Monologue Solitude

injustices sociales et politiques. Lecture En quoi ce début de monologue est-il un violent réquisitoire de la société prérévolutionnaire ? Ou En quoi ce début de monologue renouvelle-t-il le personnage de valet de comédie ? Nous répondrons à ce projet de lecture en faisant une lecture linéaire, celle-ci suivra le mouvement de ce monologue. Etudions d’abord, la didascalie « Figaro, seul, se promenant……. » • La solitude de Figaro mise en exergue par l’adjectif « seul » mis en apposition

Hugo Le manteau Impérial Chanson Stella Le Mendiant C. Baudelaire L’Albatros La Cloche fêlée Les Aveugles A une passante G. Norge Le funambule Ph. Delerm La première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules Théâtre Le Cid : Monologue de Don Diègue (I, 4) Monologue de Rodrigue (I, 6) Don Juan : I, 1 – I, 2 – II, 2 – III, 2 Maîtres et valets : Lesage Turcaret Marivaux L’Ile des esclaves Beaumarchais Le Barbier de Séville II, 4 Scène 1 et 3 Acte I scène 2 Fables Le songe d’un habitant

dans sa poche, remet ses lunettes.) Monologue où Hamm apparaît définitivement seul réduit à garder seulement son mouchoir qu’il finit par poser sur son visage, métonymie probable de la mort qu’on couvre dignement d’un drap mais ici réduit à un mouchoir que le défunt s’appose lui-même. Le titre Fin de partie connote définitivement la mort 2. Un développement dramaturgique plus formel que conceptuel Alternance de passages évoquant la solitude, la maladie, la séparation, le besoin d’évasion

de la situation présente du poète solitaire 3°, 4°, 5° quatrains : plongée dans le souvenir 2° partie : vers 21 à 36 4 quatrains, présentés entre guillemets qui alternent deux alexandrins et deux hexasyllabes à rimes croisées nous restituent le monologue d’Elvire qui invoque le temps, le conjure de suspendre son cours (quatrains 6 et 7) puis se rend compte de l’inanité de son désir (quatrain 8) avant de lancer son conseil hédoniste (quatrain 9). Analyse linéaire La 1° strophe, une interrogation

" Le lamento du jardinier " : Commentaire INTRODUCTION Ce passage constitue la fin d’un long monologue occupant l’entracte intitulée " lamento du jardinier ". Le malheureux jardinier s’est vu enlevé Électre, qu’il s’apprêtait à épouser, par un étranger qui n’est autre qu’Oreste. Son discours est rempli de paradoxes étranges: c’est l’ironie d’un désespéré qui s’efforce par la magie des mots, de changer la réalité selon ses désirs. On pourra analyser successivement

comme toujours avec eux. On peu diviser cette scène en deux parties nettement repérables : le monologue parodique de la Mère Ubu, puis une scène utilisant toutes les ressources du comique théâtral. Nous étudierons donc les éléments propres au registre comique : I. Le monologue de la Mère Ubu : Il est assez rare dans la pièce qu’un personnage fasse un monologue, encore moins un long. En effet le monologue sert souvent à comprendre la psychologie d’un personnage, or ce n’est pas du tout le but de

qu'elle aimait, Médée commence à faire des stratégies afin de se venger atrocement, en empoisonnant et en tuant Créuse et ses enfants. L'extrait étudié est « un monologue vengeur » dans un premier temps nous analyserons « femme trahit », puis (II), enfin « une décision pour se venger » Problématique : Montrez que cette extrais est un monologue délibératif I Femme Trahit Dans un premier temps, Médée revoit tout son historique de son parcours avec Jason, elle part du présent : « Jason

se résigner à des conditions d’existence particulièrement pénibles. Dans la première partie de son monologue, Madeleine ne fait pas un bilan positif de sa vie marquée par l’ennui, la maladie et l’angoisse. Au départ, elle confie à Claude : « Quand ton père est disparu depuis des jours pis que ta sœur est partie travailler, ça m’arrive de m’ennuyer. C’est sûr. » (l. 5-6) Elle témoigne d’une solitude qui la laisse inactive : « La télévision est plate, la lecture m’a jamais beaucoup intéressée… »

réussit dans un long monologue à enfin exprimer son sentiment d’abandon qu’elle précise par étapes : « Lorsque tu es parti, lorsque tu nous as quitté, lorsque tu nous abandonnas » (p122)Mais l’ironie de Lagarce ne s’arrête pas à dénoncer ces conventions et cette lâcheté de la famille bourgeoise. Elle va jusqu’à se moquer de réactions ridicules de colère qui émergent de situations pourtant futiles. En effet, dans cette pièce, les dialogues des deux parties sont plus des monologues qui se succèdent. Ce

« Réfléchissez,| | | |voyons » à « malgré la poussée contraire que l’on devine »p.164. | | |Quatre lectures analytiques |4. Le monologue final : Acte 3, p.245, de « Je ne suis pas beau » à la | | | |fin de la pièce. | |