Monologue Et Tirade Comparaison

courte, verbale, nominale… Forme des phrases : négative, affirmative, emphatique, utilisation de présentatif pour mettre  en valeur : voici, c’est…qui… Type des phrases : déclarative, exclamative, impérative, interrogative. Figures stylistiques : comparaison, métaphore, personnification, répétition, anaphore… Typographie différentes ou mise en page particulière. Pour le roman :                                  Statut du narrateur.                                   Point de vue adopté.   Pour la poésie :

Objet d’étude : Le texte théâtral et sa représentation du XVII siècle à nos jours, du modèle de sa réécriture, du XVII à nos jours. Problématique : Antigone ou le mythe réinventé. • Prologue (Ligne 1 à 35) • Monologue du chœur (Page 53 à 55). • La tirade de Créon (Page 81 à 82) • La scène entre Antigone et le garde (Page 113 à 117) Activités complémentaires : • Approche du mythe, généalogie des Labdacides, mythe d’Œdipe, rapporté à l’oral. • La représentation

connaissances précises sur l’œuvre, à l’intérieur de la vie de l’auteur (mais ne rapportez de la vie de l’auteur que ce qui vous sert directement pour commenter le texte. * Si vous ne connaissez pas l’auteur, la mise en situation peut se faire par comparaison avec un type de texte semblable, en recourant aux notions de genre (poésie lyrique, épopée, élégie, roman…) ou d’époque littéraire, voire d’école. Dans tous les cas, les informations données doivent être justifiées logiquement pour conduire à la

d’invention   Sujet d’écrit 2 : Dire la passion amoureuse Question sur le corpus Commentaire Dissertation Écriture d’invention 20 20 21 22 23 24 24 25 26 27 Corrigés des sujets d’oral 27   Sujet d’oral 1 : La scène d’exposition   Sujet d’oral 2 : La tirade amoureuse   Sujet d’oral 3 : La mythologie au théâtre   Sujet d’oral 4 : Le récit au théâtre 27 30 31 34 2 Classiques & Cie    Guide pédagogique  POURQUOI PHEDRE ? QUE PROPOSE CETTE EDITION ? Grand classique de la littérature française, Phèdre

d’instruire ou de distraire le public ? Le théâtre a une double visée, instruire et plaire, d’un côté il doit distraire le public, le divertir pour en même temps faire passer un message, une réflexion, une critique pour l’éduquer et l’instruire. Comparaison théâtre/cinéma Le théâtre peut change selon les metteurs en scènes, chaque représentation est unique, il y a donc un élément d’incertitude important. Or un film ne changera pas, il restera toujours le même, peut-importe dans quelle cinéma et par

ex machina Dialogue (avancer, s’opposer, se compléter) réplique : volume tirade : changement de ton, réaction, sentimts intenses = raconte, explique, défend, énonce, accuse monologue : deux sentiments contradictoires, étape décisive (fonction dramaturgique) face à dilemme = incertain, bouleversé informatif / narratif / argumentatif (délibération) / interpellation (dieux) réflexion, doutes, projet récit (tirade, monologue) : rendre vivant l’événement stances : morceaux poétiques en alexandrins =>

antithèse : innocence =/= coupable. → tirade : impératif, urgent, elel est sur le point de mourir. v.30/31 : antithèse, elle avoue son amour contre-naturel. v. 33 à 39 : elle explique qu'Oenone a aussi sa part de responsabilité v.40 à 43 : sa mort, sa volonté d'avouer. v.45 à 51 : la mort commentée par Phèdre elle-même. Une scène tragique : → Thésée, un personnage tragique : issu de la mythologie (demi dieu : héros) il a tué son fils alors qu'il est innocent -1ère tirade : CL de la mort et de la culpabilité

envers Agnès (« friponne », « coquine », « impertinente »), les jurons (« Tudieu ! « , « diantre ! », « Peste ! »), et jusqu’à une comparaison animale qui fait d’elle l’image du démon : « petit serpent que j’ai réchauffé dans mon sein ». Cela est renforcé par la modalité exclamative, avec les interjections, telles le « Ah ! », fréquent, qui ponctuent toute la première tirade. Les questions révèlent la blessure d’Arnolphe, et son ironie est très amère : « Le deviez-vous aimer, impertinente ? » (v. 1023)

Aricie domine => Alternance également dans les actes Par rapport aux nombres de vers et à leur présence aux scènes : Phèdre agit et parle énormément alors qu'Aricie va subir (P: 476v,12s A:135v,6s) Tirades: Phèdre énormément alors qu'Aricie aucune Acte 3, scène 2 et Acte 4, scène 5 : Monologues de Phèbre Domination de Phèdre se voit également dans le titre Affrontements indirects Acte 4, scène 5: Phèdre se rend compte qu'Aricie est parvenue à réchauffer le coeur froid d'Hippolyte Acte 5,

confessionCette scène est un temps d’arrêt sur le plan dramatique : l’action est en suspens. Alors que les répliques de Lorenzo sont longues (il s’agit de tirades2), les répliques de Philippe sont courtes : Philippe ne semble servir qu’à relancer le monologue intérieur de Lorenzo. Il pousse Lorenzo à se dévoiler davantage. La question « Suis-je un Satan ? » est plus une interrogation oratoire qu’une réponse à Philippe. Le soliloque1 de Lorenzo La confession de Lorenzo Elle révèle sa vraie nature