Morale Et Justice

est en principe véhiculée par ce groupe et par la recherche du bien. Droit : ensemble des mécanismes qui tendent à assurer la justice. 2 types de justice définie par Aristote : justice commutative et justice distributive. L’Equité est une justice/égalité proportionnée à la situation des individus. Cette notion a été développée par John Rawls dans la théorie de la justice (1971). Pour lui l’équité correspond à 3 principes : - Principe d’égale liberté : toute personne a un droit égal aux libertés

aux faits et de présupposer des conditions non concordantes avec les réalités politiques. Ainsi, il apparaît légitime de se demander si la politique doit renoncer à cet idéal normatif, à un idéal de moral, à une éthique. La politique doit-elle être fondée en dehors de toute considération morale ? La relation entre l'éthique et la politique est en tout cas ambiguë : si la politique qui est toujours l'expression d'une volonté de pouvoir prétend servir l'éthique, n'est-ce pas nécessairement en se

alors la morale... En effet, l’inconscient remettrait donc en cause la responsabilité de l’acte de l’être humain. Dans ce cas, la morale serait seulement un mot vide ? La morale est un ensemble des principes de jugement, de règles de conduites relatives au bien et au mal, de devoirs, de valeurs, parfois érigés en doctrine, qu'une société se donne et qui s'imposent autant à la conscience individuelle qu'à la conscience collective. Mais, avec cette idée d’inconscient, cette morale est totalement

Justice 1.Caractère de ce qui est juste a.par conformité au droit positif (légalité) b.par conformité à un idéal d'ordre et d'égalité (légitimité) 2.Idéal ou principe normatif qui régit l'action 3.Vertu qui mène à respecter l'ordre et les autres 4.Pouvoir judiciaire, ensemble des institutions qui font appliquer le droit positif Terme plurivoque. On distingue d'ordinaire au moins trois sens de justice : •un qui renvoie à un principe moral (sens 2) •un qui renvoie à une vertu (sens 3) •et un qui désigne

INTRODUCTION AU DROIT Le Droit dans une société, correspond à un ensemble de règles (morale, religions, mode, traditions…) susceptibles à être soumise à juge ou à un arbitre. Une règle ne devient donc que véritablement Droit uniquement à partir du moment où elle peut être soumise à un juge. Celles-ci ne sont qu’inventées uniquement dans le but de vivre en communauté et d’éviter la Force. Le Droit devient donc alors un substitut à la Force. Cela implique donc que les membres d’une société

Hannourabi. Texte babylonien. Règle qui touche de nombreux aspects de la société. Le Droit dans un premier temps va mettre un terme à la vengeance. Dynastie des Atrides qui va disparaître à cause de la vengeance. Cette justice, basée sur la violence, n’est pas une fin. Il faut donc une justice où la punition est définie par quelqu’un d’impartial et ainsi mettre un terme à la logique sans fin de la vengeance. D’où l’importance sacrée que les Grecs vont accorder à la loi. La culture grecque classique, c’est

qu’il n’y a pas de sociétés sans droit (« ubi societas, ibi jus » en latin). Le droit est synonyme de justice. La justice serait le symbole du droit. 2 notions souvent associées. La justice est représentée par une femme qui tient une balance et qui ont les yeux bandés. Il y a une glaire, une épée qui évoque dans l’esprit commun des mortels le procès, le déroulement de la justice. La justice, le juge est impartial c’est-à-dire ils doivent trancher du litige en fonction des RD et non selon l’émotion

de s’occuper de la rédaction : Tronchet (président du tribunal de cassation), Portalis (avocat et homme politique), Bigot de Préameneu (avocat), Maleville (membre du tribunal de cassation). La jurisprudence : C’ est l’ensemble des décisions de justice rendues pendant une certaine période, soit dans une même matière, soit dans une branche du droit, soit dans l’ensemble de droit (du latin juris prudentia). La Cour d’appel : juridiction de l’ordre judiciaire chargée de statuer sur les appels formés

parfois légitime de transgresser le droit ? La réponse socratique sera négative et la conclusion est que Socrate doit rester en prison et se soumettre au jugement des athéniens même s’il lui en coûte la vie. C’est donc la question du rapport entre justice et injustice qui sera donc ici abordé : comment peut-on accepter sa propre mort ? Pourquoi ne pas choisir la fuite ? Quelle philosophie, quel principe pousse donc Socrate à vouloir rester fidèle au droit de la cité grecque alors qu’il est injustement

variées, les projets régionaux, nationaux, européens, les différentes actions sociales, etc. B) L'idée de droit naturel Avec la volonté d'organisation de la société est apparu le droit naturel. Il se fonde sur des sentiments et des idées de la justice, en effet ces droits sont considérés comme indispensables, nécessaires pour vivre dignement. C'est entre autres, le droit d'assurer sa propre conservation. L'objectif de ce droit naturel est d'assurer l'existence de chacun dans les meilleures conditions