Moral Des Misérables

(Balzac, Hugo) propose des personnages héroïques tranchant avec la médiocrité bourgeoise. Ils choisissent de vivre à travers les mythes de la démesure : Napoléon, Faust… ➞ Ex : Stendhal donne à Julien Sorel la force de la révolte. ➞ Ex : Dans Les Misérables (1862), la misère de Jean Valjean ou de Cosette est une traversée de la nuit, une descente aux Enfers suivies d’une rédemption. Cette vision singulière du monde, en rupture avec l’idéologie bourgeoise dominante, veut être partagée. Dans Germinal

(2) ; âme abattue (5) ; coup qui me tue (6)  inspire la pitié pour la souffrance de Rodrigue • Champ lexical : souffrance  « peine, misérable, malheureux » • tragédie grecque : doit inspirer terreur et pitié. Pour la catharsis : laver les pensées malsaines • Périphrases (désignation d’une personne ou d’une chose par une autre expression)  insiste sur son misérable sort • oxymore : alliance de mots contradictoires : « aimable tyrannie » B] L’opposition entre l’amour et l’honneur • Venger un père

se rend compte qu’elle ne peut que constater l’amour de plus en plus fort entre les deux jeunes gens. Celui-ci est déjà présent et durera « Ils s’aimeront toujours ». On sent que pour Phèdre, cette union est une fatalité. Phèdre subit une folie morale, la terreur, qui ne lui donne plus qu’une solution c’est de tuert Aricie comme nous pouvons le voir « Il faut perdre Aricie ». Son désir de meurtre est marqué par le champ lexical du meurtre : « crimes », « homicides » et « sang » . Nous pouvons

Le lecteur peut aussi, grâce à des romans comme ceux de Christian Jacq, voyager dans le temps et l’espace et découvrir un monde nouveau, dans l’exemple le roman nous entraîne dans l’Égypte Antique. De plus, une intrigue envoûtante, comme dans Les Misérables, de Hugo, l’histoire de Jean Valjean, transporte le lecteur dans ses aventures. Ensuite, le roman apporte une culture personnelle. D’une part, comme pour toute forme de littérature, il apporte un enrichissement linguistique, le roman permet de

subsister » (lignes 12-13), « les séducteurs nous assiègent pendant que la misère nous poignarde » (ligne 6) qui dévalorisent les hommes et montrent ce que Marceline leur reproche, le prouvent. Le texte B, de Victor Hugo est extrait du roman Les Misérables écrit en 1862. L’extrait que nous allons étudier est intitulé « la descente », chapitre X, première partie, livre cinquième. Le registre y est pathétique. Dans ce texte, Victor Hugo, à travers le personnage de Fantine dénonce l’injustice de la société

y parvenir. Il est bon d'être charitable : Mais envers qui? c'est là le point. Quant aux ingrats, il n'en est point Qui ne meure enfin misérable. Commentaire «Charitable autant que peu sage» : qualification négative du héros. «Transi, gelé, perclus, immobile rendu» : le parallélisme syntaxique des six termes insiste sur l'état du serpent. «Le villageois le prend, l'emporte en sa demeure»

l’excès de souffrance - Allitérations en « s ». - Adresses à Renoncourt (pris à témoin) : phrases injonctives = prières, excuses. - Passage du « nous » au « je ». Registre tragique : Le poids du destin (vocabulaire : malheur, infortune, misérable). Situation : Dénouement de l’histoire Intro : En fuite dans le désert après le duel entre des Grieux et Synnelet laissé pour mort, les deux amants épuisés se couchent dans le désert cote à cote. Cette scène marque l’apogée de leur histoire

situation misérable du pauvre et dérision de Dom Juan sur sa foi : de « Si vous vouliez Monsieur me secourir de quelque aumône » à « un morceau de pain à mettre sous la dent. » -La tentation : de « voilà qui est étrange » à « jure donc». -La conclusion : les deux dernières répliques. -La scène est construite comme un petit apologue, une fable, dans laquelle l’élément déclencheur est la rencontre, puis le dialogue s’installe entre les deux personnages avec l’enjeu du blasphème, enfin la morale. c) Le

engagés. Il finira cependant sa vie en appartenant au mouvement Réaliste apparu dans les années 1850 en France. Ses œuvres a grand succès ont été principalement des romans tels que « Notre Dame de Paris » ou encore « Les Misérables ». Ce roman est paru en 1862 et décrit la vie misérable dans Paris et dans la France Provinciale du XIX ème de plusieurs personnages et s’attache plus particulièrement au bagnard Jean Val jean, qui n’est autre que le personnage principal du roman « Le dernier jour d’un condamné »

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