Morale Implicite Le Lion Le Loup Et Le Renard

servent de leçons […] Ce qu'ils disent s'adresse à tous tant que nous sommes ». Les animaux de ses fables sont bien évidemment à l'image des hommes et sont les représentants d'une classe sociale ou d'un vice aisément identifiables : le lion représente le roi, le renard incarne en général le courtisan rusé, le corbeau symbolise la prétention et la naïveté, pour ne citer que quelques exemples célèbres. Même si l'argumentation reste indirecte, les récits des apologues sont porteurs d'un message et illustrent

nettement marquée par l'utilisation de la première personne. L’essai est le plus souvent une écriture personnelle à travers laquelle l’auteur livre une réflexion, voire ses impressions. Les sujets traités sont essentiellement d’ordre philosophique, moral, politique, artistique et parfois religieux. On considère que c’est Montaigne (1533-1592) qui crée le genre en intitulant son œuvre Essais. Dans cette œuvre répartie en trois livres, il analyse notamment les faiblesses de la nature humaine et ses

nettement marquée par l'utilisation de la première personne. L’essai est le plus souvent une écriture personnelle à travers laquelle l’auteur livre une réflexion, voire ses impressions. Les sujets traités sont essentiellement d’ordre philosophique, moral, politique, artistique et parfois religieux. On considère que c’est Montaigne (1533-1592) qui crée le genre en intitulant son œuvre Essais. Dans cette œuvre répartie en trois livres, il analyse notamment les faiblesses de la nature humaine et ses

nettement marquée par l'utilisation de la première personne. L’essai est le plus souvent une écriture personnelle à travers laquelle l’auteur livre une réflexion, voire ses impressions. Les sujets traités sont essentiellement d’ordre philosophique, moral, politique, artistique et parfois religieux. On considère que c’est Montaigne (1533-1592) qui crée le genre en intitulant son œuvre Essais. Dans cette œuvre répartie en trois livres, il analyse notamment les faiblesses de la nature humaine et ses

d’Hadrien que marque l’adverbe « jusqu’à » connotant l’excès. L’épisode sanglant est justifiée dans des termes qui brouillent les repères moraux : en effet, la victime devient « un criminel » qui « gagne d’échapper à une plus longue agonie »Inversement, le seul regret d’Hadrien est que la mort du prisonnier ne lui ait pas servi à entrevoir son avenir. Curieuse morale où le meurtre est légitimé par l’intérêt privé, où la fin importe plus que les moyens. Néanmoins, la prolepse « où j’allai vivre plus

bêtes et de la différence entre l'homme et l'animal. 1.2.1-    « J'attribuerais à l'animal…beaucoup plus […] qu'un simple ressort » ( Les Deux Rats, le Renard et l'Œuf, IX, v.26-28) 1.2.2-    « Nous aurions un double trésor, l'une cette âme pareille en tous […] encore une autre âme entre nous et les anges commune ». » (Les Deux Rats, le Renard et l'Œuf, IX, v.42-47). 1.2.3-    La bête ici a quitté son statut d'image de l'homme pour atteindre celui d'un être à part entière, décrit dans sa vérité

Le Combat des rats et des grenouilles ; attribué à Homère (VIII° siècle avant J.-C.), ce poème est sans doute d'époque beaucoup plus tardive, entre le VI° et le IV° siècle avant J.-C.. LF connaissait sans doute aussi le cycle médiéval du Roman de Renard, qui joue beaucoup sur la parodie épique. La fable des Deux Coqs contient de manière exemplaire une épopée en miniature, une petite Iliade sur le mode héroï-comique. Deux coqs vivaient en paix : une poule survint, Et voilà la guerre allumée

d'éviter la censure. Exemple : Le lion, le loup et le renard, La Fontaine - Le récit est accessible à un plus grand nombre. Exemple : Zadig, Voltaire Il y a deux grandes façon d'argumenter, l'argumentation directe que l'on retrouve par exemple dans un essai, où le propos et l'idee sont exposés clairement sans détour. Et l'argumentation indirecte qui se trouve, elle, dans les contes, les fables, ou bien d'autres genres narratifs. L'idée y est plus dissimulée, implicite, mais le texte est souvent plus

qui nous entoure soigner la forme de son écriture jusqu’à la rendre lyrique Rq. : La lettre est une autre forme de l’essai. La littérature morale : Au 16è S., se développe une réflexion sur les sciences, le rôle des écrivains et des penseurs et la conquête du bonheur par le savoir. Les maximes : phrases généralement courtes qui énoncent une vérité morale, une règle d’action, de conduite (cf. La Rochefoucault) Les fragments : sont une partie d’un tout à venir Les aphorismes : (étymologiquement signifie

chevaliers (de la table ronde) : personnages de légende. Ils développent l’idéal chevaleresque et l’amour courtois. Ex : tous les romans de Chrétien de Troyes (Perceval ou le conte du Graal, Lancelot ou le chevalier à la Charrette, Yvain ou le chevalier au Lion…) / Tristan et Iseult (Béroul) Les fabliaux : ils montrent des personnages grossiers et populaires, en réaction aux valeurs chevaleresques. Ex : Le roman de Renart / Brifaut / La vieille qui graissa la patte au chevalier… Le théâtre quitte peu à