Monologue Maitre Bridaine

successives de maître Blazius qui leur annonce le retour de leu jeune seigneur Perdican, et de dame Pluche qui précède Camille, la cousine du jeune homme. Dans un salon du château, le curé du village maître Bridaine dénonce au baron père de P l'ivrognerie du précepteur de son fils; cependant le baron annonce son projet: il compte marier son fils et sa nièce. Mais dès leur rencontre, il est clair que les 2 jeunes gens sont mal faits pour s'entendre. Le choeur décrit de façon bouffone Blazius et Bridaine tels

ou l'auteur connait sa seconde liaison , qui marquera beaucoup la pièce , avec l'auteur George Sand. II)Epoque lieux thèmes 1)Les thèmes : l'anticléricalisme: Musset dénonçe le mode vie des hommes d'Eglise en se moquant de Blazius et Bridaine deux gloutons délateurs .Il dénonce également l' éducation religieuse des jeunes filles dans les couvents , qui les prive du bonheur terrestre et de l'amour. Le personnage desséché Dame Pluche est une autre illustration de la faillite de la vie

découvert à la Renaissance. Par extension, il désigne aujourd'hui le caractère de ce qui semble ridicule par son extravagance, sa nature outrée. Les personnages grotesques de cette pièce sont les personnages secondaires : Dame Pluche, Maître Blazius, le Baron, Maître Bridaine, dont la puérilité et le grotesque font ressortir tout le tragique de la situation de trois enfants qui jouent avec leur cœur. 2°) Le sens du mot « Burlesque » se dit aujourd'hui couramment pour désigner un comique exagéré, extravagant

Fiche de lecture On ne badine pas avec l’amour. Musset. Personnages : Le baron Perdican, son fils. Maître Blazius, gouverneur de Perdican. Maître Bridaine, curé. Camille, nièce du Baron Dame Pluche, sa gouvernante. Rosette, sœur de lait de Camille. Le chœur de paysans. Acte I Sc 1. (Une place dans le château) Le chœur ouvre la pièce d’une façon comique, en décrivant Maître Blazius (arrive sur une mule… c’est un poivreau) tout à fait ridicule. Celui-ci vient donner des nouvelles

sociale, avec la caricature du baron dépassé par la situation, tout comme Blazius, Bridaine et dame Pluche qui ont échoué dans leur ambition éducative : il s'agit bien évidemment de la génération des vieux qui ne comprennent rien aux élans de la jeunesse. La question de la violence sociale est par ailleurs illustrée par Rosette, la paysanne méprisée par Camille et manipulée par Perdican, qui joue de son statut de maître et la conduira à sa perte. Un thème adjacent complète le précédent et s'y oppose

offre un Maître Bridaine puéril, il se plaint tel un condamné qui vit ses derniers jours. En effet, Maître Bridaine ce lamente de façon excessive et futile, le Gouverneur a pris sa place, il ne sera plus assit à côté du Baron mais au bas bout. Maître Bridaine outre que d’être ridicule, se fait passer pour un homme ne pensant qu’à manger et à boire, il se plaint de ne pouvoir manger que « des os et des pattes de poulets » ce qui renforce son côté puérile. Dans son monologue, Maître Bridaine use d’un

On ne badine pas avec l’amour Les personnages Le Baron Perdican, son fils Maitre Blazius, gouverneur de Perdican Maitre Bridaine, curé Camille, nièce du Baron Dame Pluche, sa gouvernante Rosette, sœur de lait de Camille Paysans, valets, etc. I. Le thème du double Blazius et Pluche L’opposition ne saurait être plus flagrante qu’entre ces deux personnages : l’un gros, l’autre maigre ; l’un jouisseur, l’autre dévote ; l’un débonnaire avec le choeur, l’autre insultante. La ressemblance

plus  ou moins obligatoires, pas souvent fondés sur l’amour à cette époque. J’apprécie cette pièce non pas pour son histoire mais pour les personnages secondaires qui jouent. Blazius, Bridaine et Pluche sont trois personnages qui ne peuvent s’empêcher de se taquiner tout au long de la comédie. De plus, Blazius et Bridaine sont deux curés avides de boisson aux effets secondaires assez remarquables.    Commentaire n°5 par Nicot David Un beau jour, alors que Monsieur MUSSET prenait le train, un journaliste

d'intimité et de drame lors de l'ultime confrontation). La diversité formelle apparaît aussi à travers les types d'échanges qui vont de la vivacité extrême (début de III, 2), à la tirade(chœur dans I,1, II,5 ou II,8) et au monologue (Perdican dans III, 1 et parodiquement Bridaine dans II,1). Ce jeu sur le langage est complété par le jeu avec le théâtre, que ce soit à travers les procédés des lettres, des témoins cachés, la parodie de chœur antique ou le fait d'établir le spectateur en complice des

ne s´adresse pas seulement aux autres personnages, mais également aux spectateurs. Les monologues et  apartés permettent aussi une réflexion plus profonde du personnage car il se retrouve face à lui même et au public. Ils sont ainsi l´occasion pour l´auteur de préciser sa critique, en incluant ses opinions dans le discours de son personnage. Cela est parfaitement illustré dans le monologue de Maître Bridaine dans lequel Musset, à travers les plaintes du personnage, dénonce la connivence entre le