Monstrueux

Nous allons donc voir comment Camus nous montre que la peine de mort est un acte monstrueux dans cet œuvre. Pour cela nous verrons, dans un premier temps, comment la société de l'époque voit la peine de mort. Puis dans la deuxième partie nous analyserons comment Camus fait une remise en cause de cette peine de mort. Dans un premier temps nous allons analyser comment Camus dresse un portrait du coupable monstrueux, puis de quelle manière il nous montre que la société accepte la peine de mort et

sur le fait que les enfants sont constamment dominés ; il emploie à plusieurs reprises l'adverbe « sous des meules ; sous les dents ». Les notations spatiales « sous » prennent rapidement une connotation très péjorative. Ils suggèrent un univers monstrueux et inhumain comme le soulignent les termes « meules », « prison », « dents d'une machine sombre », « ombre », « bagne », « enfer ». La gradation ascendante concernant cet univers infernal « prison, bagne et enfer »  implique très fortement le lecteur

"Le Pou" D'abord, il semble mettre en garde l'homme contre les dangers du pou, ou plutôt des intentions du pou. Ensuite, il se rejouit du mal que ce pou monstrueux a pu déjà faire à l'humanité. Enfin, il souhaite qu'il lui en fasse encore plus à l'avenir !!! Ici, ce qui frappe, ce sont le cynisme, le sarcasme et la méchanceté de l'énonciateur Moldoror qui se dévoilent peu à peu jusqu'à la dernière phrase terrible. On assiste à une manipulation et à une provocation du lecteur. A) La provocation

plusieurs points de vus de l’homme, qui se rejoignent en ceci qu’ils le présentent comme un monstre. Monstre parfois bourreau, parfois victime, parfois hybride, à la fois homme et animal, de par la puissance animalisante des Chants. L’homme est monstrueux avant même d’agir, dans sa nature, ses caractéristiques mêmes. L’homme est tout d’abord présenté comme incapable d’aimer, p 116, car le pélican, capable d’aimer, lui fait honte. Ensuite, p127, « l'homme tombe souvent dans des accès de fureur qui

d’un cœur, de sentiments et de besoins humains. La question qui me vient à l’esprit est « De la créature ou de Frankenstein lequel des deux est le plus monstrueux? ». Certe Frankenstein s’est pourvu d’un pouvoir surhumain en donnant la vie à une chose inerte, mais il a baffoué à son devoir de créateur et de père. A mon sens, c’est l’orgueil monstrueux de l’un qui a engendré la monstruosité de l’autre. Durant le récit de la créature à son créateur, n’importe quel être, pourvu ne serait-ce que d’une

les dégâts provoqués par son mal-être vont déteindre sur celle-ci. Ainsi la description nous montrant l’état d’esprit de Pierre possède une dimension fantastique. Tout d’abord, Maupassant utilise le champ lexical du cauchemar, du monstrueux : « cyclopes », « monstrueux », « queues géantes de deux comètes », « colosses », « obscure », « l’eau profonde », « l’eau sans limites », « brume nocturne », «phare énorme et divin », « tranchée large et noire », « ombre fantastique ». De plus cette description

(l. 22) - "(…) elle (la lune) avait l'ai du phare énorme et divin allumé (…) pour guider la flotte (…)" (l. 34-37) -> Pierre cherche-t-il une présence divine à travers ces éléments ? B. Un univers fantastique et monstrueux Champ lexical du cauchemar, du monstrueux : "cyclopes monstrueux" (l. 3), "queues géantes de deux comètes" (l. 6-7), "démesuré" (l. 8), "colosses" (l. 10), "la mer obscure" (l. 15), "l'eau sans limites" (l. 25), "du phare énorme et divin" (l. 35), "la tranchée large et noire"

être humain? DEVELOPPEMENT : Tout d'abord on peut dire que le Minotaure est monstrueux envers les autres. Tous les neuf ans, il tue sept jeunes filles et sept jeunes garçons qui lui sont offert en sacrifice. Leur mort ne parait pas causer de remords au Minotaure qui ne semble pas avoir conscience de son rôle dans leur mort. Par ailleurs le monstre est monstrueux envers lui même : il s'automutile. Il est aussi monstrueux par son apparence : mi-homme, mi-taureau, c'est un être hybride issu d'une union

CRISTIANO RONALDO : «Il est monstrueux» L'avis de Bixente Lizarazu : « S'il n'y avait pas Messi, Cristiano Ronaldo aurait déjà eu le Ballon d'Or au moins deux fois. Ronaldo, c'est avant tout une machine à stats. Cette année, il a quand même réussi à marquer plus de buts que Messi, ce qui n'est pas rien. Ronaldo est monstrueux dans le jeu individuel mais il n'a pas le talent de Messi dans la capacité à jouer collectivement. Il est tellement fort qu'il n'hésite pas à provoquer même quand il a quatre

Une fois qu’on vous a tiré dessus, on vous tire toujours dessus ». 2 La guerre est décrite par ce personnage comme un acte terrible qui abat les gens physiquement et psychologiquement. Enfin, la guerre est la raison pour laquelle un soldat est monstrueux. En effet, la guerre est un évènement qu’un soldat ne peut pas oublier. «La guerre m’a créé. J’avais onze ans quand a éclaté ma première guerre. Très tôt mes parents ont été tués et j’ai rejoint mes frères dans la milice.»3 Josef était un enfant