Monopole Des Instruments De Violence Urss Staline

institutionnel ... - Au plan culturel ... En conclusion ... ---------- THEMES REVISITES TERRORISME  DEFINITION Le terrorisme est essentiellement une stratégie destinée à déséquilibrer un pays ou un régime en utilisant la subversion et la violence sur un milieu ou une institution en crise, afin de contribuer au désordre. Il est une déviation de la lutte politique; il en constitue la forme primitive, le stade inférieur. Le but visé n'est pas de tuer des hommes, ni de détruire des biens , mais

politique : instauration République doit permettre disparition exploitation des travailleurs. Conclusion * apport des « utopistes » à pensée socialiste est considérable. Marx reconnaît dette envers précurseurs * font appel aux bons sentiments + refus violence + parfois indifférence forme politique du gouvernement MAIS certaines vues sont prophétiques (pas que des rêveurs). 2.1 De la Deuxième République à la naissance de la Troisième République (1848-1880 environ) : une critique plus violente de la société

travail est alors pénible et abrutissant. Cette « aliénation », au sens marxiste, désigne le fait que le prolétaire produit les richesses économiques mais ne les possède pas et qu'elles se retourneraient contre lui sous la forme du mépris et de la violence des capitalistes (ou possédants). Selon l’analyse marxiste, la classe dominante organise la société en protégeant du mieux possible ses privilèges. Pour cela, elle instaure l'État, l'instrument politique de sa domination : une police et une armée

régimes se sont longtemps montrés capables de protéger leurs citoyens contre toute nouvelle extérieure (combien de temps les Chinois communistes ont-ils ignoré que les Américains avaient débarqué sur la lune ?) voire de réécrire l’histoire (On songe à Staline faisant disparaître Trotsky des photos où il figurait aux côtés de Lénine, à la tribune…). Dans le roman d’Orwell 1984, le héros travaille au ministère de la Vérité. Son rôle est de refaire les livres d’histoire et les journaux pour que les faits

la mondialisation, ils sont très importants sur le plan économique. I les acteurs des relations internationales. Introduction historique : les relations internationales se nouent dans un contexte : l'Antiquité (romans). Une histoire faite de violence, pour conquérir, les relations nationales sont par définition conflictuelles. Le Moyen Âge (cinquième au XVe siècle) on se rapproche du monde moderne, on met en place des institutions comme par exemple les frontières, la neutralité dans les conflits

grandes conséquences sur le droit international. (ex : à cause de la guerre froide que l’ONU n’a pas d’armée propre car usa et urss ne voulait pas laisse un arbitrage possible). Tentative de contrôler internationalement les armements. Agence de contrôle des armements atomiques qui découle de la course à l’armement de l’époque. Essaie de réglementer le recours à la violence entre les états. Cette opposition se reproduit dans des conflits particuliers : Vietnam, Angola, etc… Débouche sur des états

courants européen de l'OUEST avant de progressivement les rejoindre. Le 3ème élément : c'est la chrétienté. Sur le tissu féodal, la chrétienté va venir greffer une communauté de valeurs mystiques, morales et tenter d'unifier ainsi en utilisant les instruments religieux et intellectuels l'espace politique et européen. A la fin du M-A elle va céder la place en s’effaçant, lorsque les féodaux vont céder leur place au roi symbole de la nation. C’est à ce moment que vont naître de grands états européens

de chapitre Cette double page vise à présenter les deux axes d’étude qui structureront le chapitre. La photographie des cérémonies du 11 novembre 1945 (doc. 1 p. 10) souligne la diversité des victimes françaises et des vécus de la guerre/des violences de guerre, de façon à suggérer qu’il y a, dès 1945, différentes mémoires de la guerre. Celles-ci sont évoquées dans la première partie du chapitre à travers trois doubles pages thématiques : mémoire de la collaboration, de la Résistance, de

d’obligation de mettre en place d’armée internationale. Réaction collective des Etats est centralisé. C’est le Conseil de Sécurité qui va prendre la décision. Il va adopter des mesures qu’il vise nécessaire pour rétablir cette légalité. Pas de recours à la violence.  ???????????? Le respect des Etats. 1°) L’égalité des Etats. Le fait pour les Etats membres d’adhérer à la charte, cela les conduit à adhérer a un patrimoine commun, ce qui favorise une certaines homogénéité de leur engagement. Ils sont sur un

une altération réciproque, de sorte que l’Etat colonial apparaît sous la diversité de ses formes, comme un produit syncrétique mêlant et recomposant des influences divergentes. Dans ce processus d’interpénétration, les logiques de domination, de violence, parfois aussi de résistance ont prévalu. Ainsi, l’Afrique contemporaine a-t-elle été maintenant à l’écart du mouvement démocratique qui parcourait notamment l’Europe. La période postcoloniale n’a pas dérogé à cette règle. Au contraire, la politique