Morale De La Parure

aucun e précision des traits du visage (idéal) II) une éducation hors du commun A) madame de Chartes, une mère d’exception -présentée comme une mère qui concentre toutes les qualités a l’exception de la jeunesse et de la beauté -qualités morales énumérées dans un substantif laudatif mis en valeur par l’adjectif hyperbolique « extraordinaire » -a contre courant des pratiques de son époque, se retire de la cour pour éduquer sa fille au lieu de la confier a un couvent ou un précepteur B) une

«noble et libre ». B Les valeurs morales Elles semblent innées 1.9 à 12 : GN. « par nature» et nom « instinct » et 1.15 «noble affection », «qui les inclinait librement vers la vertu». Cela est encore souligné par les antithèses récurrentes entre vice et vertu, noblesse et esclavage 1.12 à 18 (Faire une relevé précis). Ainsi, la noblesse, valeur sociale, semble naturellement s'assimiler à une liberté bien assumée qui mène à l'honneur et à la vertu, valeurs morales. C Les relations hommes / femmes

poètes romantiques dans leur siècle. Les Parnassiens, partisans de « l'art pour l'art », ne s'opposent pas seulement à l'idée d'un « art pour le progrès » – dont le principal défenseur est Victor Hugo –; ils refusent de soumettre la poésie à une visée morale b)Les figures et l’écriture poétiques sont choisis pour que le lecteur ressente cette sensibilité exacerbée face au langage amoureux." Apporter un message aux hommes, vouloir diriger le cours du monde ou le sauver, c'est l'affaire des fondateurs

pour le duc. On passe donc du « jour » au « soir » peut être pour signifier l’opposition morale entre les deux personnages, la femme représentant la lumière et l’homme, l’obscurité. De plus l’attachement au paraitre est capital dans ce monde dans la mesure où l’opinion des autres sur soi compte beaucoup. La conjonction « lorsque » poursuit cette notion de regard puisque l’on admire « sa beauté et sa parure ». Elle s’est donc attifée pour l’occasion. Elle est si belle qu’elle est remarquable même

occidentale (Sénégambie, golfe de Guinée et Angola), les Européens font du troc avec des Africains pour obtenir des esclaves africains contre des armes à feu, du vin, des barres de fer, lingots de plomb, pacotille (verroterie, miroirs, objets de parure) et des coquillages.. Les esclaves sont revendus en Amérique aux enchères : une partie est payée en meme temps, le reste est payé à crédit. Les esclaves peuvent aussi être échangés contre des produits tropicaux qui sont revendus très chers en Europe

arrivée en Afrique. Le Dictionnaire des civilisations africaines (1989 :427) lève d’ailleurs le voile sur cette question des vêtements en Afrique. Dans sa définition de l’habillement, il trouve qu’en Afrique, « A la base, le vêtement se confond avec la parure associée à des notions magiques de protection ou de fécondité » Chez la femme traditionnelle africaine, il y a deux niveaux de l’habillement. Il y a les habillements du premier degré qui sont indispensables pour la protection physique du corps. Dans

à divertir et à instruire le dauphin. Elle est inspirée de la fable en prose La femme pleurant son mari mort et son père la consolant de l'auteur Abstémius. Elle se présente comme une amplification versifiée de ce texte qui innove en présentant la morale avant le récit (son illustration). Cette fable évoque un idéal d'amour absolu mais lui opposent également d'autres idéaux. Nous étudierons ainsi l'idéal de fidélité, l'idéal de modération et l'idéal littéraire et philosophique mis en œuvre dans cette

gravité, présentent un charme d’une nature double, artistique et historique. Ils sont très souvent beaux et spirituellement dessinés ; mais ce qui m’importe au moins autant, et ce que je suis heureux de retrouver dans tous ou presque tous, c’est la morale et l’esthétique du temps. L’idée que l’homme se fait du beau s’imprime dans tout son ajustement, chiffonne ou raidit son habit, arrondit ou aligne son geste, et même pénètre subtilement, à la longue, les traits de son visage. L’homme finit par ressembler

constants d’où se dégagera le sens définitif de l’œuvre ». Maupassant rejette donc également le naturalisme avec sa lourde documentation et avec son ambition démonstratrice d’un réalisme total à la Zola mais il pratique un réalisme sans exclusive morale vis à vis de la réalité sordide comme lors de la mort de Forestier dans Bel-Ami ou la chienne en gésine au chapitre X dans Une vie. Maupassant recherche la sobriété des faits et gestes plutôt que l’explication psychologique, car « la psychologie

majesté, de Nemours, de Clèves formules impersonnelles associées au bruit, « il se fit un assez grand bruit » => rencontre dans un cadre public et convenu = bienséance b. Portraits des perso conventionnels Termes mélioratifs « beautéu, parure, air brillant » => peu de detail, regle de bienséance lien entre le verbe danser et arrivé du duc de Nemours, la danse encadre son arrive => « comme elle dansait, elle s’acheva de danser », pas curieuse de son arrivée c. Le discours des