Monologue De Titus Plan

tragédies (comme Corneille). Les thèmes raciniens sont souvent très psychologiques, il fait une fine analyse des sentiments, des passions, des folies des hommes ( cf. Bérénice = passion impossible entre la reine de Palestine et l'empereur romain; Titus; Phèdre = passion quasi-incestueuse qui s'empare de l'épouse du héros Thésée pour son beau-fils, Hippolyte; etc…). Il présente des personnages dans toute leur fragilité (là où Corneille nous peint plutôt des héros). - Théâtre classique: règle de la

Œdipe Roi, de Sophocle, les ombres des ancêtres de Bougrelas font penser aux fantômes qui apparaissent à Hamlet, les personnes empoisonnées aux festin des conjurés (acte I, scène 4) rappellent Britannicus, qui se fait empoisonner par Néron, et Titus Andronicus, de Shakespeare, ou des convives mangent sans le savoir le corps d’un enfant. Il y a aussi des clins d’œil à Victor Hugo, par exemple un Palotin qui se nomme Giron, comme l’un des conjurés d’Hernani. Ces références au théâtre tragique

seulement au public, soit au public et à d’autres personnages présents sur scène => l’aparté témoigne de la spécificité de l’écriture théâtrale (écriture dramatique) par rapport à ttes les autres écritures • Un monologue (discours qu’une personne se tient à elle-même) cf le monologue de Hamlet • ≠un soliloque (discours d'une personne qui parle sans attendre de réponse ou sans permettre à ses interlocuteurs de répondre; discours d'une personne qui parle à un interlocuteur silencieux.)

théâtre rhétorique, il repose pour l'essentiel sur le texte. A ce titre, il n'y avait pas de décor : le public devait pouvoir l'imaginer grâce au texte. . les spectateurs sont de divers types et mélangés L'usage du vers est obligatoire Le monologue et surtout le soliloque étaient caractéristiques du théâtre de l'époque. GLOBE: Avant la construction du theatre du Globe en 1599, shakespeare était un acteur des Lord Chamberlain's Men. Ils étaient l'une des deux troupes autorisées à jouer

galanterie. Un troisième temps analysera le mot « illusion » : faire illusion, est-ce ce que voulait Matamore ? Pourquoi a-t-il échoué (voir réponse 5) ? Est-ce le but du théâtre ? xvii e siècle 121 corneille Objectifs – Analyser un monologue délibératif – Étudier les valeurs du héros cornélien Le Cid page 144 Repères Furetière définit la stance comme ce « qui se dit d’un certain nombre réglé de vers graves et sérieux qui contiennent un sens au bout duquel il se fait un repos

absolument). Tout registre saugrenu sera sanctionné (-0.5 par registre déplacé : tragique, épique...) 2 pts pour les procédés justifiant les registres (2 procédés par registre au moins) -2 pts si les textes ne sont pas croisés ou s'il n'y a pas de plan. -0.5 si l'intro n'est pas présente, -0.5 si la conclusion n'est pas présente. Invention : Le barème devra, si possible, figurer sur chaque copie pour que l'élève comprenne sa note ! On accepte que le débat soit sous forme théâtrale ou sous forme

moins prémunis, comme Boileau, ont su le reconnaître. Mais le même Boileau suggéra à Racine de supprimer une scène, au début du Ille acte. Elle mettait en présence les deux conseillers de Néron : Burrhus et Narcisse. Elle avait sa raison d'être sur le plan dramatique. Elle comportait des renseignements importants sur les antécédents de Narcisse, qui n'ont pas été repris ailleurs. Il n'est pas impossible que Racine l'ait supprimée plus par amitié pour un théoricien respecté que par respect d'une bienséance

futur (v. 591, p. 52), de l’impératif (v. 599, v. 600 et v. 604, p. 53) et la répétition anaphorique du « je » aux vers 592-593, p. 52 qui renvoient au volontarisme du personnage. 5 A ndroma qu e Et dans cette scène 3, puisqu’il s’agit d’un monologue, on n’entend évidemment qu’Oreste ! À l’inverse, dans la scène suivante, il ne prononce quasiment que deux vers, on ne l’entend presque pas. L’annonce que lui fait Pyrrhus agit sur lui comme un couperet et le vers 625 n’est qu’un cri de souffrance

fois l’image de l’honneur, du pouvoir et des contraintes. Racine rédige en 1670 Bérénice, pièce dans laquelle la tragédie nait de l’affrontement des deux héros : Titus et Bérénice. Le besoin d’une supériorité de l’un sur l’autre marque fort le lecteur très tôt, et le suspense crée dure jusqu’à la dernière réplique. La passion que lie Titus à Bérénice détruirait celle qu’il a pour Rome et ce dernier se retrouve face à une décision où l’Empire remporte la bataille, durant laquelle le spectateur assiste

qu’un raisonnement analytique. Plan donné par L’énoncé lui-même : I/ Différentes représentations du pouvoir ; II/ Les visées Il faut bien expliquer et développer tous les arguments, les valider par des Exemples (eux-mêmes minutieusement expliqués pour démontrer la pertinence de Leur choix). Ne pas éluder l’analyse des termes du sujet (ici : « représenter » et « pouvoir »). Plan détaillé : I/ Le théâtre