Monuments Aux Morts

ROMÉO, prenant le levier et allant au tombeau. - Horrible gueule, matrice de la mort, gorgée de ce que la terre a de plus précieux, je parviendrai bien à ouvrir tes lèvres pourries et à te fourrer de force une nouvelle proie ! (Il enfonce la porte du monument. ) Pâris. - C'est ce banni, ce Montague hautain qui a tué le cousin de ma bien-aimée : la belle enfant en est morte de chagrin, à ce qu'on suppose. Il vient ici pour faire quelque infâme outrage aux cadavres : je vais l'arrêter.. (Il s'avance.

de la ville. À 8 h 16 min heure locale, après 43 secondes de chute libre, la bombe explose à 600 mètres du sol, sur un hôpital, faisant 75.000 morts sur le coup. Il s’agissait de la toute première attaque atomique de l’histoire. Dans les semaines qui suivirent, plus de 50000 personnes supplémentaires moururent, suite aux radiations. Le nombre total de morts est de l'ordre de 250.000. Une seconde bombe fut larguée sur Nagasaki, une autre ville japonaise, 3 jours plus tard. Contexte historique : Cette

en faisant au total 350 000 morts. Puis les offensives ont lieu en 1916 à Verdun et sur la Somme, enfin en 1917 au Chemin des Dames (Route de crêtes d’une trentaine de kilomètres de long qui domine d’Est en Ouest les vallées de l’Aisne et de l’Ailette.) . Ces dernières se heurtent à des défenses infranchissables et les pertes sont toujours hors de proportion avec les gains de terrain réalisés. La bataille de Verdun est une vraie boucherie : elle fait 515 000 morts, environ 240 000 du côté allemand

Allemagne ou sur place. Mais ce qui est nouveau c’est que les civils commencent à devenir des cibles stratégiques. Avec la modernisation de la guerre et la radicalisation croissante du conflit, l’on bombarde l’arrière front ce qui provoque de nombreuses morts et destructions matérielles. Les lieux de combats et les espaces civils sont ainsi de moins en moins distincts. Par exemple, lorsque les bombardiers allemands pilonnèrent les quartiers industriels de Londres en 1917, près de 1500 personnes perdirent

crée des territoires ( naissance du mégalithisme = 1ers monuments témoins de l’appropriation de l’espace et de la sédentarisation. Entre le Ive et IIIe millénaire : Dolmens = grands caveaux collectifs + symbolique de l’identité communautaire. Phénomène qui s’étend depuis les régions atlantiques. ( puis d’autres formes de monuments  (toujours avec des grosses pierres) : menhirs, cromlechs (Stonehenge), alignements (Carnac). Ces monuments sont aussi les témoins des religions néolithiques, indissociables

de leur appartenance religieuse. Les | | |monuments religieux se trouvent à faible distances les uns des autres, pouvant parfois se | | |trouver dans un quartier de religion diffèrent. Par exemple, le quartier musulman abrite | | |beaucoup d’églises et de monuments chrétiens ainsi que des lieux saints du judaïsme. |

bataille d'Austerlitz (1805), il déclare aux soldats: « Vous ne rentrerez dans vos foyers que sous des arcs de Triomphe ». La construction est abandonnée sous la Restauration puis reprise et achevée sous Louis-Philippe en 1836. Problématique : Si ce monument a été initialement construit pour honorer des mémoires individuelles, il est aujourd’hui devenu le symbole d’une mémoire nationale. Annonce du plan : Il s’agit d’étudier que la fonction première de l’arc de triomphe était de rendre hommage à la

l’idée qu’ils puissent avoir la « fine blessure » leur donner de la force pour aller se battre. Pour fuir temporairement les horreur de la guerre, les poilus écrivaient à leurs proches mais dans ces lettres ils ne parlaient pas des défaites et des morts, seulement des bonnes nouvelles pour ne pas inquiéter l’arrière et afin qu’il continue à les soutenir dans leurs combat ce qui montre une fois de plus qu’il y avait un consentement à la guerre. LA MOBILISATION DE L’ARRIERE On savait que la victoire

absent des champs de bataille ». Il exprime cette idée à travers le vide de l’œuvre. Cette impression se retrouve également dans les soldats morts qu’il représente. D’autres trouvent dans la représentation de la compassion du Christ, de la Vierge ou des saints une échappatoire à leur angoisse. Rouault entreprend par exemple la série des Miserere, dont debout les morts et Schmidt -Rottluff demande à l’aide d’un christ gravé dont le front est marqué d’un 1918 « Christ ne vous est-il pas apparu ? ». Les

printemps 1918 quand les armées s'enterrent dans des tranchées le long d'un front de 700km. Les très dures batailles de Verdun (février à juin 1916) et de la Somme en 1916 ne modifient pas la ligne de front, mais les pertes sont très nombreuses (500 000 morts de chaque côté) et incitent les deux camps à rechercher de nouveaux alliés (Turquie pour les Empires Centraux, Roumanie pour l'Entente) L'année 1917 est le tournant de la guerre : La Russie signe une paix séparée après les Révolutions Russes de Février