Monologue Le Malade Imaginaire

de Landor Road » p 4, 5 2) Le poème « Le Pont Mirabeau » 3) Le poème « Marie » 4) Le poème « Annie » II) Le rapport à la poésie 1) Le poème « Automne Malade » 2) Le poème « Le Brasier » 3) Le poème « Vendémiaire » III) La solitude et l’errance de l’auteur 1) Le poème « Nuit Rhénane » 2) Le poème « Zone » 3) Le poème « La Chanson du Mal-Aimé » CONCLUSION INTRODUCTION

lançant dans des comédies musicales. En 1662 il se marie avec Armande Béjart, âgée de 19 ans. En 1673 , quand il atteint le sommet de son succès, il est riche et son fils a pour parrain le Roi Louis XIV, il meurt sur scène en jouant Le malade imaginaire et le public ne s’aperçoit de rien. LA NAISSANCE DE LA COMÉDIE Avec L'école des femmes Molière invente la Comédie en se faisant héritier de trois traditions théâtrales différentes : la farce, la Comédie de l'Art et la Comédie Classique

capacité de les exprimer avec beauté. Cette beauté formelle constitue une « prime de séduction » qui nous permet de nous identifier à l’artiste (ou au héros du roman, etc.). Ainsi nous jouissons des œuvres d’art car elles offrent une satisfaction (imaginaire, certes) aux désirs irréalisables de notre ça8. 2. Les actes manqués Mais l’inconscient ne se montre pas seulement dans les rêves. Selon Freud, les actes manqués, eux aussi, ne peuvent être compris qu’à partir de l’hypothèse de l’inconscient

que c'est le un des monologues donc de toute la littérature jusqu'à la fin du des années 19 150 puisque vous avez désormais des pièces qui ne sont plus hématologues une constiper dire que Figaro a perdu son privilège d'avoir le plus long monologue de toute de de toute cette dramaturgie et plus long que de monologues de du malade imaginaire alors ce qui est important pour ce texte je fais aussi d'un un travail d'examen donc Figaro seul donc si c'est pareil si c'est un monologue ou toujours vous

l’art, veulent exprimer les puissances du rêve. Prolongement  L’extrait du Manifeste du surréalisme (livre de l’élève, p. 13). b. Le Nouveau Roman se démarque souvent des formes traditionnelles de la narration. Il développe dans certains cas les monologues intérieurs (Le Planétarium de Nathalie Sarraute), adopte une narration à la deuxième personne du pluriel (La Modification de Michel Butor, livre de l’élève, p. 178), présente des descriptions selon un point de vue externe (La Jalousie d’Alain Robbe-Grillet)

une quelconque polysémie de « assuré », mais bien de la croyance « absurde » selon laquelle il suffit de s’assurer contre un fléau quelconque pour être sûr d’y échapper — à moins que celle-ci ne soit à verser au compte de l’étrangeté de ce monde imaginaire, étant donné que personne ne proteste devant une telle aberration ? Force est de constater que la vraie nature de cette anomalie, comme de bien d’autres, reste « indécidable ». (2) La polyréférentialité 14 L’absurde dans les dialogues

vivait, de tout son être ce drame latent. Il s’est rendu compte que «le petit timbre de poste» de son sol natal méritait qu'on en fasse un livre. Ayant trouvé sa voie et sa voix, il s’employa à immortaliser le comté d'Oxford, en en faisant le comté imaginaire, mythique, de Yoknapatawpha («le pays où l’eau coule lentement à travers ls plaines»), microcosme dont il a esquissé la topographie dans un plan annexé à “Absalom ! Absalom !”, dont il allait conter l’histoire animée et faire vivre la population

déterminés par S. Doubrovsky à trois points définitoires : 1- L’identité onomastique auteur, narrateur, personnage principal. 2- L’emploi de la première personne. 3- La littérarité (la fictionnalisation des faits relatés, l’incarnation d’un monde imaginaire, l’écriture en réel afin de servir le projet littéraire du roman). Par ailleurs, d’autres critiques comme Colonna rejoint Doubrovsky pour combler la case aveugle selon l’expression de Lejeune (l’homonymie par rapport au hérosnarrateur). Dans sa

Eiffel, dans une famille de la haute bourgeoisie fortunée : sa mère, Eugénie, appartenait à une famille parisienne d'agents de change, et son père, Georges, fut avocat puis rentier. Comme il était nerveux, extrêmement sensible, qu’il tombait souvent malade, sa mère le couva et fit de lui un enfant-roi. Pour des raisons mal élucidées, son père se suicida d’une balle dans la tête, alors qu’il n'avait que neuf ans. Avec sa sœur aînée, Marthe, et son petit frère, Paul, il passa sa prime enfance soit à Maisons-Laffitte

Molière, Dom Juan D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 A. de Musset, Les Caprices de Marianne TEXTE 2 Molière, Les Fourberies de Scapin D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 S. Beckett, En attendant Godot TEXTE 3 Molière, Le Malade imaginaire D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 J. Romains, Knock ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE Molière, Le Malade imaginaire ANALYSE D’IMAGE HISTOIRE DES ARTS Mise en scène de La Double inconstance Mise en scène de Musée haut, musée bas Extrait de Don Giovanni de J. Losey H. de Montherlant, La Mort qui fait le trottoir