Montesquieu

Montesquieu, Voltaire et Rousseau partagent le même thème dans leurs textes: la monarchie absolue, mais les auteurs utilisent des stratégies argumentatives différentes : Tandis que Rousseau et Montesquieu utilisent l’argumentation directe pour critiquer la monarchie et le roi, de la Fontaine utilise l’argumentation indirecte grâce a une fable a travers laquelle il critique la société de son siècle. Il se sert du registre satyrique pour se moquer de la société alors que Montesquieu et Rousseau

Montesquieu et sa vision de la religion dans les lettres Persanes Le dix-huitième siècle que l’on appelle siècle des lumières se caractérise par le questionnement de l’être humain (bonheur et bien être des hommes), l’idée de liberté, d’égalité, de progrès du monde notamment en se débarrassant de : l’irrationalité critique, la superstition et la tyrannie que les institutions religieuses représentaient au temps où la religion d’Etat, le catholicisme, était imposée par l’absolutisme du roi Louis

par Charles de Secondat, baron de Montesquieu, alors qu'il siégeait à l'académie Française. Ce texte appartient au courant des Lumières et présente avant tout un registre polémique. La période durant laquelle ce texte a été écrit correspond à l'ouverture de la France sur le monde par les colonisateurs mais également les commerçants, ce qui apporte un exotisme souvent discuté dans les salons. Ce texte est un éloge de l'esclavagisme largement ironique. Montesquieu expose dans ce texte les raisons

Introduction      Notre passage est tiré de Les Lettres Persanes de Montesquieu, en 1721. Il s’agit de lettres que deux persans en voyage à Paris envoient à leurs compatriotes à Ispahan. C’est l’occasion pour Montesquieu de critiquer la société de son temps. De la lettre 11 à 14, Montesquieu présente l’apologue des troglodytes, ce peuple méchant et féroce au départ, va, grâce à deux individus exceptionnels, pratiquer la vertu et une sorte d’union civique. Cette utopie va dégénérer quand les Troglodytes

la mode » (Lettres persanes, XCIX) INTRODUCTION : Publié après 1721, cet extrait est issu du roman épistolaire de Montesquieu, philosophe et romancier du mouvement des Lumières. Ce recueil met en scène deux personnages fictifs, Usbek et Rica, des Persans qui voyagent en Europe et correspondent avec leurs proches restés au pays. C’est à travers le regard étranger que Montesquieu fait une critique des sociétés européennes. Dans cette lettre, Rica écrit à Rhédi, resté à Venise, et il lui fait part

de Fontenelle paru en 1687, une lettre tirée des Lettres Persanes de Montesquieu parues en 1721, et un passage de Supplément au voyage de Bougainville de Diderot en 1772. Nous analyserons les points communs et les différences entre les trois documents. -Tous d'abord dans l'extrait de Fontenelle qui est du XVII ème siècle, Louis XIV régné dans la monarchie absolu avec le droit divin. Contrairement à la lettre de Montesquieu et le celui de Diderot qui sont deux extraits de textes du XVIII ème

DE L'ESCLAVAGE DES NEGRES Montesquieu INTRODUCTION      De l'esclavage des nègres est un extrait de De l'Esprit des Lois, traité de sociologie politique que Montesquieu publie en 1748, et dans lequel il tente d'analyser comment le climat, les mœurs, l'économie, les lois ... ont influé sur les différents régimes politiques qui se sont succédés dans l'Histoire.      L'auteur, grand savant et philosophe du siècle des Lumières, fut aussi magistrat à Bordeaux, mais il est surtout connu pour des ouvrages

TABLEAU SYNOPTIQUE : BROUILLON Titre / Auteur "De l'esprit des lois" chap "De l'esclavage des nègres" Montesquieu L'Encyclopédie, article "Traite des nègres" De Jaucourt "Candide" Voltaire "Histoire des deux Indes" chap "De l'esclavage" Diderot Genre Essai Article Encyclopédie Conte philosophique Roman Date 1748 1751-1766 1759 1770 Types d'argumentation et procédés Argumentation directe l.5 , petite hyperbole " le nez si écrasé" Argumentation directe Lexique

mûr pour la servitude » Montesquieu Depuis des millénaires les hommes se battent pour une raison, bonne ou mauvaise. Les guerres puniques, les conquêtes d’Alexandre le Grand, celles des romains, les croisades, la Révolution française, les deux guerres mondiales ou encore les guerres civiles qui ont déchirés et déchirent toujours de nombreux pays sont autant d’exemple de la capacité de l’homme à se battre, à se révolter. Ce combat est-il vital pour l’homme ? Montesquieu a dit « Un pays où l’on

n’a point de constitution ». Pour Montesquieu, philosophe des Lumières, la liberté est le bien suprême ; c’est le droit de faire tout ce que les lois n’interdisent pas. Il met en évidence le lien existant entre la constitution et la liberté et prône une séparation des pouvoirs. Pourquoi la garantie des droits de l’homme et du citoyen, l’affirmation de la liberté ne sont-elles possibles que dans le cadre de la séparation des pouvoirs préconisée par Montesquieu ? Nous nous intéresserons dans un