Monstruosité

d’Héraclès où celui-ci doit vaincre l’Hydre de Lerne qui effraie la population. Cette représentation appuie sur la laideur et le côté néfaste du monstre ainsi il devient un être de mauvais augure. En outre, le réalisateur ou l’auteur peut développer la monstruosité en rajoutant la notion de spectacle en effet nous pouvons voir cela dans des films tels que Elephant Man (D. Lynch, 1980) où l’homme-éléphant est présenté comme un phénomène de foire aux spectateurs d’un cirque de Londres. Cette exhibition accentue

s’intéresse au supra naturel. C’est dans cette perspective qu’il publie en 1573 "Des monstres et des prodiges". C’est un homme savant, une autorité, et nous sommes en droit d’espérer de lui une analyse approfondie et argumentée du phénomène de la monstruosité physique, ainsi qu’une réponse à cette double question : qu’est-ce qu’un monstre et quelle est la raison de son existence ? I. Les caractéristiques du monstre A. L’hybride absolu Le monstre est celui que l’on montre parce qu’il est le rejeton

terroriser les populations en Béotie. Mais aussi « fiersmonuments » V10 ; « miroirs » V13. Dans ce sonnet la ponctuation est lié au rythme ce qui immobilise la beauté des manières les plus froides. Ici  apparaît l’aspect subjectif qui est  la monstruosité, la beauté est représenté de manière froide, cette froideur passe donc par la souffrance comme cité précédemment : « meurtri » au V2 . Cette beauté est aussi austère, on peut le constater grâce au chiasme « Et jamais je ne pleure et jamais je

Bien qu’elle ait souvent été liée à des idées d’angoisse de monstruosité et de peurs par l’Homme , l’araignée reste un être vivant unique en son genre . Ce dernier a souvent suscité notre attention dans le passé que ce soit dans le domaine scientifique , religieux et même cinématique . Les peurs bleus des humains envers elle ne sont absolument pas justifiées : sur 40 000 espèces d’araignées seul une dizaine d’entre elle sont dangereuses ! Ces arachnides possèdent des capacités

L’albatros : Laideur des hommes (=moral) Laideur marin ( + laideur Albatros sur sol. L’exemple qui montre que laideur laplus extrême peut inspirer unpoète = A une Charogne : Compare la femme a une charogne Inspiré par laideur, monstruosité Pourriture, Puanteur, horreur. Il insiste même sur cette laideur Avec une accumulation de qualificatifs Et dans Spleen , laideur = mal = l’enfer de la condition terrestre = enfermement = univers malsain, pourri (forme de prison intérieure)

faire souffrir Jason et Kali tue son mari et continue a danser sur son corps pour le faire souffrir même dans l'au-delà. QUESTION 4 Cette fusion permet l'enrichissement du mythe de Médée car en effet ses trois figures sont représentatives de la monstruosité et augmente ainsi considérablement le mythe monstrueux qu'est Médée. QUESTION 5 Les chœurs dans le théâtre Antique servent a  présenter le contexte et résume les situations pour aider le public à suivre les événements de l'histoire. Les voix

érotique (l'épée comme symbole phallique, ici > prendre l'épée d'Hippolyte = symboliquement, assouvir son désir > une interprétation qui lie étroitement l'amour et la mort > interprétation toute tragique !) Phèdre, un monstre. (> monstruosité propre à susciter la terreur) Phèdre = un monstre d'un point de vue moral. [Un peu plus tôt dans la pièce (v. 350-352), après l'annonce de la mort du roi Thésée, Oenone a voulu rassurer sa maîtresse et l'a incitée à espérer : « Votre flamme

livre n’est pas respecté : la pièce commence par annoncé les peines des coupables et l’histoire se fait par l mot d’Anna = boucle qui se ferme. Monstruosité = les sons, la voix, la multiplication d’un ê : le basculement de l’identité : le meilleur ami d’enfance d’Alain qui devient un monstre et le fer comme un cheval : MONSTRE COLLECTIF. Monstruosité aussi vis-à-vis de la lâcheté // le maire qui a peur d la foule et ne veut pas aider Alain de Moneys.

relate l’histoire d’une jeune fille qui devint la prisonnière d’un montre qui pour redevenir humain doit être aimé par quelqu’un. L’extrait étudier est un dialogue entre la jeune femme, Belle et le montre, la Bête. Celle-ci découvre que derrière la monstruosité de la Bête se cache un homme bon. Ce dialogue lui permet de passer au dessus des apparences. Le troisième texte est un extrait de L’homme qui rit publié en 1869 et écrit par Victor Hugo. Dans ce texte l’auteur met en scène un personnage Gwynplaine

monstre « intérieur » (idée que nous développerons ensuite). On peut aussi évoquer Elephant Man, film de David Lynch, dans lequel plusieurs séquences font apparaître l’humanité du personnage (physiquement monstrueux) et en contrepartie la monstruosité de ceux qui se prétendent être des êtres normaux. Ainsi, après avoir étudier le monstre en tant que créature imaginaire, nous allons l’étudier sur un plan scientifique, et évoquer les problèmes éthiques et moraux que pose la notion