Montrer Si Une Croissance Durable Dans Un Monde Aux Ressources Naturelles Limitées Est Possible

Vers une économie territoriale et durable notions clés et champs d’actions pour appréhender les projets territoriaux de développement durable dans leur versant économique teddif territoires, environnement et développement durable en Île-de-France www.teddif.org décembre 2012 2 www.teddif.org teddif En dépit d’un engagement toujours plus important des collectivités en faveur de stratégies territoriales de développement durable (agendas 21, plans climats territoriaux...), il est frappant

de deux écosystèmes, l’écosystème maritime et l’écosystème terrestre. Cette première définition du littoral comme zone de contact terre-mer a deux conséquences : 1) le littoral est riche en possibilités pour les hommes (ex. : exploitation des ressources maritimes à travers la pêche ou possibilité de transport maritime) d’où le développement d’activités humaines spécifiques qui, aujourd’hui, attirent de plus en plus d’Hommes sur les littoraux. Définition du littoral par principal texte de loi américain

du Brésil. Aujourd'hui la moitié de la production mondiale, en PPA, et la moitié de la croissance sont réalisées par les PED. En conséquence, on peut voir une classe moyenne mondiale qui à tendance à se déplacer vers les pays émergents. La Banque Mondiale prévoit qu'en 2030, 1,2 M d'individus des PED rejoindront la « global middle class » qui est définit comme l'ensemble des individus ayt accès aux biens durables, à l'éducation. Ce rattrage s'accompagne d'une intégration ds le commerce mondial qui

utilisent les ressources rares en vue de satisfaire au mieux leurs besoins. » Quelques notions. On s’intéresse aux agents économiques qui ont des objectifs : leurs besoins. Pour les satisfaire, ils ont recours à des services marchands (payants). Mais ils disposent de ressources limitées (revenus, recettes, budgets) ( Faire des choix. La rareté : - Biens libres ou non-économiques : biens existant en quantité illimitée dans la nature (en rapport avec les besoins naturels comme le fait

plusieurs définitions. Chaque définition renvoyant à des réalités sous-jacentes différentes. Ainsi, pour les Marxistes la science économique est l’étude des rapports sociaux de production ; pour les néoclassiques c’est la science de l’allocation des ressources rares entres des fins alternatives. Pour une grande majorité, la définition de Jean-Baptiste SAY (économiste Français) demeure la plus acceptable : science qui étudie la production, la répartition, la distribution et la consommation des richesses

en tant que discipline, est une branche des sciences sociales (Les sciences humaines et sociales sont un ensemble de disciplines scientifiques étudiant les aspects sociaux des diverses réalités humaines. On les met en contraste avec les sciences naturelles, et souvent aussi avec les sciences dites « exactes », en raison de leur statut épistémologique spécifique (bien que nulle science ne soit exempte de scepticisme et véritablement « exacte » au sens de la seule réalité, et bien que les sciences qui

- Cours complet d’économie politique pratique (1828) MILLS (1806-1873) :- Principes d’économie politique (1848) Ces intellectuels sont donc des : * Libéraux révolutionnaires * Pasteurs recherchant un ordre naturel * Bourgeois cherchant à dessiner les contours d’un système sur le modèle de la physique afin d’exprimer des lois qui réfèrent l’économie On retrouve différents thèmes dans l’école classique : * Une économie de surplus : Richesse sociale

comprendre le monde ………………………………………………………………………….……………… 7 Chapitre 2 La mondialisation en fonctionnement ……………………………………………………...……………………………….… 27 Chapitre 3 Les territoires dans la mondialisation ……………………………………………………...………………………………… 57 Chapitre 4 L’Amérique : puissance du Nord, affirmation du Sud ……………………………………………………...…………… 79 Chapitre 5 L’Afrique : les défis du développement ……………………………………………………...…………………...…………… 99 Chapitre 6 L’Asie du Sud et de l’Est : les enjeux de la croissance …………………………………………………

elle permettra de jeter les bases des politiques économiques qui permettront de sortir le monde de la crise. Il faut cependant pour cela ne pas considérer la théorie keynésienne comme un dogme et savoir l'adapter aux réalités d'aujourd'hui, il faut surtout ne pas la confondre avec les politiques de soutien de l'activité par des déficits publics. L'égalité entre l'épargne et l'investissement Keynes montre d'une manière indiscutable que, dans une économie fermée, c'est-à-dire sans relations avec

initiative de contribuer à améliorer la société et à rendre plus durable l’environnement » se trouve être fortement remise en cause par le fait qu’il n’y ait que très peu d’entreprises qui soient venues de leur propre management au développement durable. Même une prise de conscience ne semble donc pas assez motivante pour responsabiliser et modifier le modèle de gouvernance des entreprises. Comment résoudre le paradoxe qui bloque si souvent les actes de décisions et les impulsions du management face