Monologue Sur La Liberté

Beaumarchais. Ces quatre extraits évoquent le fait que les valets tiennent tête à leurs maîtres. Nous allons voir comment se manifeste la prise d'autonomie ou de liberté des valets en parlant des ressemblances et des différences de chacun des extraits. 1) Les similitudes des moyens utilisés par ces quatre valets qui montre la prise de liberté : •Dans trois des extraits proposés ce sont les valets qui ont le pouvoir. En effet, sur l'Ile des esclaves Arlequin dit à Iphicrate qui est son maître « Dans

personnage parle, son discours s'adresse, en dernier lieu, au public. Ainsi, lorsqu'il faut informer le spectateur, notamment dans les scènes d'exposition, les répliques des personnages peuvent singulièrement manquer de naturel. Plus encore, les monologues portent l'artifice à son sommet: le personnage, soit pour exprimer ses tourments intérieurs, soit pour renseigner le public, parle seul, tout haut. C'est ainsi que George Dandin, dans la pièce éponyme de Molière, ouvre la pièce en nous confiant

portraits qui ne seront pas forcément les mêmes que ceux des acteurs. Le texte lui impose des détails visibles du décor et des héros grâce aux descriptions tout en lui donnant la liberté de les adapter et de laisser libre cours à son imagination. Dans l’œuvre de Victor Hugo, Ruy Blas décrit rapidement la reine dans son monologue : « Elle avait un petit diadème en dentelle d’argent » (vers 18, 19). Cependant, il est rare que les informations physiques soient données par les personnages : les auteurs utilisent

Stendhal aime écrire sur l’amour. Cristallisation : solidification=formations de cristaux. On rend plus beau/belle la personne qu’on aime physiquement et mentalement lors de son absence. Critique sociale : critique de la restauration, suppression des libertés. Réflexion sur le bonheur que recherche régulièrement Stendhal (Est-ce que le bonheur est il dans les réussites sociale ?) Stendhal propose des solutions, il nous insiste a nous poser la question du bonheur. PB : julien Sorel héros ou antihéros 

de Beaumarchais sur deux plans : Dans ses actes, et dans ce qu’il pense et revendique. Entre emplois variés et conquêtes amoureuses, la vie de Beaumarchais, tout comme celle du héros de sa trilogie théâtrale, a été rocambolesque. Dans son monologue, Figaro se qualifie d’ailleurs d’ « un jeune homme ardent au plaisir, ayant tous les goûts pour jouir, faisant tous les métiers pour vivre ; maître ici, valet là, selon qu’il plaît à la fortune ! ambitieux par vanité, laborieux par nécessité, mais

Mais contradiction tragique entre deux mondes contraignants, celui dont elle sort, le monde d’une morale exigeante enseignée par sa mère, et celui où elle entre, le monde de la cour, dominé par l’apparence, « les intrigues et la galanterie ». ( la liberté et l’autonomie sont-elles possibles pour l’héroïne ? A quel prix ? Extrait 2 : coup de foudre au bal (p49-50) INTRO Situation de l’extrait : un moment essentiel de l’œuvre, la première rencontre entre les deux personnages principaux et le

donc plus représenter par le bien, le juste, le courage ou encore la vertu. Les romantique pourront proposer des héros une image vivante de faiblesse humaine capable de se reconnaître et de se retourner contre elle-même dans un geste poignant de liberté désespérée. C'est pourquoi ont peut considérer des héros romantique des personnages dont la moralité serait douteuse. Nous pouvons donc définir le héros romantique comme un personnage de passion, avide de dépassement animé par une tentation d'exister

se faisait uniquement dans les comédies classiques alors que les tragédies préféraient les sujets tirés de l’Antiquité). Ce long monologue qui se situe à la fin de la pièce marque une pause dans la progression de l’intrigue mais permet à l’auteur de dénoncer les injustices sociales et de faire état des difficultés que rencontre le peuple pour vivre décemment. Ce monologue est également l’occasion d’une vive critique de la Censure qui reste très présente au XVIIIe siècle comme le confirmera l’interdiction

dialogue. - Etude de l’acte III, scène 5 (« premièrement… au fond de l’Andalousie ») Le 5 novembre : - Les jeux de scène. - Etude de l’acte IV, scène 9 (Page 214 à 216) Le 12 novembre : -Dimension sociale et politique. - Etude complète du monologue de Figaro (Acte V, scène 3) Le 19 novembre : -Réflexion sur la question du genre de La mère coupable. - Etude de l’acte I, scène 8 (Page 261 à 263) Le 26 novembre : - Intertextualité : Ensemble du texte mis en relation. - Etude de l’acte IV

vers) 3. Tirade (longue réplique) 4. Récit (longue tirade rendant compte d’une action non présente sur scène pour raison de vraisemblance et de bienséance) Existent aussi ⇨ Des formes jouant de la double énonciation : le monologue (dit par un personnage seul sur la scène) et l’aparté (propos prononcés par un personnage, que les autres personnages présents sont censés ne pas entendre) ⇨ L’adresse directe au public (un personnage se tourne vers les spectateurs pour leur