Monstrueux

naturellement Hésiode va décrire ! Qu’ont-ils tous en commun ? Ils sont monstrueux. Ce sont des puissances fortement redoutables, fortement reliées à la vigueur de la Terre. Ce sont des forces brutes. Ils sont intermédiaires entre la Terre et le Ciel. Mais, dans la suite, on apprend que ces « enfants » qui sont nés, en réalité ne sont pas nés ! En fait, ce premier début est un « ratage ». Chaque fois qu’un enfant monstrueux doit naître, Ouranos le cache au « profond de la cachette de la Terre »

personnage de l’histoire. De plus, il semble tout savoir des personnages : il est donc omniscient. Donnez un titre à chacun des paragraphes. La plus belle grimace. La grimace était son visage. Le pape des fous. La description d’un personnage monstrueux. |Détails physiques |Caractéristiques |Comparaisons utilisées | |Les dents |ébréchées

description suit le trajet du regard selon l’axe de l’horizon et la vue du littoral, des côtes. III. La transformation du réel « Sur sa droite, au-dessus de Sainte-Adresse, les deux phares électriques du cap de la Hève, semblables à deux cyclopes monstrueux et jumeaux […] » est une comparaison. Les lignes 87-88 sont au discours indirect. C’est le paysage, les villes qui prennent la parole. C’est donc une personnification. « A éclats et à éclipses » (l.83) est une allitération : c’est la répétition

pour avoir son titre honorifique de Roi. Dans ce passages, la guerre est fini, et Richard ne se sent pas a sa place par sa laideur. Il dit ne pas être fait pour les beaux quartiers, mais seulement pour la guerre. Ce texte fait ressortir le coté monstrueux du personnages. Problématique : Dans quelle mesure est-ce une scène d'exposition ? I. Circonstances initiales A) Mise en scène . Pour commencer, nous pouvons penser que l'idée d'une scène se renforce fortement par l'utilisation (en didascalie)

et semble n’avoir aucun remords. L’auteur dénonce un crime monstrueux amplifié par le physique de la victime. En effet, la victime est un « adolescent à longs cheveux blonds »l.2024. Cette figure fait penser à celle de Jésus. Ainsi le jeune homme est non seulement innocent, mais fait aussi référence à une figure emblématique. Toutes ses explications sont ridicules, et la structure du texte sert à l’ironie, qui dénonce un crime monstrueux, qui d’autant atroce qu’il est inutile. Pour conclure

comme une personne égoïste. Il fait pitié au lecteur car il nait dans les déchets, toute sa jeunesse il va être maltraité mais quand on le voit évoluer et se mettre à tuer on le voit heureux alors qu’il agit comme un psychopathe.car c’est un être monstrueux et immoral. Mais également l’admiration. Personnages secondaires (les plus importants, précisez leur rôle) - Mme Gaillard (nourrisse) - Grimal (tanneur) - Giuseppe Baldini (parfumeur qui va tout enseigner à Grenouille) - Taillade-Espinasse

celle du passage de la misère à l’excès. La réalité s’animalise et se renverse en une vision monstrueuse qui annonce la mort, la déchéance des personnages. Nous étudierons donc dans un premier temps les figures de l’excès qui caractérisent ce repas monstrueux puis l’animalisation d’une société sur laquelle le narrateur porte un regard cruel et ironique dont nous analyserons enfin les modalités. Cette scène descriptive ne se réduit pas à l’évocation d’un simple repas, mais devient la mise en scène

d'un gâteau de miel.L'entrée débouche sur un monstrueux sentier ou cheminent les âmes vers leur jugement:le vestibule des enfers.Cet endroit est peuplé des spectres effrayants. C'est là que la Douleur, le Deuil, les Remords, les pâles Maladies, la triste Vieillesse, la Terreur, la Famine, mauvaise conseillère, la honteuse Indigence, la Fatigue, l’Épuisement, la Mort ont élu domicile. En ce lieu se trouvent encore beaucoup d'autres spectres monstrueux de toute espèce et de toute conformation : ils

l’allitération en V (l.29 à 33 : « Va-t-en, vieille enfant enceinte qui vieillira sans mari »). Le double oxymore « vieille enfant enceinte » indique la cause de sa colère et fait de sa fille un être quasiment monstrueux qui semble réunir en elle trois générations. Ce côté multiple et monstrueux est confirmé par la phrase qui contient à la fois une deuxième personne du pluriel et du singulier (« Prosternez-vous et va-t-en »). On est bien, à ce moment-là du moins, dans l’univers du conte. - Le

Analyse littéraire de mi-session – Aut. 2021Automne 2021Professeur : Régis Larrivée Portera sur l’Acte IV, Scène 2 (vers 1035-1156, pages 61-69) dans  Phèdre .  Étapes : 1. relire l’extrait (compréhension, vocabulaire); 2. amorcer le travail de repérage (champs lexicaux, vocabulaires appréciatifs et dépréciatifs, figures de style dominantes, types de phrases, etc.).   3. compléter les questions sur l’extrait, entre les pages 170-171, qui peuvent