Morale Dans Le Sultan

que le républicain va l’emporter sur le religieux : Jules Ferry apôtre de la colonisation lance vers 1880/1890 la deuxième vague coloniale, corrige les déformations et les abus. La position de Jaurès est de ne pas condamner le système mais les abus moraux. On dit que l’entreprise coloniale est un mal nécessaire, un passage obligé pour aller vers plus de progrès. Mais ces deux visions, de droite et républicaine, ont des traductions politiques : de 1880 à 1914 il y a réflexion sur le colonialisme et

car l’immensité du territoire va rendre très difficile l’exercice d’un pouvoir central. Il y en a un, les sultans, mais il y a également une assez forte autonomie politique chez les provinces, dirigées par les Califes. On peut dire que le 16éme siècle est le siècle d’apogée de cet immense Empire Otto, un exemple de ce rayonnement est la Mosquée d’Edine construite sous les règnes des sultans Selim 1er (1512-1520) et de Soliman «Le magnifique» (1520-1566). Ce siècle est l’apogée de la puissance

exotique et un second aspect satirique : critique. Il va inciter ses concitoyens à se remettre en question du fait des observations apportées par les Perses qui ont une vision différente. Leurs discours sont une critique sociale, politique, religieuse et morale. Les années qui figurent à la fin des lettres sont fausses ceci par précaution, pour ne pas être menacé. L'écriture est naïve, légère. C'est un moyen de faire passer un message. Toute la lettre 29 porte sur les problèmes religieux. Les Persans vont

qui avaient soutenu le régime almoravide. C'est aussi dans cette perspective qu'il est demandé à Ibn Rushd la réflexion qui préciserait la légitimité du régime almohade. Almoravides et Almohades représentent une réaction religieuse, morale et politique aux régimes précédents. Dans les deux cas, ils s'appuient sur une idéologie de retour à la pureté primitive de l'islam. La conquête se fait chaque fois au nom de l'idéologie religieuse islamique autour d'un chef reproduisant

------------------------------------------- FACULTE DES SCIENCES JURIDIQUES ET POLITIQUE Option : Carrière Judiciaire Niveau d’étude : 4ème Année GROUPE DE TD : II Cheikh Hamallah Camara Fatoumata Camara Sultane Camara Mohamed Ben Bitibaly Solomane Berthé EXPOSE: THEME: «  Le contrôle des établissements de crédit  » INTRODUCTION Dans les années 80 le secteur bancaire était dans l’informel et une déréglementation du système bancaire. c’est

donc il appartient au type descriptif. Mais une lecture qui ne reste pas superficielle montre que ce récit n’est pas gratuit, qu’il livre aussi une position, une thèse, il est donc aussi de type argumentatif. Cette union entre un récit et une leçon morale s’appelle un apologue. o Quelle est sa tonalité ou registre littéraire (comique, tragique, lyrique, pathétique, ironique, épique…) ? La tonalité première pourrait être le merveilleux (comme dans le conte), d’ailleurs ce 1  mot est repris à la

régionale et d'autres droits humains (Callot 1962, 86). Ce mouvement fut réprimé par le Sultan ottoman Abdul Hamid II, qui initia la lancée de massacres lorsqu’entre 1894 et 1896, 200 000 Arméniens furent tués dans d’atroces carnages. Quand les « Jeunes-Turcs », un groupe d’officiers militaires, renversèrent le sultan en 1908, les Arméniens se réjouir tout d’abord, puis leur situation se dégrada rapidement. En effet, le sultan avait tenté de garder les Arméniens « à leur place, » mais les trois principaux

mettre en avant la vision que Voltaire a du bonheur. II – La conception personnelle du bonheur. Voltaire insiste sur l’aspect matériel des plaisirs et des vertus de l’époque, il associe en effet le goût du luxe des plaisirs et une notion morale, vers 11 et 12 « La propreté, le goût, les ornements : / Tout honnête homme a de tels sentiments. ». Il propose un équilibre entre les plaisirs et la vertu. Pour Voltaire, le bonheur fait référence à des biens matériels et à une vie facilitée par

Voyez-vous pas ces agiles vaisseaux Qui, du Texel, de Londres, de Bordeaux, S’en vont chercher, par un heureux échange, De nouveaux biens, nés aux sources du Gange, Tandis qu’au loin, vainqueurs des musulmans, Nos vins de France enivrent les sultans ? Quand la nature était dans son enfance, Nos bons aïeux vivaient dans l’ignorance, Ne connaissant ni le tien ni le mien. Qu’auraient-ils pu connaître? ils n’avaient rien, Ils étaient nus; et c’est chose très claire Que qui n’a rien n’a nul

français.) Œuvre de Jean-Pierre Claris de Florian : Le rossignol et le paon L'aimable et tendre Philomèle, Voyant commencer les beaux jours, Racontait à l'écho fidèle Et ses malheurs et ses amours. Le plus beau paon du voisinage, Maître et sultan de ce canton, Élevant la tête et le ton, Vint interrompre son ramage : C'est bien à toi, chantre ennuyeux, Avec un si triste plumage, Et ce long bec, et ces gros yeux, De vouloir charmer ce bocage ! A la beauté seule il va bien D'oser célébrer