Montaigne éducation Liberté

chez Montaigne dans Des Cannibales Le début du mythe du « bon sauvage » est souvent attribué à Montaigne, même si les fondations de ce mythe sont bien antérieures. Montaigne aborde le sujet dans les chapitres Des Cannibales et Des Coches de ses Essais. De nombreux critiques maintiennent que l’auteur prend position en faveur des peuples autochtones qui vivent tranquillement dans la nature et contre les Européens qui ne s’intéressent qu’à s’enrichir et à corrompre des peuples innocents. Montaigne souligne

son livre Les Essais, Montaigne nous expose sa vision de l'éducation à travers une critique de celle qui est présente à son époque. Dans notre cas, nous sommes en présence de la vision de Kant qui nous explique que l'éducation est en fait une étape qui permet d'atteindre le but final de l'indépendance en passant par l'apprentissage de la liberté à travers la contrainte de la règle. L'idée semble cependant paradoxale, en effet comment pourrait-il allier la contrainte et la liberté qui nous sont des termes

il retourne en France pour régler des affaires de famille; il acquiert suffisamment de fortune pour ne pas avoir à gagner sa vie. En 1628 (à 32 ans), il fuit la vie mondaine de Paris pour s’établir en Hollande, où il trouve une plus grande liberté (la liberté de pensée est davantage restreinte en France, qui se dirige vers une monarchie absolue à cette époque) ; il y demeurera pendant plus de 20 ans ; c’est là qu’il va réaliser son œuvre. Aimant peu les centres-villes, il va surtout habiter les faubourgs

Les mouvements littéraires L’humanisme (première moitié du XVIème siècle) Auteurs : Rabelais, Montaigne. Caractéristiques : Réfléchissent sur l’homme, veulent lui donner une éducation la plus complète possible, en favorisant la réflexion plutôt que la mémoire sans comprendre. Ils croient en l’homme, pensent qu’il est capable d’être bon et sage. La Pléïade (milieu du XVIème siècle) Auteurs : Ronsard, Du Bellay. Caractéristiques : Ecrivent essentiellement de la poésie. A une époque où la poésie

connaître extérieurement, comme l'énonce Hegel : "se reconnaître lui-même dans la forme des choses". Cependant, cette découverte de soi peut nous étonner ou même nous effrayer, "je ne connais pas de monstre et de miracle si exprès que moi-même" déclare Montaigne dans Les Essais. Finalement, l'homme cherche constamment à se tester et à trouver ses limites pour mieux aborder les nouvelles situations auxquelles il sera confronté. Dans cette quête des connaissances de soi-même, du "Je", on peut se demander si

et bruyante et désordonnée ("troupeau d'élèves, "surmenage", "cris, "puanteur"). Erasme évoque l'incapacité des maîtres à intéresser leur public Le but de cette éducation est de former des hommes dociles, soumis ("chambres de torture", "servitude")  Les méthodes d'enseignements défendues par les humanistes par exemple par Rabelais et Montaigne qui suggèrent de laisser parler l'élève, de privilégier la réflexion sur l'accumulation de connaissance, de lui proposer des exercices pratiques (qu'ils lui permettent

anciens ce qui apporte un renouveau profond de la pensée. Les savants s’intéressent à tout ce qui touche et définit l’homme (son anatomie, son rapport à Dieu, son éducation et la politique) = anthropocentrisme qui consiste à placer l’homme au centre de tout, au sommet de la hiérarchie des espèces. L’anthropocentrisme (refusé par Montaigne, nuancé par Voltaire, Darwin, ok pour Descartes qui considérait les animaux comme des machines) est le principe de l’humanisme (mouvement culturel) 3. Hérodote

(XVIe siècle) qui se caractérise par la foi en l’homme, par l’intérêt pour toutes les formes de la connaissance et par la redécouverte de la littérature antique. Critique de l’éducation rhétorique, où on rabâche les propos du maître Désir d’une éducation qui soit équilibrée : on veut apprendre aux gentilshommes tant les armes que la culture générale Désir de retour à l’étude des textes anciens, même s’ils contredisent la religion Apprentissage des langues anciennes (hébreux, grec, etc.) pour

économique va être obligé de supporté 3h par semaine de Physique/ Chimie jusqu’en Seconde alors qu’il n’en entendra plus jamais parler et lui seront inutile des qu’il sera en première. A l’inverse, les étudiants ont aujourd’hui plus de liberté. Puisse cette liberté nous amener au résultat de Gargantua avec L’Abbaye de Thélème qui a pour point d’orgue “Fais ce que tu voudras” et dont les habitants sont totalement libre et autonome avec des résultats excellent au point de vus scolaire. Système utopique

l’éducation 1) Un enseignement à l’envers 2) Un rythme qui ne suit pas les apprentissages 3) Une éducation religieuse vue comme une comédie II. Le rêve humaniste 1) Eloge du corps 2) La place retrouvée de la religion 3) Une argumentation dénonciatrice Stimulus : Les humanistes prônent une éducation nouvelle qui rejette la scolastique qui constituait le modèle médiéval pour mettre en avant le libre accomplissement de l’Homme