Monnaie Active Selon Keynes

ConsommationS: épargne Débouché pour Hypothèse de fuite devant la monnaie. S = I : Investissement - La thésaurisions ne rapporte rien ce qui le prêt contre l'intérêt. La monnaie ici n'est qu'un moyen de transaction. Les revenus issus

2012 : PIB → 2 032Mds d’€ B. Le chômage Définition : C’est une situation dans laquelle une partie de la population active souhaite travailler mais n’est pas embauchée (→ sous emploi). Le chômage est mesuré par le taux de chômage (= nombre de chômeurs par rapport à la population active) 2013 : nombre de chômeurs → 2 800 000 Taux de chômage → 10,2% de la population active C. L’inflation Définition : c’est l’augmentation durable et généralisée du niveau des prix. Tx d’inflation =

qui ont de l’argent). D’un côté il y a les pessimistes, de l’autres les optimistes avec Robert SOLO. Qu’est-ce que la croissance économique ? Tout ce qui croit, change. La croissance débouche en principe sur le développement économique. Selon François PERROUX, le développement économique permet d’assurer une croissance irréversible. Ils considèrent que les pays développés ne reviennent pas à la situation en arrière, où la croissance était relativement faible. Définition : pour François

plus de biens au fur et à mesure de la chute des prix. Dans ces conditions, les agents économiques ont individuellement intérêt à : * attendre le plus possible avant d'acheter : la consommation chute. * garder leur biens sous forme de monnaie plutôt que d'actifs productifs : l'investissement chute. L'effet du Krach de 1929 sur la Grande dépression a fait l'objet d'analyses diverses. Pour Paul Samuelson il n'est qu'un des facteurs, facteur d'ailleurs "fortuit" qui a conduit à la Grande

au revenu : 1° La théorie du revenu courant et sa critique : Cf. la « Loi psychologique fondamentale » de KEYNES : l'épargne, définie comme la partie non consommée du revenu, est une fonction croissante du niveau de revenu (« effet de revenu », valable à court terme). Pour un revenu nul, l'épargne est négative (l'agent désépargne pour financer la consommation incompressible). Néanmoins, selon DUESENBERRY et BROWN (1952), l’épargne ne dépend pas seulement du revenu courant, mais également des revenus

engendrer les crises. Il perçoit l’idée d’un taux d’épargne optimum fournissant le maximum de richesse et d’emploi. • Il reconnaît que la demande stimule l’offre, ce qui fait de lui un théoricien de la demande. • La population active est source de richesse. III. David RICARDO (1772-1823) Il écrivit « Les principes d’économie politique et de l’impôt ». • Il est le théoricien de la valeur-travail. Le travail est la clé de la valeur. Le travail est comme toute marchandise

qui s’intéresse aux comportements de l’individu (le producteur ou le consommateur), ou microéconomie, explique la manière dont s’établit l’offre et la demande ainsi que le processus selon lequel s’établit le niveau des prix sur les marchés en fonction du degré de concurrence qui y prévaut, en acceptant l’hypothèse selon laquelle les individus agissent rationnellement ; ainsi, les consommateurs essaient de dépenser leur revenu d’une façon qui leur donne le plus de plaisir possible (les économistes disent

salaires. A terme, la masse de travail va être réduite, la plus-value (part non payée du travail va diminuée par rapport au capital (les machines) qui lui augmente. C’est pourquoi, le taux de profits va diminuer. 4. Le pensée de Keynes John Maynard Keynes (1883-1946) pense que la somme des comportements isolés des individus va à l’encontre de l’intérêt général. C’est pourquoi, il prône l’intervention de l’Etat dans l’économie. Ainsi, en cas de crise, l’Etat peut agir sur la demande si

les moyens d'action des banques centrales (notamment la Banque centrale européenne) et leur rôle dans la régulation conjoncturelle de l'activité économique. Pré-requis : Marché (des biens et des services, du travail et du capital), population active, population inactive, équilibre emplois-ressources, Etat, les fonctions économiques de l’Etat (fonction d’allocation, fonction de répartition, fonction de stabilisation budget de l’Etat), coûts de production, productivité, prélèvements obligatoires

de la hausse généralisée des prix, et correspond donc à une baisse durable de la valeur de la monnaie1,2. Il s'agit d'un phénomène persistant qui fait monter l'ensemble des prix2, et auquel se superposent des variations sectorielles des prix3. La monnaie (ou l'argent) étant l'étalon des valeurs, sa variation n'est pas directement mesurable ; on l'évalue à partir des variations des prix à la consommation des biens et services, mesurée à quantité et qualité égales. En France, l'inflation est évaluée