Montaigne Preambule Les Essais

farce. En revanche, succès dans l’œuvre poétique, contes de Rabelais et les essais de Montaigne. Ronsard va donner une jeunesse à la poésie, il puise l’inspiration chez les grecs et romains mais prend en compte l’amour humain et la mort. Rabelais va répudier le médiéval avec gargantua qui développe une éducation fondée sur la nature qui assure la libre conscience. Rabelais va dénoncer les guerres religieuses. Montaigne va prolonger la pensée de Rabelais, il est président du parlement de Bordeaux

jour, à se livrer, de sa fine et régulière écriture, à des «tâtons du matin», à des «gammes matinales», qui étaient, à ses propres yeux, son refuge et sa justification et allaient constituer ses deux cent soixante et un “Cahiers”, «le journal de ses essais» tenu au long de vingt ans d’une existence relativement obscure et entièrement consacré à l'étude du fonctionnement intérieur de son propre esprit, exercices où il s’employa à développer son «potentiel» intellectuel. En même temps, ne renonçant pas

bon aloi, permettant ainsi de replacer les choses dans leur juste dimension. Une des premières phrases que j’ai apprises en arrivant en France, c’est qu’il faut essayer de ne pas avoir la grosse tête. J’espère que cette citation de Voltaire, en préambule de cette introduction me permettra de ne pas tomber dans le sillon de Philippe Bouvard… Pourquoi j’ai choisi ce thème ? D’abord, parce que en tant que collectionneur de gravures, je ressens une attirance naturelle pour la beauté du monde exprimé

érotisme et fantastique. Il fait par ailleurs l’apologie de la rêverie : « Quel pays de fées, celui où tout arrive, dans l’hallucination de la pensée qui vagabonde ! Comme la vie est belle sous la poudre d’or des songes ! »36 Le récit dépourvu du préambule classique plonge le lecteur dans une narration à la première personne, mené par un « je » anonyme. La descrip- tion du paysage, personnifié et même féminisé, constitue un indice d’étran- geté. « Et j’allais (…) caressant de la main la tête blonde

érotisme et fantastique. Il fait par ailleurs l’apologie de la rêverie : « Quel pays de fées, celui où tout arrive, dans l’hallucination de la pensée qui vagabonde ! Comme la vie est belle sous la poudre d’or des songes ! »36 Le récit dépourvu du préambule classique plonge le lecteur dans une narration à la première personne, mené par un « je » anonyme. La description du paysage, personnifié et même féminisé, constitue un indice d’étrangeté. « Et j’allais (…) caressant de la main la tête blonde des

des théories développées sur la base de l'expérience. Cependant, elles contribuent à donner un sens nouveau à la science. C'est le début de la foi dans la raison. Blaise Pascal (1623-1662) et la conscience tragique du monde : Au XVII e siècle, on essaie de penser la relation entre les mathématiques et la théologie. Les Méditations métaphysiques de Descartes avaient renouvelé la théologie traditionnelle en la rationalisant. Pascal veut, lui aussi, justifier dans une même synthèse la vérité scientifique

Scot est lu par D'Occam (XIIIème siècle, le siècle de la querelle des universaux) : après avoir lu Duns Scot, il avance qu'il n'existe que des individus. D'Occam est franciscain, les franciscains ne veulent rien posséder. Or le pape à cette époque essaie de s'enrichir : il demande à toutes abbayes de produire des richesses (vendre produits de leurs terres, propriétés...). Cela est contraire a l'idéologie franciscaine. Donc on demande à D'Occam d'argumenter contre le pape le fait qu'il n'existe pas

élargie : Adorno, Theodor W., Notes sur la littérature, notamment « Discours sur la poésie lyrique et la société », Paris, Flammarion, coll. Champs, 1984. Benjamin, Walter, « Sur le concept d’histoire », dans Œuvres III, Paris, Gallimard, coll. Folio Essais, 2000, Charles Baudelaire, un poète lyrique à l’apogée du capitalisme, Paris, Petite Bibliothèque Payot, 1979, et Paris, Capitale du XIXe siècle. Le Livre des passages, Paris, Éditions du Cerf, 1989, notamment p. 491 et suiv. Callard, Caroline, «

précipitation : 1h30, moi 2h00 Ecriture : 2h00 , moi 3h00 Relecture : 1 quart d’heure, moi 20 mn Plan progressif : convient surtout au plan thématique ; 3 tps du plus facile au plus compliqué Plan dialectique : berk. L’introduction : 4points : 1° préambule 2° Présentation du sujet 3° Problématique 4° Annonce du plan 3 parties avec 3 sous parties 15 à 20 lignes, 1 idée par paragraphe, 1 paragraphe par idée. Transition = conclue et annonce la suite ; der partie on peut conclure légèrement Conclusion

Relecture : 1 quart d’heure, moi 20 mn Plan progressif : convient surtout au plan thématique ; 3 tps du plus facile au plus compliqué Plan dialectique : berk. L’introduction : 4points : 1° préambule 2° Présentation du sujet 3° Problématique 4° Annonce du plan 3 parties avec 3 sous parties 15 à 20 lignes, 1 idée par paragraphe, 1 paragraphe par idée. Transition = conclue et annonce la suite ; der partie