Monologue Comique

est résolu, l'obstacle supprimé et le spectateur est renseigné sur le sort de chacun des personnages. Dans le théâtre classique, la pièce se déroule dans un seul lieu. Les principaux genres théâtraux sont la farce (pièce très simple à tonalité comique qui met en scène des personnages populaires), la comédie (pièce à tonalité légère où les personnages rencontrent des obstacles mais dont le dénouement est heureux) et la tragédie (pièce à tonalité grave où des personnages nobles sont soumis à la fatalité

Lysistrata, Aristophanes -411 Le Misanthrope, Molière 1666 Le Bourru, Méandre -316 Médée, Sénèque 1er siècle Andromaque, Racine 1667 L'Avare, Molière 1668 L'Aululaire, Plaute Phèdre, Racine 1677 Aristophanes : -445 / -386 Poète grec considéré comme poète comique 1ères pièces inspirées de la guerre du Péloponnèse Il aurait écrit une 40aine d'oeuvres, mais il en resterait une 12aine Résumé : Affrontement des 2 perso principaux, ponctué par les interventions du coeur Sujet abordé : Guerre/paix, Politique/justice

en scène des personnages ridicules et grotesques, et utilise les ressorts scéniques comiques de la commedia dell’arte pour contribuer au développement de comédies nouvelles dont le rire devient l’instrument privilégié d’une critique lucide de la société. Ainsi, c’est à la lumière de deux œuvres issues de la seconde moitié du dix-septième siècle, âge d’or du classicisme que nous pourrons aborder l’étude du comique et de ses procédés en classe de cinquième. Tout d’abord, Georges Dandin, qui est joué

caractère de son avare sont d’une vérité humaine si profonde qu’il crée un type. Molière fait donc œuvre originale malgré les quelques scènes qu’il a imitées. L’Avare est aussi inspiré de la tradition des Italiens dans ses jeux de scène, ses personnages comiques ou ridicules comme, ses valets couards ou débrouillards, ses vieillards amoureux, ses jeunes premiers maladroits. Tous les études de sources montrent que Molière oubliait vite ses modèles pour obéir a ses propres impératives:faire rire et plaire

mots du registre comique rappellent qu’il n’écrit que pour combler le vide. L’auteur dénonce donc la bêtise des hommes d’avoir peur de la mort, mais en temps il n’est pas nécessaire de se précipiter vers elle. Il doit y avoir un juste milieu : ni la craindre, ni en avoir une confiance suprême. Parant nous nous demanderons dans quelle mesure Beckett se sert d’un antihéros pour donner une leçon à son lecteur. Nous verrons dans une première partie la construction d’un monologue manié par l’humour

(ne pouvant recourir à un narrateur) utilise des artifices de langage que chacun accepte comme s’ils allaient de soi. Ce sont d’abord les monologues sans lesquels on ne saurait rien des pensées du personnage6. Autre artifice du même ordre : l’aparté qui oblige à croire que le personnage présent physiquement sur la scène n’a pas entendu. Ex extrême de monologue délibératif, les stances du Cid. - Concernant l’acteur, personne ne s’étonne du fait qu’on l’ait vu mourir à l’acte V et qu’il se relève

l’emploi de nombreux éléments du registre comique. Un démarrage de la scène au cœur de l’action, une présentation dynamique des personnages et l’entrée tardive en scène d’Orgon et Tartuffe en font une scène d’exposition originale qui évite l’ennui et suscite l’intérêt du spectateur. La fonction de cette scène est donc de plonger immédiatement le spectateur dans l’intrigue de la pièce et créer une proximité entre lui et les personnages. Les éléments du registre comique très présents dans cette première scène

héro, Pablo Ibietta, est interrogé par l´officier sur l´abri de son ami anarchiste. Il fait une blague en donnant une mauvaise trace. Ensuite il apprends que son ami a été abbatu là où il l´avait indiqué. Dans notre commentaire nous étudierons le comique qui occupe une place importante dans cette oeuvre. Puis nous analyserons le monde des personnages en se focalisant sur la situation des prisonniers et leur impuissance. Finalenement nous nous orienterons vers les procédés utilisés par Sartre pour

italiques devant les répliques ; - de réplique : monologue, dialogue, aparté… Quelques formes différentes du comique : le quiproquo, le dialogue de sourds, comique de situation, de gestes, de paroles. La mise en scène : jeu de la scène, différentes possibilités   LES FOURBERIES DE SCAPIN Molière et la pièce : Lorsqu’il écrit les Fourberies, Molière a 49 ans, il est au sommet de son art. Il a déjà écrit et joué une trentaine de pièces comiques, presque autant d’énormes succès. Avec cette pièce

Arnolphe est un personnage comique. Le langage qu'il utilise dans le monologue lorsqu'il apprend qu'Agnès l'a laissé pour un homme plus jeune le montre. (Acte IV, Scène 1) : "godelureau", "s' amourache". N'oublie pas le comique de situation : Arnolphe a quand même séquestré Agnès durant treize ans pour en faire ce qu'il en voulait "mitonner". Mais malgré, tout cela Agnès le laisse tomber. C'est bien fait pour lui. Cependant, son personnage n'est pas uniquement comique. Dans la même scène, tu