Monologue D Hernani

contre son père et en accord avec l'air du temps, il fonde avec ses deux frères une revue monarchiste, et épouse à vingt ans Adèle Foucher, qui lui donnera quatre enfants mais sera vite supplantée dans son cœur par Juliette Drouet. la bataille d' Hernani, qui oppose les jeunes romantiques aux partisans du théâtre classique, lors de la création de ce drame à la Comédie-Française (25 février 1830). La noyade de sa fille Léopoldine sanctionne l'échec familial. Hugo ne publiera plus pendant dix ans. Son

plus de traits du romantisme. Chaque étape de sa biographie est marquée par son engagement, son enthousiasme violent pour des idées littéraires, politiques et sociales neuves. Très jeune, il se lance dans la bataille pour un nouveau théâtre, avec Hernani (1830) et Ruy Blas (1838). Il inaugure le drame romantique, véritable machine de guerre contre la tragédie classique qu’il veut détrôner. Le drame romantique se pose comme un théâtre total opérant le mélange des genres et offrant le spectacle à la

classes   sociales.   Alors   que   chez   Molière   le   valet   n’ose   pas   trop   critiquer   ouvertement   son   maître  (il   le   fait   plutôt   dans   des   apartés   ou   dans   des   monologues),   chez   Beaumarchais  et  Marivaux,  il  ose  tenir  tête  à  son  maître,  le  critiquer  et  lui  faire  connaître  ses   revendications.     1.1.2 Dans  la  tragédie  classique     Le

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généreux et clairvoyant, il sait s’adapter aux situations. Combatif et ambitieux, il fréquente, par son métier, la haute société et se montre fin politique. Il sait lire au fond des âmes. Double du romancier, il exprime ses analyses dans de longs monologues intérieurs. Parfois même, il devient porte-parole de l’écrivain et plaide pour la vraisemblance romanesque. Son objectif est de faire régner la justice, de protéger les faibles et les bons. Mais, lucide, il sait que la justice ne permet à personne

dramatique : ces récits racontent des actions en laissant le spectateur imaginer ce qui s’est passé hors scène. Intrigue plus dynamique, plus vivante. 3. Le comique Cette pièce n’est pas seulement comique : les monologues d’Arnolphe = douleur et désarroi, accents tragiques. Ces monologues apparaissent après les tirades d’Horace qui révèlent son échec. Champ lexical du désespoir et de la mort = souffrance : acte III, scène 5 = mortifie (v. 977), me voilà mort (v. 982), funeste écrit (v. 982), désespoir

scénariste et avec mon frère comme metteur en scène. » Mais, comme il était d'une totale liberté d'invention et d'intentions, d’une grande loufoquerie, le film déconcerta le public qui manifesta son mécontentement : « Ce n'était pas la bataille d'’’Hernani’’. [...] Les spectateurs n'ont pas cassé les fauteuils, mais c'était tout juste. » Il n’eut que cette première projection. La carrière de réalisateur de Pierre Prévert, méprisé par certains techniciens du cinéma, fut brisée par une injustifiable méfiance

une seconde de votre silence… C’est tellement plus probant. Ecoutez… Merci. Giraudoux, Electre, Entracte. Electre, Texte #4 : « Le lamento du jardinier » : Commentaire INTRODUCTION Ce passage constitue la fin d’un long monologue occupant l’entracte intitulée « lamento du jardinier ». Le malheureux jardinier s’est vu enlevé Électre, qu’il s’apprêtait à épouser, par un étranger qui n’est autre qu’Oreste. Son discours est rempli de paradoxes étranges: c’est l’ironie

aux questions sur le groupement de textes. 1- Le texte 1 est un poème composé de quatre strophes : deux quatrains et deux tercets. C’est un sonnet. Le texte 2 est un extrait de pièce de théâtre dans lequel Coelio s’exprime d’abord dans un court monologue puis s’entretient, ensuite, avec Octave. Le texte 3 est un poème composé de trois quatrains aux rimes croisées. Le texte 4 est un poème composé de trois quintils : strophes de cinq vers. 2- Dans le texte 1, la poétesse évoque les états contradictoires

marquer son doute ou son indécision en s'interrogeant soi-même : "Où courir ? Où ne pas courir ?" Molière, L'Avare, A. IV, sc. 7 "A qui se fier désormais ?" Musset, Il ne faut jurer de rien, A. III, sc. 3, p. 114, 1. 135 Dans le texte théâtral, le monologue intérieur traduit la réflexion indécise propre à la situation problématique : cf. Le Cid, A. I, sc. 6. N.B. : On peut renforcer l'expression de l'interrogation intérieure au moyen de la proposition subordonnée interrogative indirecte:"Je voudrais