Monologue Solitude

Par manque de courage Daisy abandonne Bérenger pour intégrer le clan des rhinocéros et Bérenger se retrouve alors seul face à lui même. Dans cette analyse nous étudierons les caractéristiques de ce monologue final, le rôle des didascalies et la leçon ainsi amenée. *** Au début de ce monologue (le personnage parle seul sur scène, mais son discours est destiné au public). Bérenger est très déterminé à ne pas devenir animal : « Ce n'est tout de même pas si vilain que ça un homme ! Et pourtant

que le roi fait passer pour quelqu'un de sa suite. La rencontre avec le roi détermine chez le proscrit un bouleversement qui se traduit dans le monologue qui achève l'acte I. Ce monologue porte entièrement sur la situation d'Hernani, qui ironise sur sa condition. L'importance du roi est révélée par la présence de la 2e personne à l'intérieur même dit monologue, qui permet de souligner les difficultés qu'éprouve Hernani dans sa conduite par rapport à lui. L'étude du texte pourra donc porter également

Commentaire du monologue final de Bérenger Le monologue que nous allons étudier est tiré du livre d'Eugène Ionesco : Rhinocéros. Eugène Ionesco est né 1909 en Roumanie, il est mort en 1994, c'est un écrivain, il rédigea plusieurs pièces de théâtre, comme : La cantatrice chauve ou La leçon, il écrit aussi des essais, des récits et des journaux. Dans le monde du théâtre il est considéré comme un représentant de l'absurde. Rhinocéros, elle est une pièce écrite en 1959 c'est une pièce emblématique

du monologue et de sa spécificité, on peut citer quelques monologues particulièrement célèbres (notamment chez Shakespeare, Corneille, Molière, Racine, Beaumarchais, Musset, Hugo, Anouilh, Giraudoux…) et se demander pourquoi, très souvent, ce sont eux qui restent le mieux gravés dans la mémoire du spectateur et du lecteur. Pour formuler une problématique : Poser la question des différentes fonctions du monologue, c’est demander à quoi il sert. Il faut préciser d’emblée que le monologue peut

Père Ubu ou encore le « Que ji vienne ici pour prêcher dans le désert ? » qui est une faute de langage, il y a aussi « phynances » qui remplace certainement le mot « finance » et encore « les oneilles ». Dans Oh ! Les Beaux Jours ! Winnie dans son monologue cumule aussi les fautes de langage avec par exemple « Ça que je trouve si merveilleux » ou encore « Je veux dire à moi-même dans le désert » qui n'a absolument aucun sens. Mais l'absurde ne repose pas seulement sur les inventions de mots ou le langage

personnage de Louis de retour dans sa famille après douze ans d’absence, pour annoncer sa « mort prochaine ». Mais ce retour déclenche une crise familiale autour du malheur de chacun des personnages. S’ensuit une série de dialogues devenant des monologues au cours desquels Louis se tait. Il échouera à annoncer sa mort. On pourrait donc affirmer que le drame de la pièce se construit sur la crise personnelle de Louis. Mais on se demandera si ce drame est seulement formé par la crise de Louis ou si

publié en 1668. Il s’agit de la scène 7 de l’acte VII. Nous allons commenter ce monologue. Pour cela nous allons aborder dans un premier temps l’aspect comique de cette scène et dans un deuxième temps son aspect tragique. Molière choisit un monologue pour représenter tout le comique de cette situation : Harpagon est seul en scène. Tout d’abord nous sommes « in medias res », nous ne constatons pas le vol, ce monologue va nous donner toutes les indications nécessaires a la compréhension de la situation

étouffe sous le poids des conventions bourgeoises, du mariage et de la maternité, dans un environnement qui lui semble hostile. C'est dans l'extrait étudié (chapitre II) que débute un long monologue intérieur grâce auquel nous entrons dans l’intimité de la pensée de Thérèse. Comment Thérèse entame ce monologue intérieur ? Nous essayerons de répondre à cette question en séparant le texte en deux parties. Dans un premier temps nous démontrerons que l'environnement est propice à l'évasion mais que cette

Rhinocéros, Ionesco Texte étudié Acte III, le monologue final de Bérenger Bérenger, se regardant toujours dans la glace. Ce n’est tout de même pas si vilain que ça un homme. Et pourtant, je ne suis pas parmi les plus beaux ! (Il se retourne.) Daisy ! Daisy ! Où es-tu, Daisy ? Tu ne vas pas faire ça ! (Il se précipite vers la porte). Daisy ! (Arrivé sur le palier, il se penche sur la balustrade.) Daisy ! Remonte ! Reviens, ma petite Daisy 

empoigne progressivement. Et dont son achèvement par son cercle relationnel fût évident. Mais en quoi ce dénouement est-il un faux monologue qui s’articule entre folie et philosophie ? Afin de répondre à cette question, nous allons, en premier lieu, arborer le monologue délibératif qui comprend une certaine prise de conscience de l’échec de la solitude mais encore du faux monologue introspectif. Ensuite, nous parlerons du dénouement tragique et soudain qui est insistant sur la violence de la scène. Pour