, le travelgate, le filegate, le scandale sur le financement de sa campagne présidentielle et d'autres liés à des affaires privées (le bimbogate) : affairesGennifer Flowers, Paula Jones, Kathleen Willey, Monica Lewinsky, etc). Suite à l'affaire Lewinsky, il est l'objet devant le Congrès d'une procédure d'impeachment qui n'aboutit pas (vote du Sénat). Son deuxième mandat est également marqué par les attentats contre les ambassades américaines au Kenyaet en Tanzanie en 1998, l'opération

«hypersexualisée» L'association des thèmes du «sexe» et du «pouvoir» peut paraître anecdotique dans nos sociétés habituées à la séparation des sphères privée et publique. Pourtant, l'histoire récente montre, à travers l'affaire Bill Clinton-Monica Lewinsky, la portée politique des aventures extraconjugales des dirigeants politiques d'États démocratiques. À partir de quel moment les pulsions sexuelles dépassent-elles la raison politique? La sexualité a-t-elle souvent mis les chefs d'Etat en danger

politiques sont révélés tels le Whitewater, le travelgate, le filegate, le scandale sur le financement de sa campagne présidentielle et d'autres liés à des affaires privées (le bimbogate : affaires Paula Jones, Kathleen Willey, Monica Lewinsky, etc). Suite à l'affaire Lewinsky, il est l'objet devant le Congrès d'une procédure d'impeachment qui n'aboutit pas (vote du Sénat). Son deuxième mandat est également marqué par les attentats contre les ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie en 1998, l'opération

jugement par un vote à la majorité des 2/3. o Cette procédure n’a jamais abouti mais a été engagée trois fois (contre Johnson en 1868, contre Nixon en 1974 suite à l’affaire du Watergate, contre Clinton en 1999 suite à l’affaire Monica Lewinsky aux motifs de parjure et d’obstruction de la justice). d. Le pouvoir judiciaire La Cour suprême est à la tête de l’appareil judiciaire et joue un rôle indispensable de régulateur. Il s’agit véritablement d’un pouvoir judicaire (comp

par le Président de la Cour Suprême ; la majorité des deux tiers de ses membres est requise pour une condamnation. Deux Présidents ont fait l’objet d’une procédure d’impeachment : Andrew Johnson en 1868, et Bill Clinton en 1998 dans l’affaire Monica Lewinsky pour parjure et entrave à la justice. Il n’est pas non plus impossible qu’un Président soit poursuivi pénalement pour des actes antérieurs à son mandat. Cependant, la banalisation de l’impeachment, déboutant sur une sorte de responsabilité politique

Elle ne peut être une nouvelle option stratégique intervenant après l’échec des précédentes. Le cœur de l’affaire Clinton aux Etats-Unis provient moins de sa relation avec Monica Lewinsky que des attaques en mensonge. Le président ayant affirmé, dans un premier temps, n’avoir eu aucune “ relation sexuelle ” avec Mademoiselle Lewinsky, la critique redouble après la divulgation du rapport Starr sur le thème du premier personnage de l’Etat mentant délibérément à son peuple. De même, la reconnaissance sous