Monocorde

Avoir le plan en tête et des mémos. La voix est la clef Méthode « J’y VAIS »: VOLUME-ARTICULATION-INTONATION-SOUFFLE Volume: parler à haute et intelligible voix. Articuler: prendre le temps et ne pas « manger ses mots » Intonation: ne pas être monocorde. Souffle: faire une pause aux endroits importants, pour laisser place aux interventon, pour reprendre sa respiraton. Le corps donne le ton BOUGEZ: occupez l’espace, marchez. FAITES DES GESTES. SOURIEZ. DEBOUT! (plutôt qu’assis). DERRIERE UN PUPITRE:

vous adopteriez pour un rendez-vous de clientèle! La respiration, la voix, le regard La respiration ample qui portera vos phrases Le timbre de voix qui retient l’attention et suscite l’intérêt : cultiver le ton juste, posé (à éviter une voix monocorde, trop faible ou au contraire, envahissante ou agressive, un débit trop rapide ou trop faible) Le regard qui échange et se porte vers chacun des membres du jury Le temps Utiliser le temps imparti, un garant du temps : une montre posée devant soi pour

numérique Pythagore : ses disciples s’appelant des « acoustiques » ils devaient connaitre plusieurs disciplines : astronomie, géographie, médecine et musique. Il va faire une expérience fondamentale : expérience de la corde. Cela a été fait avec un monocorde, il va établir des proportions mathématiques. Cela donne les sept note de la gamme. Il va tendre une corde et des sons vt sortir. Une fois qu’on va appuyer au milieu la corde va être plus tendu et dnc plus aigu. Distance entre les 8 son : octave

communauté : récolte, changement de saisons, danses guerrières. -Les Rwaïs, des poètes-chanteurs Sont Appréciés dans la région et par la diaspora berbère, les rwaïs (raïs au singulier, ce qui signifie chef ou maître) s'accompagnent d'une vielle monocorde (Rribab) et de joueurs de luth (lewthar ou lguenbri), de tambours et de naqous (un cercle en fonte frappé de deux baguettes métalliques). -La fête du nouvel an agricole, pour tenter la chance Pour cette cérémonie où l'on sonde les présages de

avançant la main. Elle fixa ses longs doigts hâlés sur son bras. Ils étaient doux sur sa peau. Le silence se fit. Elle resta immobile, anxieuse sous la caresse, tandis que le pouce de Damon la massait là où il l’avait serrée. Puis il dit d’un ton monocorde : — Je suis désolé. — Tout va bien. Je n’ai même pas de marque. — Non, ça ne va pas. Je t’ai fait mal, répliqua-t-il plus fort. Elle refoula un rire hystérique. Il lui avait fait beaucoup plus mal par le passé en refusant de croire à son intégrité

regarder son auditoire, pour vérifier dans les yeux qui vou fixent la façon dont votre exposé est reçu (intérêt, étonnement, scepticisme, etc.)   Le "robinet d'eau tiède" : faire très attention au ronron : éviter de débiter son exposé sur un ton monocorde, comme un moteur. Il faut varier le débit, le rythme, le ton et détacher par des silences les idées essentielles. Ne jamais lire son exposé quitte à n'inscrire dans ses notes que des "tirets" (définitions, citations, phrases de démarrage ou de conclusion)

écoutée dans un enregistrement assez ordinaire nous a laissé de marbre ? 3) Un texte se joue et s’anime dans la puissance théâtrale d’expression qu’on lui donne. Nous le savons depuis que nous sommes sur les bancs de l’école. La récitation monocorde d’un grand texte est soporifique, mais déjà si nous y mettons le ton qui convient, la fougue nécessaire, le texte s’anime et vit. Sans la fibre sensible et le pathétique, le texte reste lettre morte. Et c’est vrai pour n’importe quel texte. Y compris

ce à quoi je pense n'a aucun rapport avec toi . . . Je veux dire avec nous deux, rectifia­ t- elle au bout d'un instant. » Tu ferais donc aussi bien de le garder pour toi, songea -t-il . Mais , entre-temps, elle s'était mise à p arler d'un ton monocorde, comme s ' adress ant bien plus à elle-même qu'à Max. Il ne fit aucun effort pour la suivre, car le récit de son intermi­ nable p ériple en pleine canicule, sur une route d'où montait une vapeur suffocante, était de ceux qui ne pâtissent en rien

toujours calculée sur l’amplitude du discours (Respirer pendant le discours tout en respectant les unités logiques de sens) Il faut en plus savoir gérer les silences Apprendre à faire de pause. Audible : intonation= éviter tous les discours monocordes, inexpressif, essayer d’utiliser toute la ligne méthodique de la langue française. Attention à la montée et descente de la voix L’intensité = la puissance avec laquelle on parle L’articulation = prononcer les sons en distinguant pleinement

oublié à bord. Nous vous souhaitons un excellent séjour à Londres, et nous espérons avoir le plaisir de vous accueillir bientôt à nouveau sur nos lignes... Arthur a l'air anéanti. Son téléphone sonne, et il machinalement. Arthur (sur un ton monocorde) - Ah, Christelle... Alors finalement, tu as pu avoir un billet... Dans une demi-heure à Waterloo... Ok... Non, non, tout va bien, je t'assure... Qui était cette femme qui t'a répondu tout à l'heure au téléphone ? Aucune idée... Si, si, c'était bien