Montaigne éducation Liberté

naltre aussi à la littérature. Cette notion juridique d'individu devient pour le penseur et le philosophe la condition essentielle de la pensée. Reprenant le précepte des stôfciens, pour lesquels la vie du sage est une conquête de la sérénité, Montaigne (Essais, I, 39 "De la Solitude") reconunande la retraite, et se félicite de pouvoir lire et réfléchir dans sa "librairie" à l'écart de la "presse". Descartes (Passions de Z'âme) s'enferme dans son "poêle", et Pascal (Pensées), méditant sur cette

| |8 XXe siècle : Pays en voie de développement | |8.1 Politique | |8.2 Education | |9 Le féminisme | |10 L'émancipation sociale des femmes et ses limites.

l’autorité, tant de l’autorité générale que de l’autorité parentale. En effet, il est une figure importante dans l’enfance de Sartre puisqu’il remplace le père. Contrairement à une famille traditionnelle, Sartre reçoit une éducation d’abord familiale et ne rentre au lycée Montaigne qu’en huitième avant d’en être retiré et d’avoir des leçons particulières. Cette première approche de l‘éducation est dispensée par Charles Schweitzer, qui instruit à son petit fils, entre autres, « [ses] devoirs civiques »

a qu’une vérité. Ensuite, l’opinion est subjective alors que la vérité est objective. Non seulement, l’opinion dépend du jugement de chacun et aussi du contexte, des circonstances mais elle dépend aussi de ce que nous avons reçu dans notre éducation, notre vécu ; et, cette opinion traduit plus nos désirs. L’opinion est, alors, plus un jugement irréfléchi, voire même un préjugé car elle est irrationnelle. Prenons l’exemple tout simple de l’opinion que l’on se fait sur une question d’actualité

déclamation, sans rien de forcé, sans courir après l’esprit; que ses intrigues, ainsi que ses pensées, étaient toutes fondées sur la nature: elle retrouvait dans cette lecture l’histoire de ses sentiments, et le tableau de sa vie.  On lui fit lire Montaigne: elle fut charmée d’un homme qui faisait conversation avec elle, et qui doutait de tout. Ou lui donna ensuite les grands hommes de Plutarque: elle demanda pourquoi il n’avait pas écrit l’histoire des grandes femmes.  L’abbé de Châteauneuf la rencontra

par l’absurdité et l’énormité de leur temps s'impliquent, par l’intermédiaire de leurs œuvres, dans les enjeux sociaux, culturels et politiques, suscitant ainsi une controverse et faisant s’interroger le lecteur sur ces mêmes enjeux. De ce fait, Montaigne, La Bruyère ou encore les Philosophes des Lumières (tels que Voltaire, Diderot ou D’Alembert), tous sont les premiers à diffuser des idées critiques : ils dénoncent des institutions, des mœurs et notamment les injustices sociales, thème de prédilection

sont que des mouvements particuliers des atomes qui la composent, le fait d'admettre chez l'homme un principe de liberté revient à reconnaître l'action de ce principe dans le mouvement des atomes, principe en vertu duquel Épicure s'affranchit du déterminisme strict de Démocrite, de la causalité nécessaire. Selon Démocrite, tout est nécessaire, tout effet à une cause. Il n'y a pas de liberté. Pour Épicure, au contraire, le monde est issu du hasard et de la nécessité. La nécessité vient de la chute nécessaire

BO 1 LES ESSAIS – MONTAIGNE ( 1533-1592 ) INTRODUCTION : Montaigne a consacré une grande partie de sa vie a composer ses essais → 1572 Il renonce à sa vie sociale, s'enferme dans sa librairie. Les essais extrait du livre «  De la Vanité » → 2 thème importants : goût du voyage légèreté de la nature Il a beaucoup voyagé. I: Structure argumentative du texte → 1°§ :Montaigne ne suit aucun itinéraire, surprise et événements

« monde parfait », parle en réalité de sa propre utopie, du monde parfait dont lui-même il rêve. Au contraire, Georges Orwell utilise l’exemple contraire, dans 1984, écrit en 1948, ou il décrit un monde totalitaire ou la liberté de pensée est impossible, et défend donc la liberté de pensée. L’apologue permet aussi une identification aux personnages. Le lecteur peut en effet s’identifier à des personnages qui souffrent par exemple de discrimination, ou de situations que l’auteur considère critiquables

Fiches de révisions Mouvements Litteraires : 16éme siècle : Humanisme ---> Erasme, Montaigne, Baudelaire La Pléiade ---> Du Bellay, Roussard 17éme siècle : Baroque/Préciosité ---> Corneille, Molière Classicisme ---> Molière, Corneille, Racine, La Fontaine, Pascal, Boileau 18éme siècle : Les Lumiéres --->Diderot et d'Alembert, Voltaire, Montesquieu, Rousseau 19éme siècle : Romantisme ---> Vigny, Musset, Hugo, Maupassant Réalisme ---> Maupassant, Flaubert, Balzac