Monstre Rhinocéros

CE comte s'en ira tout simple : car je laisse aux medecins d'en discourir. Je vis avant hier un enfant que deux hommes et une nourrisse, qui se disoient estre le pere, l'oncle, et la tante, conduisoient, pour tirer quelque soul de le monstrer, à cause de son estrangeté. Il estoit en tout le reste d'une forme commune, et se soustenoit sur ses pieds, marchoit et gasouilloit, environ comme les autres de mesme aage : il n'avoit encore voulu prendre autre nourriture, que du tetin de sa nourrisse : et

Paris est comparé à un monstre, dès la première ligne et sur la totalité de l’incipit (« des monstres » l.1 « Monstre complet » l.3 « le monstre » l.12 « une créature » l.22). Et chaque partie de cette ville est une partie de ce monstre. « Les greniers » sont comparés à une « espèce de tête pleine de science et de génie », « les premiers étages » à ses « estomacs » et « ses boutiques » à de véritables pieds » ces comparaisons rendent une sensation d’insécurité. Ce monstre bouge « ses bras se remuent

[pic] Le dossier de synthèse : Vous ferez des cinq documents suivants, consacrés au regard porté sur les monstres dans la société, une synthèse concise, objective et ordonnée. Document 1 : “Quasimodo”, Victor HUGO, Notre-Dame de Paris, Livre 1, chapitre V, Editions Gallimard Folio, 1831 Document 2 : « Les délices de la peur », Claire CAILLAUD, Revue Textes et documents pour la classe, décembre 1995 Document 3 : Frankenstein, Mary SHELLEY, Frankenstein ou Le Prométhée moderne, dernier chapitre

ville est-elle présentée comme " le plus délicieux des monstres " (l’oxymore est ici encore renforcé par le superlatif) ou comme " cette monstrueuse merveille ". Cela traduit, de la part du narrateur, un mélange de crainte et de fascination. L’arrière-plan réaliste de la page, où l’accent est mis sur les disparités et les contrastes urbains de tous ordres, est poétiquement traduit par une métaphore tératologique : nature hybride, le monstre est l’alliance par excellence de natures différentes.

les djinns est un de ses poèmes tiré du recueil les orientales. Ce recueil est un vrai succès car beaucoup de personnes sont attiré par l’exotisme de l’orient. En quoi est-ce un poème romantique ? 1) Les djinns a) Ce sont des monstres - Champs lexical du monstre : fantastique peur qui est accentué par la destruction b) Qui détruisent tout - Champs lexical de la destruction : mène a la révolte - Ce sentiment est accentué par la personnification : « la maison crie et chancelle » v61 c) Et

humaine bien qu’il y ait plein de sciences pour la comprendre (psychanalyse, psychothérapie…). C’est un reflet d’une société un peu angoissée qui cherche à tout expliquer par la science. (Exemple amour) On peut aussi dire qu’en modifiant l’image des monstres vers une image plus positive, on essaie de gommer les défauts des hommes dans une vaine tentative de négation afin de d’obtenir une image lisse de nous-mêmes. C’est pour cela qu’elles ont changé dans notre vision car avant elles étaient dans un

de l'écran. Alors que la première scène du film nous rappelle le film des Lumière, Aki Kaurismäki utilise dans L'Homme sans passé trois figures du fantastique : la résurrection, la momie et l'homme invisible. La momie est indissociable des autres monstres du bestiaire fantastique : le vampire, le golem, le zombie, la créature du docteur Frankenstein, etc. Présente à la fois dans la littérature et dans le cinéma, la momie apparaît dans le film de Kaurismäki à plusieurs fins : le réalisateur tient à

pas celui de Hans Delbruck, mais bien d'un anormal. Déçu du peu d’intelligence de son œuvre, Frederick tente le transfert de cerveau après bien des déboires grotesques où le monstre est tour à tour compagnon de jeu d’une fillette, danseur au music-hall ou prisonnier enchaîné craignant le feu. En transférant sa raison à son monstre, Frederick lui permet d'épouser sa fiancée et de devenir un businessman. Quant à lui, il reçoit les extraordinaires capacités sexuelles de la Créature. Ce film de Mel

son père, qu’il dépeignait comme un héros. Les différents lieux cités dans ce passage, retrace la vie et les exploits de Thésée. D’après Théramène, Thésée était un « héros intrépide » qui protégeait les mortels, comme le montre la citation : « Les monstres étouffés et les brigands punis ». De plus, d’après la citation « Et les os dispersés du géant d’Epidaure », on en déduit qu’il a parcouru d’innombrables lieux pour accomplir ses exploits, comme par exemple lorsqu’il s’est rendu sur l’île dans le

multiples mais ici, chez Montaigne, que l’on considère comme l’auteur ayant donné au mot Essai sa définition actuelle, il s’agit de méditations. Le chapitre XXX du livre II dont nous allons étudier quelques extraits est consacré au phénomène des monstres, des « bêtes de foire » comme il est dit parfois. Montaigne rapporte ici l’observation qu’il a pu faire d’un enfant siamois et apporte une contribution essentielle à un débat vague au XVIe siècle mais qui est toujours actuel. Nous allons nous demander