Monstre

seras assis quelque part, petit plein perdu dans le vide, pour toujours, dans le noir. » (p. 51). Cette cécité est d’ailleurs emblématique, comme dans le mythe d'œdipe, de la lucidité de la conscience sur la nature. Conclusion Hamm est un monstre paraplégique et aveugle qui asservit les autres personnages. Sa force réside uniquement dans le pouvoir qu'il a sur les autres d'accéder ou non à la nourriture caché dans le buffet. Sa monstruosité accentué par ses deux infirmités le rendent néanmoins

Remarques sur la différence entre les deux travaux : plus de contraste, de présence etc. 2e séance : demande aux élèves de rappeler ce qui a été fait la séance précédente. Nouvelle consigne : par groupe de 3, 20min, disposer et coller les 6 monstres sur un format A4, on peut unifier l'ensemble en agissant sur le fond. Demandeles différents problèmes aux élèves : limite de la surface etc, travailler en groupe, unification de différents formats et types d'outils scripteurs, de style Il est indispensable

présente à eux. De grands corps énormes qui paraissent avoir des ailes blanches, qui volent sur la mer, qui vomissent du feu de toutes parts, et qui viennent jeter sur le rivage des gens inconnus, tout écaillés de fer, disposant comme ils veulent de monstres qui courent sous eux et tenant en leur main des foudres dont ils terrassent tout ce qui leur résiste D'où sont-ils venus ? Qui a pu les amener par-dessus les mers ? Qui a mis le feu en leur disposition ? Sont-ce les enfants du Soleil ? car assurément

Moanna/ Ofélia) Créatures extraordinaires ou monstrueuses ( le faune, le crapaud géant , l’homme pâle, la mandragore) Objets magiques ( le livre de contes, les craies , la clé) Lieux ( labyrinthe , royaume) Epreuves à accomplir 3a. Des monstres fantastiques apparaissent dans le film : Le faune : gardien du labyrinthe, créature mi-homme, mi-bouc Le crapaud géant à qui Ofélia va récupérer une clé (1ère épreuve) L’homme pâle , créature monstrueuse qui va dévorer deux des trois fées qui

omniprésent. 8. L’histoire est racontée sous le point de vue omniscient. Le narrateur connait tout de l’histoire racontée. 9. Gregor est refusé par les membres de sa famille. 10. Les membres de la famille veulent se débarrasser de Gregor, car c’est un « monstre » à leurs yeux. Ce n’est pas commun pour eux de voir une telle transformation, ce qui les pousse à l’exclure autant de la famille. 11. Au fil du récit Gregor ne se sent pas si mal dans son corps, la seule chose qui le gêne par rapport à celui-ci

soutient aucun personnage mais présente les pièges d’une situation: les désirs et les impulsions du professeur appartiennent autant à la condition humaine que la frivolité, l’incompréhension ou la passivité de l’élève. La Leçon nous enseigne qu’un monstre gît en nous, qu’une situation suffit à rendre actif. A travers une intrigue irréaliste, Ionesco a signalé la difficulté, voire l’impossibilité de donner ou de recevoir efficacement des leçons. Cette pièce n’est pas divisée en scènes. La position

locomotion, la vie particulière dont il semblait doué. Si c’était un cétacé, il surpassait en volume tous ceux que la science avait classés jusqu’alors. Ni Cuvier, ni Lacépède, ni M. Dumeril, ni M. de Quatrefages n’eussent admis l’existence d’un tel monstre, – à moins de l’avoir vu, ce qui s’appelle vu de leurs propres yeux de savants. À prendre la moyenne des observations faites à diverses reprises, – en rejetant les évaluations timides qui assignaient à cet objet une longueur de deux cents pieds et

locomotion, la vie particulière dont il semblait doué. Si c’était un cétacé, il surpassait en volume tous ceux que la science avait classés jusqu’alors. Ni Cuvier, ni Lacépède, ni M. Dumeril, ni M. de Quatrefages n’eussent admis l’existence d’un tel monstre — à moins de l’avoir vu, ce qui s’appelle vu de leurs propres yeux de savants. A prendre la moyenne des observations faites à diverses reprises — en rejetant les évaluations timides qui assignaient à cet objet une longueur de deux cents pieds et en

aussi l'injustice de la beauté et de la laideur qui sont deux notions qui ne font pas ce que l'individu est vraiment . Le poète milite pour le respect des toutes les créatures terrestres , et veut dire que tous les etres sont égaux et que " Pas de monstre chétif , louche , impur , chassieux" v23, n'ait moins d'importance à cause d'une apparence disgracieuse que les autres individus plus beaux extérieurement . Selon Hugo , tous les hommes jouissent de "l'immensité des astres dans les yeux " v.24 , soit

décisions contradictoires. b.La monstruosité Le « j e » se présente par ailleurs comme un être problématique ; il revendique son être monstrueux (l. 11), exprime sa satisfaction du fait que nous ne puissions le voir (« ne voyez devant vous qu’un monstre, dont je suis heureux que vous ne puissiez pas apercevoir la f i g u r e », l. 10 à 13). Dans l’invocation au poulpe, il déclare s’identifier à l’animal (« dont l’âme est inséparable de la m i e n n e » , l. 21-22) et s’interroge sur le possible rapprochement