Monologue Et Tirade Comparaison

je dois m’assurer que je maîtrise toutes les notions littéraires que j’aurai à utiliser, leurs sens, caractéristiques et fonctionnement.  Ex : de notions littéraires à savoir absolument sans confusion : métaphore /comparaison ; antithèse / oxymore ; lyrisme /pathétique ; monologue/tirade/aparté ; tragédie/comédie ; romantique/romanesque ; discours/récit...  Bilan  IV COMMENT PRÉSENTER MON EXPOSE (DÉROULEMENT DE L’ORAL)  Je veille au respect des différentes étapes telles que présentées plus haut

connaissances précises sur l’œuvre, à l’intérieur de la vie de l’auteur (mais ne rapportez de la vie de l’auteur que ce qui vous sert directement pour commenter le texte. • Si vous ne connaissez pas l’auteur, la mise en situation peut se faire par comparaison avec un type de texte semblable, en recourant aux notions de genre (poésie lyrique, épopée, élégie, roman…) ou d’époque littéraire, voire d’école. Dans tous les cas, les informations données doivent être justifiées logiquement pour conduire à la

Michel Houellebecq • D�compos�e de Cl�mentine Beauvais Le th�7tre du XVIIème au XXIème siècle Juste la :n du monde de Jean-Luc Lagarce Explications de textes tir�s de la pièce Juste la :n du monde • Texte 5 : Le prologue de Louis • Texte 6 : La tirade de Suzanne (première partie, scène 3) • Texte 7 : Antoine contre son frère (deuxième partie, scène 3) Parcours de lecture Crise personnelle, crise familiale • Texte 8 : Int�rieur de Maeterlinck, (les tergiversations du vieillard) Lecture cursive

proposition subordonnée relative) qui expriment le point de vue de celui qui décrit. Ø Les images poétiques : elles traduisent, par les connotations qu'elles suggèrent, le point de vue de l'énonciateur du texte sur l'objet décrit. Ce sont soit des comparaisons, soit des métaphores. • LES POINTS DE VUE L'objet décrit (un personnage ou un décor) n'existe pas en soi. Il est toujours donné à voir au lecteur par l'intermédiaire d'un regard : le point de vue (voir fiche « narratif ») FICHE N°3

père, contrairement au bon père Goriot, entend se mêler de cette situation en profitant de l’ambition de Rastignac.   Dans ce passage, Vautrin est sur le point de dévoiler son plan diabolique et   essaie de persuader Rastignac au moyen d’un long monologue d’être complice du meurtre du frère de Victorine afin d’hériter de la fortune de celle qui pourrait devenir sa future épouse. L'étude s'attachera à montrer comment la métaphore initiale structure tout le discours de Vautrin, autrement dit comment

Cours 6 : Le nœud tragique, ou les passions sous tension. Etude suivie de l'acte III. I. Un acte sous le signe de la manipulation politique et amoureuse (scène 1) 1. Espoir et désespoir d'une reine · Phèdre prend conscience de la non-réciprocité de sa passion pour Hippolyte. Au début de la scène 1, elle interprète les réactions d'Hippolyte : « Ciel ! comme il m'écoutait ! Par combien de détours / L'insensible a longtemps éludé mes discours

Lors de cette « tirade » Vautrin multiplies les questions et donne lui-même les réponses. Il ponctue d’ailleurs son discours par des exclamations, parfois ironique «  Oh ! jolie » ( L 1) , parfois de dégout « Pouah «  ( ligne 18 ) ,ou encore de satisfaction «Bravo »( L 28 ) . Ce langage plutôt familier vise à convaincre Rastignac, donnant une impression de proximité entre eux, comme deux amis parleraient, sans langue de bois. Il utilise aussi de nombreuse image sous forme de comparaison «  comme des

Explication linéaire n°12 : le monologue de Suzanne- Présentation de l’auteur : voir biographie + vidéos sur Internet- Résumé de ce qui se passe avant : les personnages se présentent entre eux. Suzanne la sœur semble excitée par cette réunion familiale, tandis que Catherine, la femme d’Antoine est moins sûre d’elle et se lance dans une longue explication sur leur fils qui a le même prénom que Louis. Antoine pense que Catherine les ennuie mais Louis contredit.Dans ce monologue, Suzanne reproche à Louis

dément et sanguinaire assassiné en 41 avant Jésus-christ. Ce passage du drame est la scène finale de la pièce, c'est-à-dire le dénouement. Caligula est d'abord seul en scène devant son miroir, il se lance dans un long monologue, ou plutôt dialogue avec lui-même, dans une longue tirade qui occupe les deux tiers de la scène. Il y fait le bilan désespéré de son action, puis il s'offre aux coups des conjurés qui surgissent et on assiste sur scène à la mort de Caligula et de son fidèle confident, Hélicon

IONESCO RHINOCEROS Le monologue final de Bérenger Acte III | |  Introduction Sur l’auteur, les œuvres, l’œuvre. D’abord nouvelle, puis pièce en trois actes créée dans sa version française à Paris en 1960, s’appuie sur une expérience personnelle. Ionesco de retour en Roumanie en 1938 constate la montée du fascisme et la séduction des intellectuels pour cette idéologie ou leur passivité. C’est pourquoi il décide d’écrire un apologue théâtral qui, d’une contextualisation précise s’ouvre à l’universel