Moral Des Misérables

avait en son temps fréquentés, forts de leur foi en la raison humaine sont, pour beaucoup, des esprits forts qui ont passé la religion chrétienne au crible puis l’ont rejetée tranquillement. À ces hommes, Pascal voudrait montrer leur vraie nature, misérable, pour faire naître en eux le besoin de se tourner vers Dieu qui, seul, pourra apaiser leurs désirs et expliquer leurs contradictions. Montrer la misère et la grandeur de l’homme est un lieu commun, à divers titres, des écrits spirituels ou moralistes

hémistiche « Ils s'aimeront toujours ! » v.1252 • Certaines phrases sont interrompues par des exclamations, des interrogations, sonnant comme des indignations profondes, des cris de colère « Au moment que je parle, ah ! mortelle pensée ! » v.1254 / « Misérable ! Et je vis ? Et je soutiens la vue » v. 1273 • Jeu de sonorités dans les expressions de la colère, allitération en « s » v. 1257-1258 3) Une douleur profonde responsable de cette pulsion de jalousie • champ lexical de la souffrance : « importunait

et le corps. Blaise Pascal, dans son oeuvre Les Pensées affirme également que sans conscience l'homme n'existe pas. Pascal dit que l'homme passe son temps à s'étourdir, il se divertit pour oublier sa condition misérable. Il dit que la condition première de l'homme est la condition misérable. Il compare l'homme a un roseau, car l'homme est facilement manipulable et se "plit" comme le reseau, mais c'est tout de même un roseau pensant. Il nous montre ici la faiblesse physique de l'homme. Pour lui, toute

LIRE Les Misérables par Josette ACHER Jean GAUDON Claude HABIB Jacques NEEFS Jacques SEEBACHER Jean DELABROY Yves GOHIN Bernard LEUILLIOT Nicole SAVY France VERNIER textes réunis et présentés par Anne UBERSFELD et Guy ROSA Librairie José Corti 1985 3 SOMMAIRE Bernard LEUILLIOT – Philosophie(s) : commencement d’un livre Jacques NEEFS – L’espace démocratique du roman Jean DELABROY – Cœcum – Préalables à la philosophie de l’histoire dans Les Misérables Claude

construisent dans ces textes ? Dans ce corpus, nous pouvons y trouver quatre textes qui ont été écrit entre la fin du XIXéme et le début du XXéme. Le plus daté est le roman le plus connus des œuvres de Victor Hugo, c'est Les Misérables écrit en 1862. Le second texte est Michel Strogoff de Jules Verne en 1876. Le troisième texte est un roman d' Emile Zola, c'est Germinal écrit en 1885 et pour finir un extrait de Voyage au bout de la nuit écrit en 1932 par Louis-Ferdinand Céline

Présentation PowerPointPrésentations1.1 Présentation de l’autrice1.1.1 Une dame de Cour1.1.2 Une Précieuse1.1.3 Une femme de lettres1.2 Présentation du roman1.2.1 Un roman nouveau1.2.2 Un nouveau romanesque1.2.3 L’ « affaire » de La Princesse de Clèves1.3. Présentation du parcours1.3.1 Individu1.3.2 Morale1.3.3 Société1.1 Présentation de l’autrice (Voir les repères chronologiques p.12)Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de Lafayette (1634-1693) 1.1.1 Une dame de courFamille de petite noblesse

Les Misérables De Victor Hugo I/Biographie Victor Hugo (1802-1885) -écrivain, poète, dramaturge mais aussi politicien engagé qui a occupé presque tout le XIXe siècle -Chef du mouvement romantique il a notamment fondé le Cénacle avec Sainte Beuve (1827) -partisan de la république qui a été exilé à Jersey et Guernesey -funérailles nationales -Genres dans lesquels il s'est illustré : -poésie ("Les Contemplations", " Les Châtiments") -romans (Les Misérables , Notre dame de Paris)

partie égale de 6 syllabe. L’efficacité de l’apologue nécessite un récit rapide et on le voit à la fin du récit car le jugement et le châtiment appliqué vont être très rapide. Dans les 2 derniers vers de la fable La Fontaine dégage explicitement la morale qu’on peut tirer de ce récit. On passe du narratif à l’argumentatif. On passe du récit à l’argumentation. On est dans le registre didactique. La Fontaine s’adresse à son lecteur avec la 2éme personne du pluriel et montre qu’on ne doit plus faire référence

quand j'ai pensé de plus près et qu'après avoir trouvé la cause de tous nos malheurs j'ai voulu en découvrir la raison, j'ai trouvé qu'il y en a une bien effective et qui consiste dans le malheur naturel de notre condition faible et mortelle, et si misérable que rien ne peut nous consoler lorsque nous y pensons de près. Quelque condition qu'on se figure, où l'on assemble tous les biens qui peuvent nous appartenir, la royauté est le plus poste du monde. Et cependant, qu'on s'en imagine un accompagné de

remarquer qu’il s’agit d’un récit avant tout allégorique. II. La dimension didactique D. Une morale explicite Les deux derniers vers « Selon que vous soyez puissants ou misérables, les jugements de Cour vous rendront blanc ou noir » (vers 63 – 64) consistent en un enseignement, une morale : * Alexandrins avec césures à l’hémistiche ; * Antithèses « Puissants/misérables » (vers 63) et « Blanc/noir » (vers 64) ; * Parallélisme et construction de répétition de la conjonction