Monologue Pyrrhus

Chant du styrène » Les élèves pourront analyser de la même manière la séquence sur le plastique, Le Chant du styrène, en soulignant, de surcroît, les références culturelles, très nombreuses, chez Raymond Queneau. On rapprochera cette séquence du monologue de Gabriel dans Zazie (p. 90) où l’accumulation de clins d’œil (Hamlet – Lamartine) crée un effet comique irrésistible. On peut également photocopier Le Lac de Lamartine et comparer. Le pastiche est évident. Puis les élèves s’efforceront de montrer

chacun le façonne à sa main. Les pratiques paratextuelles de ces deux dramaturges sont en effet si diamétralement opposées qu’elles forment quasiment un diptyque exemplaire et s’éclairent mutuellement. (1) La tactique employée par Hugo est celle du monologue. L’homme-océan va jouer sur l’étendue, sur une parole qui coule hors de toute mesure et emporte avec elle les fétus critiques. Il parle seul et longtemps : il étouffe et écrase ses détracteurs en faisant varier sa voix, en prouvant qu’il est un titan

Identifier la particularité du contexte de la guerre d’Espagne – Analyser les réflexions du personnage principal – S’interroger sur la légitimité de la guerre 25 points se dit-il, je regrette si ça peut servir à quelque chose. » (l. 19-20) 7. a. Le monologue intérieur prend la forme d’une introspection à laquelle se livre Robert Jordan pour se convaincre du bien-fondé de son action. C’est un dialogue. b. La phrase interrogative est la plus couramment utilisée. Elle permet au personnage de s’interroger

Jours. Winnie est enterrée dans le désert, jusqu’au buste, mais vivante. Elle passe son temps à se remémorer sa vie auprès de son mari Willie. Elle est la représentation même du courage des personnes dans le malheur. Durant toute la pièce, elle monologue, prie, raconte, chantonne, recense ses derniers maux, avant d’être ensevelie par le désert. Calderon La Vie est un Songe. Basile, roi de Pologne, a fait enfermer son fils Sigismond. Les astres avaient prédit la mort de sa mère au moment où

passion isole le héros de la société, il brave pour elle lois et principes moraux : pour elle, il triche, vole, tut, sombre dans le vice. A la manière des personnages classiques, le protagoniste analyse ses « crises de conscience » : soit dans des monologues intérieurs, soit au cours des conversations avec les représentants de l’ordre social et religieux (discours moralisateurs de Tiberge et du père ??) Lucidité de DG : envoûté mais lucide malgré tout, il se rend parfaitement compte des périls que

guide l’art de la Renaissance est celle de la vraisemblance. Il ne s'agit pas d’une imitation servile du réel, mais plutôt du refus de l’improbable et de l’irrationnel. C’est ainsi que comédie et tragédie se séparent, que les chœurs et les monologues disparaissent, et que les personnages n’apparaissent plus comme des individualités mais comme des types abstraits et symboliques. 11 2.3.2 Petit exercice oral : Qu’est-ce que tu me racontes là ? Dire « Qu’est-ce que tu me racontes là ?/

est si bien ordonné qu’il est parfaitement disponible, on peut le rappeler à loisir, avec la plus grande chance d’efficacité. Ainsi Néron revit le moment où il est devenu amoureux de Junie, Eriphile celui où Achille l’a séduite, Andromaque celui où Pyrrhus s’est offert à sa haine (puisque la haine ne suit pas d’autre procès que l’amour) ; Bérénice revoit avec un trouble amoureux l’apothéose de Titus, Phèdre s’émeut de retrouver dans Hippolyte l’image de Thésée. Il y a là comme une sorte de transe :

rencontrer dans les études sur Bérénice couramment disponibles en format de poche. B Le découpage dramatique Acte I Scènes Résumé Scène 1 Antiochus envoie son confident Arsace solliciter pour lui un entretien auprès de Bérénice. Scène 2 (monologue) Antiochus aime Bérénice désespérément et se tait depuis cinq ans, cachant son amour « sous le voile de l’amitié ». Il souhaite néanmoins lui ouvrir à présent son cœur avant de quitter Rome. Scène 3 Bérénice accepte de le recevoir. Le roi de

rappelle celle de Nicomède et d’Atale pour Laodice dans ‘’Nicomède’’, sinon celle de Syphax et Massinisse pour Sophonisbe dans la pièce de ce titre ; - l’héroïsme du roi et de son fils, le conflit entre eux, les grands discours de I'acte III, le monologue du roi à I'acte IV ; - la fermeté de Monime, qui ressemble à la Pauline de ‘’Polyeucte’’ ; - la scène où le tyran amène la princesse à dire qui elle aime, qui se trouvait déjà, sous une forme moins cruelle et moins pathétique, dans ‘’Attila’’

l’intériorité d’un personnage, de comprendre ses émotions intimes, ses idées. Première et dernière scène de George Dandin. Seul en scène, le personnage exprime son mécontentement et ses désillusions. Comique de mots et de rythme. Tirade Monologue Le monologue peut dévoiler les ambitions grotesques d’un personnage. Séquence 4 – FR20 1 19 © Cned – Académie en ligne Fiche méthode A nalyser le texte théâtral Fiche méthode Fiche Méthode Types de paroles Caractéristiques Réplique