Monologue De Marguerite

.......................................................................24 LES PETITS COCHONS .........................................................29 CRUELLE ENIGME................................................................36 LE MEDECIN MONOLOGUE POUR CADET .......................42 BOISFLAMBARD ...................................................................46 PAS DE SUITE DANS LES IDEES .........................................53 I ..................................................

tragédie, avant la première apparition du chœur. Ce choix d’un prologue par Lagarce permet de mettre au jour les liens qu’il entretient avec l’héritage classique, même si ce prologue présente des particularités. Le prologue est constitué d'un monologue du personnage principal : Louis. C'est le seul espace de parole du personnage car par la suite il ne prend plus la parole devant sa famille et reste silencieux face aux reproches. Les seuls moments de prise de parole de Louis correspondent au

bien, parmi des papiers et des poussières. Aime le passé, moins le présent, peu le futur. A écrit sur les animaux, puis sur les légumes et sur d'autres choses (petites). Il lui reste à parler du silence. BERVOETS Marguerite Née à La Louvière à l'aube de la Grande Guerre, Marguerite Bervoets a voué sa vie à la littérature. Son diplôme de philosophie et lettres en poche, elle enseigne à l'école normale de Tournai, jusqu'à l'invasion allemande de 1940. Un an plus tard, elle rejoint la Résistance.

reparaître que brièvement avant 1848. En revanche, la vogue des "caf'con'" ou "beuglants" selon l'appellation populaire, s'étend sous le Second Empire et dure jusqu'à la première guerre mondiale. Le spectacle consiste pour l'essentiel en numéros, monologues comiques et chansons, relevant de divers répertoires (complainte réaliste ou sociale, comique troupier, chant patriotique, etc) La revue et les parodies: Genre composite, avec dialogues, chansons, satires, la revue de fin d'année reprend au

le décasyllabe dans une succession de laisse. Genre oral et formulaire, riche en phrases toutes faites, à syntagmes fixes. Ex : l’épithète homèrique : « Achille aux pieds légers » 1)les techniques narratives : Omettre est l’inventeur : - du monologue intérieur - du début « in médias res » - du retour en arrière - du travelling, focalisation - alternances de scènes dialoguées et d’actions relatées. Aristote : La Poétique : « L’épopée va de pair avec la tragédie » le point commun :

la scène III : personnages # au début/ scène II et entrées et sorties en cours de scène). - L’unité de lieu n’est pas respectée (changements de décor nombreux et peu compréhensibles). - Unité de temps non respectée (Progression régulière jusqu’au monologue de la sœur XIII). La présentation de la scène (la nuit crée une rupture dans la progression linéaire : autre jour, analepse ?) - L’action est multiple : la cavale de Zucco L’émancipation de la femme Une enquête policière. 2) Une structure cinématographique

la scène III : personnages # au début/ scène II et entrées et sorties en cours de scène). - L’unité de lieu n’est pas respectée (changements de décor nombreux et peu compréhensibles). - Unité de temps non respectée (Progression régulière jusqu’au monologue de la sœur XIII). La présentation de la scène (la nuit crée une rupture dans la progression linéaire : autre jour, analepse ?) - L’action est multiple : la cavale de Zucco L’émancipation de la femme Une enquête policière. 2) Une structure cinématographique

-Texte 2 Acte II sc.2 (le théâtre dans le théâtre « Eh bien me voilà seul…») C’est un monologue. On étudiera les possibilités qu’offre le monologue dans la structure de la double communication. On parlera aussi du théâtre dans le théâtre en tant que thème de méditation sur le vie elle-même (thème baroque). -Texte 3 Acte III sc. 1 monologue Hamlet « To be or not…» On se demande en quoi ce monologue est une méditation sur le sens de la vie. On le relie aux réflexions faites sur le baroque

intelligible, sensible, littéraire la vérité sensorielle et émotionnelle de ce genre de lieu. Il faut recourir à l’absence des mots, au trou, à la pauvreté, pour retrouver, au plus près, la justesse de la sensation. §12 Lorsqu’on est dans un monologue, dans la parole d’un narrateur qui est aussi un personnage, la langue doit obéir à sa réalité, avec ce qu’elle a de parcellaire, fragmentaire ; elle doit endosser les lacunes et les repentirs. Pour autant, comme disait Céline, l’oralité singée

imbéciles » (1976), les paroles prononcées ne sont pas référées à des individus particuliers (-> anonymat). Dans « Conversation et sous-conversation » (L’Ère du soupçon), Nathalie Sarraute identifie « ce qui se dissimule derrière le monologue intérieur » (p. 97) – monologue qui a intéressé des écrivains comme Marcel Proust – : « un foisonnement innombrable de sensations, d’images, de sentiments, de souvenirs, d’impulsions, de petits actes larvés qu’aucun langage intérieur n’exprime, qui se bousculent