Moraliste Est Il Un Moralisateur

classicisme · Thèmes principaux : L’honnête homme, le théâtre du monde, La cour et la ville, l’argent, l’art de gouverner· Mouvements :· I - Présentation générale d’un vaniteux· II - Une anecdote en 3 actes· Visée :· Problématiques possibles : Comment le moraliste va-t-il présenter ce trait de caractère (à travers une anecdote piquante ? )Intro:  La Cour rassemble regroupe l’ensemble des nobles proches du souverain. Ainsi, chacun essaie de briller à sa manière pour s’élever dans la société, certains

part. », avec jeu sur la polysémie du mot « air » : qu’on respire (métaphore filée), qu’on se donne, qui est à la mode. Cette satire vise aussi l’ensemble de la société qui accepte ces jeux de dupes avec cette phrase qui sonne comme une sentence de moraliste « il n’y a rien à meilleur marché que le bel esprit maintenant. » (cf valeurs de l’honnête homme dans le classicisme, être versus paraître). On voit aussi la violence de ces jeux sociaux à travers le mépris de Mascarille pour les autres valets («

rôle du moraliste et de son discours, particulièrement courant à l’époque de La Rochefoucauld, et essentiel dans l’ouvrage en question. Ensuite, nous analyserons les techniques didactiques employées pour tenter d’en comprendre les intentions, et par là les conséquences engendrées dans l’esprit du lecteur. Enfin, nous étudierons les méthodes poétiques dont l’auteur fait usage, ce qu’elles nous apprennent du rôle du poète, et dans une vision plus globale, de l’art. ! I/ Discours moralisateur, partage

vue moral (et non pas moraliste), il est raisonnable de ne pas cautionner cette idée. Le moralisateur fustigé par Hegel, celui qu’il nomme ailleurs aussi la « belle âme » commente les actions humaines pour les désavouer, mais ne fait rien contre ; il intervient après coup, lorsque les jeux sont faits, et il est vrai qu’on peut, tout en étant déterministe, militer en faveur d’une réelle amélioration de la vie humaine et ainsi contribuer davantage au progrès que le simple moraliste par misanthropie.

Cette tension entre deux pôles antinomiques n’est pas un hasard : c’est le moyen, pour le fabuliste, d’éviter la monotonie, de créer un texte varié, et par là amusant et divertissant. Mais c’est aussi qu’il y va de la nature même de la fable que le moraliste invente : après tout, ce sont de petits textes, mais qui posent de grandes questions, ce sont des récits de quelques vers, mais qui interrogent la façon dont les hommes vivent, ce ne sont que des contes, mais qui ont pour horizon la morale, la vie

veut «ramener ses brebis» chez elle--> Contre réforme. En littérature on voit apparaitre la préciosité (raffinement extrême) et le Burlesque (réalisme parfois grotesque) 2e période: Classicisme, on prône la mesure. Ex: Descartes 3e période: Les moralistes: ex: La Bruyère, Fénelon ils annoncent le siècle des lumières. 1e PERIODE: A la fin du XVIe l’optimisme de l’humanisme disparait. La littérature devient BAROQUE, laissant cours à la sensibilité. Baroque: terme issu de la joaillerie (= perle

figure de l’empereur s’estompe comme sujet évident de l’acte narratif pour laisser place à de longues méditations, à des réflexions et à des expressions impersonnelles à valeur de sentences, de maximes, de proverbes comme dans la pure tradition des moralistes classiques. Quelle est cependant la place de la théorie dans le récit ? Sous quelles formes s’y décline t-elle ? Quels sont ses rapports avec l’histoire anecdotique de l’empereur narrateur ? Quelle est la fonction de cette théorie, comment s’accommode

nombre de règles pour divertir la cour. Ces règles, bien que brimant l'imagination, tendent vers le beau et le vraisemblable. Au classicisme, l'homme était vu négativement. On dénonce le chacun pour soi. Les deux auteurs qui dénoncent cela sont des moralistes: La Rochefoucault et Pascal. Ils ont une vision très pessimiste de l'homme et présentent une analyse très sombre de l'âme humaine. Les causes du classicisme: Monarchie absolue Conflit en jésuites (le salut s'obtient par les bonnes actions)

cherchait à perfectionner sa peur, les gens s'efforçaint de former sa peur plus sensuel et visible en répresantant la pourriture du cadavre. A la fin du Moyen Age, le traité de Innocent III De contemptu mundi a devenu très populaire.[8] Les moralistes et les ascètes sont considérablement plus sensibilisé que les autres à la attraction de plaisirs terrestres. La dramaturgie de l’ascétisme consiste à la tension entre les tentations terrestres et aspirations aux choses surnaturels. Quand la discipline

il fut en son temps, sinon le plus admiré, du moins le plus lu, notamment grâce à ses Contes et à ses Fables. Styliste éblouissant, il a porté la fable, un genre avant lui mineur, à un degré d’accomplissement qui reste indépassable. Moraliste, et non pas moralisateur, il pose un regard lucide sur les rapports de pouvoir et la nature humaine, sans oublier de plaire pour instruire. Une fable est un court récit en vers ou en prose qui vise à donner de façon plaisante une leçon de vie. Elle se caractérise